Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Moins d’autos sur le campus de l’Université Laval: Une étude

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 mars 2012 29 commentaires

Yvon Larose
Au fil des évènements

Il faut des changements importants dans les conditions de transport pour que les gens abandonnent leur automobile. Quatre automobilistes sur cinq (82 %) accepteraient de prendre l’autobus lorsqu’ils viennent à l’Université si trois conditions étaient réunies: d’abord la gratuité du transport collectif, ensuite une majoration de 60 % du prix du stationnement et, enfin, un temps de déplacement par autobus égal à celui de l’automobile.

La suite

L’universitaire et l’automobile

Reducing automobile dependency on campus

Voir aussi : Publications & ressources Internet.


29 commentaires

  1. Manu

    28 mars 2012 à 23 h 30

    Alors on peut conclure qu’il n’y aura pas 82% des automobilistes qui changeront pour l’autobus :)

    Le plus facile, augmenter de 60% le prix du stationnement… ça ce fait en un tournemain, et ça rapprocherait le prix du stationnement (pour les plus chers) de celui qu’on retrouve en ville (100-120$) par mois mais ce serait encore une aubaine pour les catégories moins cherès. Je me suis longtemps (et encore) demandé qu’est-ce qui retenait l’univeriste de le faire. Énonomiquement parlant, elle pourrait même le monter de 10% par année jusqu’à ce que la réduction de demande vienne gruger les revenu accrus. Autrement dit, atteindre un équilibre entre l’offre et la demaine (qui s’applique justement bien dans un tel quel.

    Transport collectif gratuit. Plutôt utopique, mais cela fait partie des « idées sociales » que j’appuie, et j’ai déjà suggéré (plus d’une fois) que j’étais prêt à ce qu’on augmente substantiellement mon compte de taxe (genre 25%) à cet effet. En autant que le service soit à la hauteur. Personnellement, cela me servirait rarement pour mon travail (en dehors de Québec/Lévis dont très long en autobus), mais pour les jeunes qui hésitent à passer leurs économies sur une première voiture (ou même les ados qui ont toujours besoin de « lifts ») ça aiderait à ancrer l’habitude de prendre l’autobus.

    Dernier point, le même temps que l’auto? Nah… oubliez ça. Le seul endroit où un autobus va plus vite que l’auto, c’est dans les endroits congestionnés et sur des voies réservées (ou en site propre comme un petit bout qu’on veut faire entre quatre-bourgeois et la médecine dentaire il me semble) . Et encore, dans le meilleur des cas il ne fait généralement que rattraper son retard causé par tous ses arrêts. En fait, sur une autoroute congestionné, où il n’y a pas d’arrêt, l’autobus aurait un avantage sur l’auto. Mais là encore… disons 5 minutes ou 10 dans le meilleur de cas. Ça prend souvent déjà ce temps pour marcher et attendre l’autobus un peu d’avance, et avant que cet autobus rejoigne le bout d’autoroute congestionné (s’il y a lieu) pour sauver 5-10 minutes, il va perdre ce temps à embarquer des gens. Tout cela dans un cas assez idéal , sans viraillage dans les quartiers résidentiels et surtout, sans transfert. Finalement, à ce total il faut ajouter le temps d’attente entre le debug/fin de notre « activité » et l’heure de l’autobus. Par exemple, on traville de 8h à 16h30, mais on arrive à 7h45 avec l’autobus qu’on doit reprender à 16h45.

    Tout cela ne peut tout simplement pas être compétitif avec l’automobile, et on parle seulement de la question du temps de trajet, pas de la « liberté » de faire des emplettes sur le chemin ou déposer/ramasser la marmaille quelque part. Ce n’était pas le sujet de l’article de toute façon. Bref, pour le temps de trajet, à quelques exceptions près (on demeure à côté du dernier arrêt d’un express) et on descend à un des premiers rendu à Ste-Foy), cela n’arrivera pas tant et aussi longtemps qu’on n’aura pas un réseau d’autoutes congestionné avec des autobus ou autres qui y circulent librement, surtout à l’approche des « bouts d’autoroute ». Disons que c’est foretment improbable pour les décenies à venir.

