Centre commercial Fleur de Lys: voici à quoi ressemblera ce projet immobilier de 1,5 milliard $ au cœur de Québec Diane Tremblay (Journal de Québec)
Centre commercial Fleur de Lys: voici à quoi ressemblera ce projet immobilier de 1,5 milliard $ au cœur de Québec Diane Tremblay (Journal de Québec)
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Laurianne Croteau
Cédric Gagnon
Catherine Bombardier
Le Devoir
La folie immobilière provoquée par la pandémie n’a pas eu le même effet dans toutes les régions du Québec. Au cours de la dernière année, la banlieue de Montréal — sur la Rive-Nord comme sur la Rive-Sud — a connu les plus grandes corrections de prix, à l’instar de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine. Dans le Bas-Saint-Laurent, les prix ont au contraire continué de grimper.
« Avec les hausses consécutives des taux d’intérêt depuis l’été dernier, les prix ont baissé de 19 % entre le sommet d’avril 2022 et décembre 2022 », constate d’emblée Charles Brant, directeur du Service de l’analyse du marché à l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ). « Mais depuis ce temps-là, ils ont repris à la hausse. » La diminution moyenne des prix des maisons au Québec n’est ainsi que de 4 % entre le premier trimestre de 2022 et celui de 2023.
Malgré la tendance générale, une transaction sur dix s’est conclue avec de la surenchère au début de cette année. C’est comparable à ce qu’on voyait avant la pandémie, donc une accalmie par rapport à l’an dernier, alors qu’une transaction sur deux faisait l’objet d’une surenchère. « On était à des niveaux extrêmement élevés, historiques même », note l’analyste.
Les prix des propriétés ont-ils augmenté ou au contraire diminué près de chez vous ? Le Devoir a obtenu les données des ventes de maisons unifamiliales et de condos effectuées sur Centris entre le 1er janvier et le 31 mars de 2022 et de 2023.
Entrez le nom de votre municipalité ci-dessous ou cliquez directement sur votre région sur notre carte interactive pour obtenir une réponse.
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Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil
Objet de moqueries, symbole d’étalement urbain et de dépendance à la voiture, le bungalow est menacé. Partout dans la cité il tombe au combat, assailli par une armée de démolisseurs…
Chaque fois qu’un article est publié dans Le Soleil au sujet d’une maison rasée, vous êtes nombreux, chers lecteurs, à nous contacter. Résumons vos propos : dans votre rue aussi, des investisseurs ont acquis une propriété unifamiliale, souvent de bonne valeur, avec l’intention avouée de la démolir. Puis ils ont construit sur le même lot, au choix : une mégamaison (monster house), plusieurs jumelés, voire un multiplex.
Un de nos récents reportages à ce sujet a particulièrement touché votre corde sensible immobilière. Vous vous souviendrez peut-être, le texte en question a circulé largement sur le Web. Il est coiffé du titre suivant : »Et tombent les maisons dispendieuses».
À Sillery, le rouleau compresseur paraît avancer sans frein. Des résidents tentent cependant de le ralentir, sinon l’arrêter.
Récemment, nous avons marché dans les rues du quartier cossu. Rue Terrasse-Stuart, des ouvriers fignolaient le revêtement extérieur d’une bâtisse imposante de style cathédrale. Vous l’aurez deviné : l’an dernier, il y avait là un bungalow et un arbre mature majestueux.
Le Comité pour une densification respectueuse suit le dossier de près. «Il s’est démoli 60 maisons dans les 20 dernières années, dont 30 dans les 5 dernières années», avance une des citoyennes militantes, Louise Maheux. Cela dans un territoire plutôt restreint, juste à l’ouest de l’avenue Maguire. «Ça n’arrête pas.»
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L’université Laval à Québec. Photo Francis Vachon
Le gouvernement fédéral a annoncé lundi un investissement de 31 millions $ pour la construction de logements abordables dédiés aux étudiants de l’Université Laval, dans la Capitale-Nationale.
Cette enveloppe qui provient du Fonds national de co-investissement pour le logement (FNCIL) permettra de développer 204 unités abordables « à perpétuité » qui seront situées à proximité de l’Université Laval. Le projet mené par l’organisme Unité de travail pour l’implantation de logement étudiant (UTILE) sera conçu « pour atteindre des cibles ambitieuses sur le plan environnemental ».
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Vincent Pichard
Radio-Canada
Québec et ses environs sont très recherchés par les acheteurs en quête d’un logement d’exception. Ils sont particulièrement attirés par les grandes maisons luxueuses et les appartements au charme incontestable dans le Vieux-Québec.
Mais ce qui prime avant tout, c’est l’emplacement. Certains sont prêts à tout quand ils ont trouvé le site de leurs rêves. Hélène Lauzier, à la tête de sa propre agence, se souvient avoir vendu une propriété 1,5 million de dollars dans Sillery.
Démolir et reconstruire
Étonnamment, le but des nouveaux propriétaires n’était pas de l’habiter. Ils ont démoli la maison pour en reconstruire une autre par-dessus. Le coût total de l’opération devait être autour des 4 millions.
Les Canadiens de l’Ouest sont ceux qui manifestent le plus d’intérêt en ce moment. On reçoit beaucoup d’appels d’une clientèle ontarienne, surtout de Toronto. On en a aussi de la Colombie-Britannique, renseigne Bryan Péladeau-Lefebvre, courtier immobilier chez Péladeau Agence Immobilière.
