Daniel Dufour et Yvan Dutil, deux lecteurs de longue date, m’ont tous deux aujourd’hui aiguillé sur un article du journal le Monde. On y rapporte la nomination de Grenoble et, surtout, de Nantes comme ville où il fait bon vivre, selon un article du Time Europe. Pour Nantes, on dit
Wherever you go in Nantes, you can see what Ayrault and his city planners have achieved over the course of his 15-year tenure. Recycling and conservation programs have resulted in 1,000 hectares of greenery and 95 parks and squares around the Nantes area; 70% of all waste is recycled. There are 500 km of bicycling and walking paths, which often hug the banks of the Erdre River. Even the city center feels light and airy, with wide sidewalks and streets, and a skateboarding park near the heart of town. But Nantes’ pride and joy is its transportation system, which includes a tramway network and a fleet of 155 buses that run on natural gas.
Daniel se questionne:
pourquoi est-ce si difficile de calculer que l’implantation d’un tramway à Québec pourrait être une excellente plate-forme de développement économique et d’amélioration de la qualité de la vie quand, pendant ce temps-là, un laconique « Et, bien sûr, le tramway. » conclue de façon décisive un article du journal Le Monde au sujet de l’élection de la ville de Nantes par le magazine Time Europe au titre de « Ville la plus agréable d’Europe »?
Je répondrais que pour une population semblable, Nantes n’a sûrement pas le même étalement urbain que Québec…