les vrais chiffre vont être en février ; oui le vélo est fantastique mais Quebec est pas une ville de vélo , les quartiers de Quebec qui on été développé a l’époque des chevaux son les plus propice au vélo
Rien n’est immuable ! Québec peut très bien le devenir, même dans son contexte climatique. Ca sera peut-être plus saisonnier qu’ailleurs mais pourquoi ce défaitisme ?
C’est comme quand j’entends « Quebec n’est pas une ville de transport en commun ».
L’article se pavane avec une hausse « indéniable » du vélo, minimisant la faible part modale de 1,8 % des trajets utilitaires avec un « bah, c’est tout de même le double d’il y a 12 ans ! »
Cette auto-célébration glisse sur une vérité gênante : même avec ce doublage, le vélo pour les déplacements quotidiens reste marginal, avec 87 % des trajets concentrés dans les zones urbaines denses de Québec, selon l’Enquête Origine-Destination (OD) 2023.
Pour ce qui est de l’envolée du vélo ? Calmons les ardeurs. Vélo Québec explique que la croissance est surtout portée par les pédaleurs du dimanche. Sans vouloir blesser les âmes tendres toujours sur leurs gardes, c’est juste ce que disent les plus récentes données.
Sans remettre en cause les investissements dans la mobilité active qui transforme positivement la ville, cette observation appelle à un peu de prudence pour ne pas se laisser emporter par un récit trop enthousiaste qui nourrit le cynisme des plus durs opposants.
11 août 2025 à 09 h 01
les vrais chiffre vont être en février ; oui le vélo est fantastique mais Quebec est pas une ville de vélo , les quartiers de Quebec qui on été développé a l’époque des chevaux son les plus propice au vélo
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11 août 2025 à 14 h 24
« Quebec n’est pas une ville de vélo ».
Rien n’est immuable ! Québec peut très bien le devenir, même dans son contexte climatique. Ca sera peut-être plus saisonnier qu’ailleurs mais pourquoi ce défaitisme ?
C’est comme quand j’entends « Quebec n’est pas une ville de transport en commun ».
Misère….
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11 août 2025 à 14 h 05
L’article se pavane avec une hausse « indéniable » du vélo, minimisant la faible part modale de 1,8 % des trajets utilitaires avec un « bah, c’est tout de même le double d’il y a 12 ans ! »
Cette auto-célébration glisse sur une vérité gênante : même avec ce doublage, le vélo pour les déplacements quotidiens reste marginal, avec 87 % des trajets concentrés dans les zones urbaines denses de Québec, selon l’Enquête Origine-Destination (OD) 2023.
Pour ce qui est de l’envolée du vélo ? Calmons les ardeurs. Vélo Québec explique que la croissance est surtout portée par les pédaleurs du dimanche. Sans vouloir blesser les âmes tendres toujours sur leurs gardes, c’est juste ce que disent les plus récentes données.
Sans remettre en cause les investissements dans la mobilité active qui transforme positivement la ville, cette observation appelle à un peu de prudence pour ne pas se laisser emporter par un récit trop enthousiaste qui nourrit le cynisme des plus durs opposants.
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