    Toutefois, on pourrait se contenter de manière réaliste des 43% qui n’ont probablent pas d’exigents impératifs temporels et qui s’accomoderaient des deux premiers points. 43%, c’est tout de mêm encourgeant, considérnat que le temps total de trajet (porte à pote) est généralement une condition sacrée and les répnses à de tels sondages. Ça pourrait se fare facilement les deux premiers points…

    si ceux qui en tirent les ficelles avaient d’abord la volonté de le faire (plutôt que la volonté de se faire rééelire, car faire d’important chagnements fait fuivre grand nombres d’électeursm, c’est pas nouveau). Mais comme les idées ne sont vraiment pas nouevelles et que peu de décision du RTC de de la ville semblent aller ce sens depuis des années, ni même entrouvir une petit porte, je crains fort qu’on ne verra rien de cela probainchent

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    • alex Utilisateur de Québec Urbain

      30 mars 2012 à 13 h 53

      Je suis d’accord que l’auto peu être plus rapide que le bus mais il y a d’autres facteurs qu’il faut prendre en considération:

      L’hiver, avant de partir le matin, il faut prendre le temps de partir la voiture, de la déneiger/dégivrer et même parfois pelleter l’entré. Une fois en voiture, le traffic peut ralentir notre course. Encore, il faut aller mettre de l’essence si le réservoir est vide. Rendu à destination, il faut ce dénicher un espace de stationnement ce qui peut parfois être compliqué.
      On est maintenant arrivé, peut-être avant le bus mais on n’a pas encore tout considéré.

      Pour payer ce mode de transport et tout son entretient, il faut plus travailler, ce qui prend du temps.

      Finalement, le temps perdu dans l’auto est improductif tandisqu’il est possible de réviser ses notes ou faire ses lectures dans l’autobus.

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  2. FierUrbain

    29 mars 2012 à 04 h 25

    Je seconde Manu.

    Je n’ai jamais non plus compris pourquoi l’Université s’obstine à ne pas augmenter les coûts de stationnement, mais peut-être qu’ils ont peur que l’UQAR à Lévis vienne leur voler des étudiants «automobilistes», bref la majorité des étudiants de la rive-sud qui fréquentent l’Université Laval et probablement un bon nombre d’étudiants de Québec qui vivent près des ponts? Hypothèse, parce que le stationnement est assurément moins cher à Lévis.

    Par contre, je ne crois pas qu’un temps de parcours en autobus inférieur à celui de la voiture soit si irréaliste; l’impératif sont des voies réservées qu’on *fera respecter* et qui seront idéalement en vigueur 24 heures sur 24. Mais jamais je n’ai vu la police de Québec, majoritairement composée de «vrais gars» amorueux de chââââârs, coller une contravention à un automobiliste pour avoir violé une voie réservée; ils laissent tout simplement passer les voitures sous leurs yeux, se disant qu’ils doivent bien tourner à un coin quelque part…. dans un kilomètre.

    Bref, le campus de l’UL est un de plus asphaltés que j’aie vus dans ma vie, il est temps que ça cesse.

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    • paradiso Utilisateur de Québec Urbain

      29 mars 2012 à 10 h 10

      C’est une observation intéressante. Les universités sont en train de se «cannibaliser» avec nos fonds publics, et il n’y a personne pour arrêter ce phénomène.

      À Montréal, l’Université de Sherbrooke a pignon sur rue au métro Longueuil et l’UdeM vient de se cloner à Laval. Dans les deux cas, la proximité de grands stationnements a été un facteur déterminant.

      Il y a 30 ans, mes oncles et tantes de la Rive-Sud se louaient un appartement à Québec ou louaient une chambre chez mes parents. Aujourd’hui, mes cousins prennent leur voiture jusqu’à l’université tous les jours, 1 heure de trajet quotidien au minimum.

