Source: Raymond Poirier, Voir Québec, 30 novembre 2006.

La qualité de l’air à Québec est plutôt bonne. Chaque hiver, la population ne doit s’attendre qu’à environ cinq épisodes de smog, ce qui est nettement sous la moyenne canadienne. Mais, actuellement stable, la qualité de l’air pourrait bien se dégrader dans les années à venir et avoir un effet direct sur la santé des Québécois.

« Au Québec, on a dormi sur nos lauriers depuis trop longtemps. La qualité de l’air ne s’améliore pas, elle se dégrade », fait valoir André Belisle, président de l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) [billet]. Selon lui, le mal est connu. Et il en est de même de ses origines. (…)

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Source:Éric Morreault, Le Soleil, 28 novembre 2006

Presque chaque semaine, Le Soleil reçoit des commentaires de citoyens outrés que des commerces — ou leur employeur — jettent aux poubelles quantités de matières recyclables. Québec étudie la possibilité d’étendre la collecte sélective au secteur industriel, commercial et institutionnel (ICI), mais ce n’est pas évident.

La question est délicate. Certains ICI, qui produisent beaucoup, ont déjà des ententes de récupération avec le secteur privé. D’autres sont situés loin des « routes » de collectes résidentielles. La rentabilité ne serait donc pas nécessairement au rendez-vous ou le prix de la collecte serait à ce point dispendieux qu’il découragerait les ICI de participer.

En attendant le résultat des études sur la question, la Ville propose aux ICI situés en zone urbaine de participer, sur une base volontaire, à la collecte sélective.

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Source: Radio-Canada Québec, 28 novembre 2006

La Ville de Québec s’apprête à acheter huit minibus électriques pour desservir le Vieux-Québec. Cet achat fait partie d’un plan de 12,5 millions de dollars pour réduire la circulation motorisée à l’intérieur des murs et encourager le transport en commun.

Marc Desrivières, directeur des Transports à la Ville de Québec, indique que ces minibus électriques circuleront seulement en dehors des heures de pointe. Ils ne sont pas assez spacieux pour subvenir aux besoins lors des périodes de grand achalandage.

Source: Éric Moreault, Le Soleil, 15 novembre 2006

La prochaine fois que vous irez au restaurant, vos restes de table prendront peut-être le chemin du compostage plutôt que celui de la poubelle. Sans tambour ni trompette, Québec a amorcé le mois dernier son projet-pilote de collecte des matières organiques dans le secteur des industries, commerces et institutions (ICI).

L’horizon est toujours une implantation à grande échelle pour 2009 sur tout le territoire de la CMQ, tant pour les résidences que les ICI. En attendant, une cinquantaine d’ICI, sur les 250 sollicitées, ont répondu à l’invitation de la Ville.

Voir la suite. Voir aussi cet autre article du même auteur.

Source: Radio-Canada Québec, 14 novembre 2006

À Québec, une cinquantaine de terrains contaminés sont laissés à l’abandon. Les propriétaires, s’ils veulent vendre ces terrains, ont l’obligation de les décontaminer avant de conclure la transaction. Or, comme la réhabilitation du sol peut coûter plusieurs centaines de milliers de dollars, la majorité des propriétaires de ces terrains contaminés renoncent à les vendre.

« S’il n’y a pas de transaction sur ce terrain-là, ces gens-là ne sont pas tenus de décontaminer sur-le-champ ces terrains », indique le conseiller municipal responsable de ce dossier, François Picard. Cependant, celle situation prive la ville de revenus de taxes importants, car plusieurs de ces terrains sont situés dans des secteurs convoités. Le conseiller municipal François Picard qualifie de plaies urbaines ces terrains abandonnés qui défigurent plusieurs quartiers.

Pour remédier au problème, M. Picard estime que le ministère de l’Environnement devrait remettre sur pied le programme ReviSol abandonné depuis trois ans. Ce programme aiderait les propriétaires à financer une partie du coût de la réhabilitation de ces terrains, afin qu’ils puissent servir à d’autres fins.

Source: LCN/Canoë

Chaque année, la ville de Québec reçoit près de 30 000 tonnes de matières recyclables, mais elle n’arrive pas à tout transformer. L’hiver dernier, la Ville a dû envoyer 1500 tonnes directement à l’incinérateur. Pourtant, la Ville s’est fixée comme objectif de recycler 60% des matières résiduelles provenant des citoyens.

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Source: Québec Hebdo, 1er novembre 2006.

La cour de l’école Saint-Louis-de-France s’est enrichie récemment d’une soixantaine d’arbres de 15 espèces et de 50 arbustes de cinq espèces. Les végétaux ont été plantés les 29 et 30 septembre dernier par des élèves, leurs parents et des membres du personnel. Par ce geste, la direction veut faire de cet endroit un milieu naturel et stimulant pour les élèves ce qui s’inscrit concrètement dans l’optique d’un Établissement Vert Brundtland, qui est au cœur du projet éducatif. Signalons qu’après deux ans d’efforts et des investissements totalisant 120 000$, les élèves de l’école Saint-Louis-de-France ont maintenant accès à une cour entièrement réaménagée avec des jeux neufs.

Source: Site TVA/Canoë, 3 novembre 2006

La Ville investit 50 millions $ pour rénover son incinérateur et allonger sa durée de vie. L’incinérateur est déjà vieux de 32 ans et on s’accordait pour dire qu’il était encore bon pour une dizaine d’années. Avec cet investissement, on croit pouvoir prolonger sa vie utile d’entre 25 et 30 ans. À noter qu’en cette ère de recyclage et de revalorisation, la capacité de traitement de l’incinérateur ne sera pas augmentée.

Source: Eric Moreault, Le Soleil, 3 novembre 2006

L’un des plus beaux parcs de la région, celui du Haut-Fond, vient d’être défiguré par l’abattage illégal d’une centaine d’arbres par un citoyen. Saint-Augustin poursuivra devant les tribunaux et entend en faire un exemple en demandant le reboisement des lieux et une forte amende.

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Je me passerais de commentaire sur ce genre d’incident… malheureux.

On sait que ce dossier a fait couler beaucoup d’encre à la fin des années 90. Aujourd’hui, sur le site de la cimenterie Saint-Laurent, d’importants projets d’immeubles [billet] sont sur le point de se réaliser…

Source: Radio-Canada (Québec), 31 octobre 2006.

La Cour d’appel réduit d’environ 20 % les indemnités consenties à près de 2000 résidents de l’arrondissement Beauport voisins de la cimenterie Ciment St-Laurent, fermée en 1997.

Les sommes accordées aux propriétaires et locataires des habitations entre les années 1991 et 1997 passent ainsi de 15 à environ 12 millions de dollars. Les juges estiment que le bruit n’a pas réellement été un inconvénient pour la majorité.

De plus, l’indemnité octroyée en regard de la poussière et des odeurs est aussi réduite afin d’être proportionnelle aux rendements des équipements antipollution de la cimenterie. La requête en recours collectif avait été déposée en 1993.