Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Une loi avec plus de mordant pour réhabiliter les sites

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 juin 2007 4 commentaires

L’aménagement du parc Sylvain-Lelièvre, à Limoilou, a permis de réhabiliter le terrain vétuste laissé longtemps à l’abandon par une pétrolière au coin de la 4e avenue et de la Canardière. (Photo: François Simard).

Source: Guillaume Picard, Québec Hebdo, 23 juin 2007.

Dans le cas d’une station-service fermée avant l’entrée en vigueur de la Loi 72, en 2003, tant que le propriétaire ne «bouge pas, il peut s’asseoir sur son terrain et ne pas le redévelopper», relate Michel Beaulieu, conseiller scientifique expert au ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs.

À Québec, de la quarantaine de stations-service placardées ou rasées, plus de la moitié ont cessé leurs opérations avant 2003.

La Loi 72 force maintenant les propriétaires de stations-service fermées à procéder à une étude de caractérisation dans les six mois suivant la fin des opérations. (…)

La suite. À consulter aussi, ce billet.

Voir aussi : Environnement.


4 commentaires

  1. Yvan Dutil

    26 juin 2007 à 17 h 14

    Dans la version papier, il y avait un article conjoint qui mentionnait que le coin de René-Lévesque et Cartier avait été acheté par la ville pour en faire un parc et un station Métrobus.

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  2. Yvan Dutil

    26 juin 2007 à 17 h 28

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  3. JB

    27 juin 2007 à 08 h 35

    On est effectivement en face d’un sacré problème avec les stations-services désertes. Je suis content de voir que la Ville essaie de prendre des moyens pour limiter la casse. Cependant, les propriétaires de stations comptaient auparavant sur le programme Revi-Sol pour décontaminer. Depuis que le programme a cessé, plus rien.

    M. Vaillancourt le souligne bien: les pétrolières font des milliards et n’ont que faire de l,impact de leurs anciennes stations sur les sites qu’elles ont occupés.

    Il me semble que dans la L.A.U. uin article spécifie qu’on pouvait apporter une dérogation au zonage si l’activité prévue à l’origine n’était plus en fonction depuis un certain temps. Bref, ce que je veux dire, c’est qu’il faudrait trouver un moyen d’expropriation si aucun effort n’est entrepris pour réhabiliter le site.

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  4. PAM

    27 juin 2007 à 10 h 16

    la plus grande connerie urbaine du siècle dernier: concéder les coins de rue à des pétrolières…

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