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    • Francis L

      29 mars 2012 à 21 h 30

      L’Université augmenté déjà le prix du stationnement de façon importante. Dans certains cas, je crois que le prix augmente de presque 10% par année. Ça fait partie des objectifs de développement durable de l’université que de diminuer le nombre de stationnements sur le campus.

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  3. Omer

    29 mars 2012 à 06 h 18

    « la gratuité du transport collectif » ??? Il n’y a rien de gratuit dans la vie… Et c’est intéressant de constater que ce sont les gens qui utilisent l’auto qui demandent que ce soit gratis, voyons ! Si t’es capable de te déplacer en auto, de payer ton essence, tes réparations, tes plaques, tes assurances, etc, t’es sans doute en mesure de payer au plus 75 $ par mois pour un laisser-passer général !

    Pour avoir déjà été étudiant à l’UL, un des problèmes majeurs se situe sur l’artère entre la pyramide et le PEPS: le matin à l’heure de pointe, ça peut prendre jusqu’à 30 minutes pour faire ce bout de chemin en bus étant donné qu’il n’y a pas de passerelle ou de souterrain au niveau de la traverse de piétons en face du Peps… Déjà ça aiderait pas mal !

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  4. Louis M.

    29 mars 2012 à 09 h 57

    Déjà en ayant le transport en commun payé d’office en étant étudiant, comme à l’Université de Sherbrooke en convaincrait un bon nombre. Ce ne serait pas gratuit mais ça deviendrait un frais «caché». De plus, ce serait moins cher par étudiant que ce que ça coûte actuellement.

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  5. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    29 mars 2012 à 13 h 21

    Passons la facture aux autres ou l’art d’augmenter les déficits publics et de pelleter par en avant. Avec de telles suggestions nos enfany-ts rois ne seront pas encore content. Alors laissons rêver à leurs illusions…

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    • Louis M.

      29 mars 2012 à 14 h 42

      Beau discours pour quelqu’un qui prétend travailler pour une société qui tente de développer un nouveau moyen de transport collectif… hahah! De toute façon, nous ne sommes pas dupes, nous le savons déjà tous que vous êtes de la vieille génération qui vit toujours dans le rêve moderniste des années 20 à 50.

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      • Seb

        29 mars 2012 à 18 h 22

        Je ne suis pas de cette génération, mais je l’appuie. Encore et toujours plus de gratuité pour certains, et faire payer plus les autres. Et quand on dit sa, au Québec, ça veut dire on fait encore payer les riches pour les pauvres! Belle province de gauchistes.

        Car voyez vous, il y a toutes sortes de gens qui utilisent le TEC. Il y a ceux qui le font par choix écologique et logistique (et autres), mais il y a une bonne proportion de gens qui prennent la bus parce qu’ils ne peuvent pas se permettre de se payer une voiture.

        Au fait, il faut dire la bus ou le bus? Petit débat Québec vs Montréal !

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      • Louis M.

        29 mars 2012 à 18 h 54

        Donc vous voulez faire payer d’avantage les pauvres?

        Je ne suis pas nécessairement pour la gratuité, seulement il est faux de dire que c’est impossible. Les transports collectif, comme le nom le dit, sont à tous. Ceux qui ne veulent pas s’en prévaloir, tant pis pour eux. Par contre, tous doivent mettre la main à la pâte car il s’agit, qu’on l’utilise directement ou non, d’un bien commun et d’un investissement collectif très rentable, comme l’a dit l’année dernière la chambre de commerce de Montréal.

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      • Seb

        29 mars 2012 à 19 h 06

        Non je ne veux pas les faire payer plus, les prix sont déjà TRÈS abordables actuellement et ils montent graduellement à chaque année, tout comme l’inflation. Donc c’est normal pour l’instant.

        Il faut faire attention avec les pauvres. D’un côté on veut qu’ils aillent accès aux mêmes services que la population en général (donc on doit payer pour eux) puisque chacun est égal.

