Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Location de bureaux à Québec: taux d’inoccupation le plus bas au pays

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 juin 2011 9 commentaires

Gilbert Leduc
Le Soleil

(Québec) Même si le parc d’immeubles de bureaux s’agrandit sans cesse, Québec demeure la grande ville canadienne affichant le taux d’inoccupation le plus bas au pays. C’est aussi celle qui propose les loyers les plus abordables pour les locaux pour bureaux situés dans les immeubles de classe supérieure.

La suite

Location de bureaux à Québec: des départs, mais pas d’exode en vue dans St-Roch

Voir aussi : Commercial.


9 commentaires

  1. Jeff

    3 juin 2011 à 16 h 16

    En tout cas c’est pas le cas pour le complexe Jules-Dallaires. Ils ont de la misère à louer les étages. Ça s’applique pas pentoute pour Cominar cet article.

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    • Matrix

      3 juin 2011 à 18 h 04

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      • Pier Luc

        3 juin 2011 à 20 h 10

        L’an dernier on voyait les lumières de chantier pendre du plafond en regardent pas les fenêtres à partir du boulevard Laurier. Signe que certains étages n’étaient pas encore aménagés. Mais ce n’est plus le cas… Il faudrait des sources fiables pour appuyer ce que vous dites Jeff.

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    • Al Capone

      5 juin 2011 à 15 h 51

      Le CJD selon les derniers rapports des analystes est loué à près de 80%, ce qui est tout de même bon!

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  2. Juliette Lepage

    3 juin 2011 à 22 h 03

    Voici pourquoi il est impératif de construire une tour de minimum 12-14 étages au dessus de l’affreux actuel auditorium de la Bibliothèque Gabrielle-Roy, et enfin retrouver l’unicité du secteur.
    Notre bureau aurait même des chances de considérer avec préjugé favorable une option de location dans ce futur édifice.

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    • Patrick H. Utilisateur de Québec Urbain

      3 juin 2011 à 23 h 12

      « le taux d’inoccupation se situait à un maigre 1 % dans le secteur de la haute ville et de la colline parlementaire, à 3,7 % dans le quartier Lebourgneuf et à 4,6 % dans le secteur du boulevard Laurier […] Le secteur regroupant le quartier Saint-Roch et le Vieux-Québec montrait, quant à lui, un taux d’inoccupation (11,3 %) plus élevé que la moyenne »

      Il serait peut-être avisé d’oublier Saint-Roch et de construire des espaces à bureau là ou il y a un réel besoin.

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      • Louis M.

        4 juin 2011 à 12 h 27

        Je ne crois pas, il faut plutôt diriger le développement pour le bien collectif. Laisser le développement aller là où «la demande est» c’est accepter une dépendance à la voiture croissante, à l’inverse de ce qui est souhaitable. Le bien collectif est plus important que les désirs individuels.

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      • Sim

        4 juin 2011 à 13 h 25

        Que le développement se fasse à Ste-Foy ou dans Saint-Roch, le gars qui habite à Loretteville ne prendra pas plus son vélo pour aller y travailler!

        Moi je crois que au contraire, si on laisse aller les choses dans Ste-Foy, tout va s’équilibrer naturellement. Il y aura plus de gens qui y travailleront et donc on construira des immeubles résidentiels comme c’est le cas dans bien des villes comme Atlanta, la ville ayant la plus forte croissance aux États-Unis.

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  3. Jim Benson

    4 juin 2011 à 23 h 44

    Je suis pour l’édifice au dessus de l’auditorium laid de la Bibliothèque Gabrielle Roy, il est grand temps qu’on s’y attaque, si seulement le syndicat de la bibliothèque pourrait arrêter d’être un frein pôur le développement du centre-ville…
    Et ce qu’il manque dans le secteur c’est des résidents , que se passe-t-il avec le projet prometteur qu’est  »Le Sherpa » sur Charest en face de l’édifice fondaction?

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