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Diane Tremblay
Journal de Québec
Dans l’immobilier, les résultats y dépassent la moyenne historique.
Le ralentissement des activités sur le marché immobilier est moins marqué dans la région de Québec.
Au deuxième trimestre, les ventes ont baissé de 4 % dans la RMR de Québec, alors que le recul s’établissait à 14 % à l’échelle du Québec, par rapport à la même période en 2021.
Malgré tout, la région a maintenu un niveau d’activité transactionnelle fort avec 2590 transactions, ce qui demeure beaucoup plus élevé que la moyenne historique depuis 2014, qui s’établit à un peu moins de 2200 transactions.
« Le marché de Québec est un peu en retard sur le cycle si on compare aux autres marchés. On voit ailleurs que les inscriptions en vigueur remontent, alors qu’à Québec elles continuent de se compresser. Cela veut dire qu’il y a toujours une forte activité et qu’il y a aussi un manque de propriétés sur le marché », indique Charles Brant, directeur du service de l’analyse du marché à l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).
L’une des particularités de la région de Québec, c’est le prix des propriétés qui reste moins élevé. Dans le marché de la résidence unifamiliale, par exemple, le prix médian s’élève à 349 000 $ (+11 %) tandis qu’il se situe à 448 694 % (+20 %) ailleurs en province.
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Laurianne Croteau
Cédric Gagnon
Antoine Noreau
Le Devoir
Entre les propriétés de Westmount, vendues en moyenne 87 000 $ sous le prix demandé, et celles vendues 150 000 $ au-dessus, dans le sud-est de Beaconsfield, difficile pour un acheteur potentiel de savoir quels sont réellement les prix de vente des propriétés de son quartier.
Le Devoir a eu accès aux données de plus de 35 000 transactions immobilières effectuées entre le 1er janvier et le 31 mars 2022 et colligées par la plateforme Centris. Nous vous avons préparé un outil dans lequel comparer les prix de vente, mais aussi la surenchère moyenne, pour chaque municipalité du Québec et quelques centaines de quartiers.
En manque d’inspiration? L’équipe vous suggère les fiches de Westmount, Lévis (arrondissement Desjardins), Gatineau (quartiers Town Side, Le Moulin) et Sainte-Julie (quartier Du Grand-Coteau). Sinon, cherchez autant de localités que vous le désirez en les entrant dans la barre de recherche ci-dessous.
* Merci au Lecteur assidu
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Québec, le 4 mai 2022 – L’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) dévoile ses données pour le mois d’avril. Les plus récentes statistiques du marché immobilier résidentiel de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Québec sont établies d’après la base de données provinciale Centris des courtiers immobiliers.
« L’activité transactionnelle se maintient à des niveaux historiquement élevés à Québec en avril, contribuant à faire chuter davantage le nombre d’inscriptions en vigueur. La surchauffe bat son plein, notamment dans la catégorie des copropriétés dans l’agglomération de Québec, accélérant le processus de rattrapage des prix dans ce secteur et cette catégorie. Effectivement, une hausse de 17 % du prix médian y a été enregistrée, du jamais vu depuis que le système Centris des courtiers immobiliers compile les données de marché », constate Charles Brant, directeur du service de l’Analyse du marché de l’APCIQ. « On voit bien que la dynamique du marché de Québec se distingue de celle de Montréal dont l’activité commence à s’essouffler. En effet, les enjeux de pouvoir d’achat des ménages y sont significativement moins élevés à Québec, le prix moyen d’une résidence dans la RMR de Québec représentant moins des deux tiers du prix moyen d’une résidence dans la RMR de Montréal pour des niveaux de revenus moyens des ménages, respectivement comparables. Les nouveaux acheteurs seront ainsi moins sensibles à la hausse des taux d’intérêt à Québec qu’à Montréal », ajoute-t-il.
Faits saillants du mois d’avril
Les ventes résidentielles ont connu un recul de 11 % au mois d’avril comparé à avril 2021. Comme pour les mois précédents, toutefois, le niveau d’activité est demeuré historiquement élevé, avec 963 ventes.
L’agglomération de Québec et la Périphérie Nord ont connu les replis les plus significatifs, avec des diminutions de ventes atteignant 13 % dans les deux cas. La Rive-Sud de Québec a connu un ralentissement moins important, avec une diminution des ventes résidentielles de 4 % comparée à la même période l’an passé.
Dans les catégories résidentielles, l’unifamiliale s’est démarquée par l’intensité du recul des ventes, avec un recul de 14 %. Les copropriétés et les petites propriétés à revenus ont, de leur côté, connu des diminutions de seulement 7 % par rapport à l’année 2021 qui fut record durant cette période de l’année.
Malgré le ralentissement des ventes dans la RMR, l’offre est demeurée sous pression. Les inscriptions en vigueur se sont établies à 2 280 à la fin du mois d’avril, un repli de 32 % comparé à avril 2021 et une légère diminution comparée à mars 2022 (2 406 inscriptions).
Dans un contexte de hausses de prix généralisées, les unifamiliales dans la RMR ont connu un gain relativement modéré, à 10 % de hausse par rapport au prix médian. Il s’est effectivement établi à 345 000 $ pour le mois d’avril. Les copropriétés, quant à elles, ont vu leur prix augmenter substantiellement, atteignant 235 000 $, un gain de 16 % comparé à avril dernier. Les petites propriétés à revenus ont de leur côté vu leur prix s’établir à 385 000$, un gain de 7 %.
Voir aussi : Condo, Québec La cité, Résidentielle.