        De l’autre côté, à force de payer pour les pauvres, on crée une dépendance de ceux-ci envers l’état, qui lui devient plus dépendant des riches et de la classe moyenne. C’est une roue, et il faut dire que le rôle de l’État québécois s’est agrandi de manière inquiétante depuis la révolution tranquille (programmes sociaux et autres), et que notre société s’est vraiment ramollie………pourquoi se forcer et se battre alors qu’on sait que l’État va nous venir en aide……….

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  6. FierUrbain

    29 mars 2012 à 13 h 39

    Je suis aussi contre la gratuité du transport en commun. Les sociétés de transport sont vouées à être déficitaires toute leur vie et les usagers représentent une bonne partie de leur financement. Et comme Omer l’a si bien dit, ce n’est pas un laissez-passer mensuel qui coûte le plus cher.

    Sherbrooke l’a instaurée essentiellement pour garder la STS en vie. Le service de bus est si nul à Sherbrooke qu’aucun étudiant ne voudrait payer pour un service aussi minable. La gratuité des TC n’existe pratiquement pas en Europe (à ma connaissance), mais le rapport qualité/prix est nettement supérieur.

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  7. FierUrbain

    29 mars 2012 à 16 h 36

    Oui, oui, j’ai bien dit *pratiquement* inexistant hahah ;) Je sais que certaines villes de France le pratiquent, mais loin de la majorité. Et je ne savais pas pour Vienne! Je sais qu’en Europe de l’Est aussi ça se fait, mais bon…

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  8. FierUrbain

    29 mars 2012 à 16 h 38

    J’ai habité en Espagne, en Allemagne et voyagé dans un quinzaine de pays en Europe, jamais je ne suis tombé sur une ville qui offrait la gratuité du TC… À Vienne, je marchais tout le temps, pas eu connaissance heheh

    Je travaille en ce moment à Bilbao et même si les transports ne sont vraiment pas chers, ce n’est pas gratuit.

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    • Louis M.

      29 mars 2012 à 19 h 15

      À Winnipeg, 2 lignes de bus au centre-ville sont gratuite. À Portland, sauf erreur, les transports sont gratuits au centre-ville. À Montréal, lors de plusieurs grands évènements, sous présentation du billet le transport est gratuit. On peut sûrement trouver d’autres bons exemples en Amérique du Nord.

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  9. FierUrbain

    30 mars 2012 à 05 h 28

    Portland est une exception aux États-Unis sur le plan du développement durable et des transports.

    Winnipeg tente de stopper l’hémorragie dans son centre-ville au profit de ses banlieues de plus en plus tentaculaires.

    Je ne sais pas, je pourrais me laisser convaincre… mais je crois sincèrement qu’on priverait les sociétés de TC de précieux revenus, alors que nos finances publiques ne sont pas en grande forme.

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  10. alex Utilisateur de Québec Urbain

    30 mars 2012 à 14 h 00

    Un autre facteur qui pourrais faire changer le mode de transport des automobiliste est la distance à parcourir.
    L’université ne peut rien y faire, vous dites. Détrompez-vous, le projet PACTE Myrand pourrais offrir plusieurs types d’apartements pour les étudiants. La marche constituerai un excellent mode de transport.
    D’autres projets résidentiels pourrais se réaliser sur ce large campus, question de le densifier un peu!

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  11. JP

    30 mars 2012 à 15 h 00

    Selon l’article:

    « Selon Philippe Barla, les résultats démontrent l’attachement très fort des répondants à l’automobile. »

    C’est le moins qu’on puisse dire. 18% préfèrent payer 60% plus cher qu’actuellement pour la vignette de stationnement plus l’essence et les autres frais reliés à l’automobile plutôt que d’utiliser un transport en commun gratuit qui effectuerait le trajet en un temps identique ou inférieur.

    Faut l’aimer, sa bagnole.

    (Oups… je ne suis pas sûr si je n’aurait pas répondu exactement la même chose… je l’aime, ma bagnole!)

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    • FierUrbain

      30 mars 2012 à 16 h 42

      Moi aussi je veux une voiture, non seulement parce que c’est pratique et que j’adore conduire, sauf que j’en ai pas encore en raison de mes convictions, mais aussi parce que mon argent je la garde pour autre chose (voyager, habiter au centre-ville, ne pas devoir attendre ma paye du jeudi à minuit pour vivre, etc.). Mais lorsque j’en aurai une, je l’utiliserai intelligemment: déplacements sur de longues distances, déplacements de dernière minute ou encore le soir ou la nuit, très tard ou me rendre à l’Île d’Orléans ou dans le parc du Bic, exemples. Pas question de l’utiliser pour des déplacements ponctuels ou quotidiens (école, travail), ou pour me rendre à de grands événements, des amis qui habitent près d’un parcous de bus, etc.

      C’est ce qui manque en Amérique du Nord: savoir comment utiliser sa voiture intelligemment. Il y a aussi beaucoup, beaucoup de voitures en Europe et les Européens adorent leurs bagnoles, mais ils savent un peu mieux quand prendre et ne pas prendre la bagnole. C’est toute cette culture de la «pinte de lait au dépanneur en voiture» qui fait défaut et qui existe pour les raisons que nous connaissons.

      Ce n’est pas tant le fait de posséder une voiture qui pose problème, c’est la façon dont on utilise.

      Ça me tue que la congestion automobile augmente à la rentrée scolaire, ça me tue qu’il y ait congestion sur le campus de l’UL matin et soir et ça me tue (!) que le Vieux-Québec sont congestionné de banlieusards à chaque grand événement, et ce, même si le RTC offre des navettes depuis les banlieues presque chaque fois, ça me tue!

      Et si on favorisait beaucoup plus les stationnements souterrains ou étagés, la présence des voitures nous paraîtrait aussi beaucoup moins étouffante.

      Bref, je ne crois pas qu’il faille culpabiliser les automobilistes pour l’amour qu’ils portent à leur chââââr, mais bien pour la manière dont ils l’utilisent et aussi parce qu’ils n’assument pas en tant qu’automobilistes; leur faire comprendre que s’il y a de la congestion, ce n’est parce que les autoroutes manquent de voie, mais bien parce qu’ils sont la cause directe de cette congestion.

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  12. FierUrbain

    30 mars 2012 à 16 h 44

    J’écris tellement mal! Hahah désolé. Je suis à l’étranger depuis trois mois, donc le français rouille tranquillement.

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  13. dede

    31 mars 2012 à 08 h 54

    Moi, tant qu’il n’y aura pas de ceintures de sécurité et de sacs gonflables dans les autobus, je n’y mettrai jamais les pieds. C’est très dangereux de se retrouver dans un véhicule en marche sans ces deux éléments de sécurité de base. Donc le-la-les bus c’est un moyen de transport non sécuritaire qui met la vie de beaucoup gens en danger. :-)

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    • Louis M.

      31 mars 2012 à 12 h 44

      Avez-vous des statistiques pour soutenir votre propos? Au dernière nouvelles, l’autobus, même sans ceinture, est beaucoup plus sécuritaire que la voiture avec ceinture…

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      • dede

        31 mars 2012 à 22 h 23

        J’aimerais bien jeter un oeil sur vos «dernières nouvelles».

        Avez-vous déjà oublié les deux morts et les trente blessés de Plessiville le 3 mars dernier ?

        Il y a eu aussi cet accident entre deux autobus le 20 décembre 2011 à Montréal. Ah ! un simple accrochage mais 14 blessés:

        « La collision est survenue à basse vitesse, mais étant donné que plusieurs passagers étaient possiblement debout, ils ont perdu pieds et ont été projetés sur les bancs et au plancher. »

        Voilà mes pauvres statistiques des 4 derniers mois, désolé.

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