Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


L’économie de Québec a roulé vite en 2006

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 décembre 2006 Commentaires fermés sur L’économie de Québec a roulé vite en 2006

Photo: Le Soleil.

Source: Pierre Couture, Le Soleil, 20 décembre 2006.

L’économie de la région de Québec a tourné rapidement en 2006 en enregistrant une croissance de 3,2 % de son produit intérieur brut (PIB). Elle n’a toutefois pas connu de gain net d’emplois, soutient le Conference Board.

« On peut dire qu’au Canada, en 2006, Québec a été la championne à l’est de la Saskatchewan », souligne Mario Lefebvre, directeur des prévisions métropolitaines du Conference Board.

Le taux de chômage de la région est d’ailleurs à son plus bas depuis des décennies. Si la tendance se maintient, la moyenne annuelle devrait s’élever à 5,1 % en 2006. L’an dernier, cette moyenne annuelle s’était arrêtée à 5,6 %.

Aussi, ce billet.

Voir aussi : Québec La cité.

Scène urbaine: Québec, un certain 21 décembre…

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 décembre 2006 4 commentaires

Grand format 800X600. Vue en direction E sur le centre-ville. Photo: Jean Cazes, 21 décembre 2006.

C’est bien sûr à la blague que j’ai « souhaité » de joyeuses Pâques à mes collègues de travail au sortir de notre dîner de… Noël, d’où j’ai pris cette photo illustrant un paysage quelque peu surréaliste à cette époque de l’année! ;-)

Voir ce billet.

Voir aussi : Météo.

L’urbanisme à l’aube du 21e siècle: point de vue et définitions (partie II)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 décembre 2006 5 commentaires

Pour faire suite à la première partie, voici un autre point de vue concernant ce que l’on qualifie de nouvel urbanisme. Avec un point de vue plus personnel.

Bien entendu selon moi, les Européens possèdent une longueur d’avance sur nous, Nord-américains, surtout en matière de qualité d’environnement. De plus en plus on demande aux urbanistes et architectes du monde de se pencher sur différents facteurs ou phénomènes environnementaux, tels le réchauffement climatique:

« Plus de la moitié de la population mondiale vivra dans une ville en 2030, contre seulement 10% en 1900. Le 21e siècle sera urbain. Mais la ville de 2030 ressemblera assez peu à celle du XXe siècle: de plus en plus étalée et multipolaire, diverse et fragmentée, pénétrée de réseaux et insérée dans les circuits mondiaux d’échange, autonome vis-à-vis des Etats-nations, préoccupée de son « empreinte écologique » mais aussi des tensions sociales en son sein, cette ville se réinvente en profondeur. Les technologies jouent un rôle important dans cette mutation, qu’il s’agisse d’aider les citadins à organiser l’écheveau complexe de leurs relations, leurs occupations et leurs déplacements ; de favoriser une production et une distribution de plus en plus flexibles, en ! temps réel et connectée à de multiples réseaux ; et d’organiser l’échange entre les citoyens avec, ou parfois contre, les institutions de la ville »

L’extrait ci-haut est tiré du site http://www.a-brest.net. Il est certain, à la lumière de cet article, que la ville doit être réinventée:

« Le paradigme du développement durable oriente déjà en profondeur les réflexions et pratiques des acteurs de l’urbanisme, toutes catégories confondues, à qui l’on demande désormais de maintenir la qualité de l’air, de gérer l’eau, de traiter les déchets, d’économiser l’énergie, de privilégier la qualité de vie des habitants, de préserver la biodiversité urbaine, de chasser le bruit, de renforcer l’accessibilité… Dans les prochaines années cette tendance se renforcera, quel que soit le régime urbain. Certains pays ont mis en pratique ces principes dans le cadre d’expérimentations d’éco-quartiers, comme celui de BedZed, [voir ce billet] en Angleterre, ou de construction d’une éco-ville, comme celle de Dongtan en Chine (500 000 habitants prévus en 2050). »

Je nuance toutefois: je ne suis pas tout à fait d’accord avec la vision et l’utilisation de la technologie telles qu’expliquées dans l’article car trop souvent, cette technologie fut conçue et utilisée, d’après moi, au détriment de l’être humain. Comme disait Einstein: « Le progrès technique, c’est comme une hache dans les mains d’un psychopathe. » Il est certain qu’il faudra sortir de l’ornière du déjà connu pour innover, améliorer tant soit peu le milieu et la qualité de vie des gens habitant dans les agglomérations urbaines. Cela suppose aussi de changer notre façon de voir et de faire l’urbanisme.

Toujours à propos du nouvel urbanisme, voici ce que Marie-Odile Trépanier, directrice de l’Institut d’urbanisme de la Faculté de l’aménagement à l’Université de Montréal, a déjà souligné:

 » Ce qui me paraît le plus problématique chez nous, c’est qu’on est encore dans un débat très polarisé : la méchante banlieue opposée au bon centre-ville. La vérité, c’est que la banlieue est extrêmement diversifiée comme les quartiers centraux. Il faut plutôt intervenir de façon fi n e. Le nouvel urbanisme propose des principes importants et pas seulement des applications formelles. Ce que je crains dans le nouvel urbanisme, c’est qu’on s’accroche trop aux formes. (N.D.L.A : contenant sans contenu) Il ne faut pas y voir uniquement une nouvelle façon de faire des lotissements en banlieue. Parce que faire des lotissements de banlieue en demi-cercles ou en grilles orthogonales, ce n’est pas suffisant. Le nouvel urbanisme doit être le lieu où l’on pense la ville autrement pour la rendre plus conviviale et où l’on cherche à mieux intégrer les gens, les activités et les équipements. « 

Personnellement, pour conclure, je crois qu’on devrait pousser plus à fond ce concept de nouvel urbanisme et l’appliquer dans nos environnements urbains existants. Développer une véritable symbiose entre humains et milieu, cela suppose éradiquer ce qui peut nous aliéner, nous les humains : la liste des « irritants » à combattre est longue, j’en conviens! En conséquence, tous les champs de compétences pluridisciplinaires de l’urbanisme devraient travailler de concert: reste à savoir si les décideurs politiques suivront cette nouvelle vague…et aussi le reste…

Comme disait Francis dans l’un de ces billets, « il y a des humains derrière chaque ville »: la ville trouve son existence dans l’humain. Au sens politique et social du terme, pas d’humains, pas de ville, et dorénavant, il ne faudra plus l’oublier! Un consensus se dessine: l’urbanisme ne rime plus seulement qu’avec infrastructures, routes et bâtiments. Cela est dépassé, nous sommes au 21e siècle, et nous avons de nouveaux défis à relever.  » Thinking outside the box ! « 

Merci à Jean Cazes pour sa collaboration

Voir aussi : Nouvel urbanisme.

Les négos avec U2 vont bon train pour le 400e

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 décembre 2006 Commentaires fermés sur Les négos avec U2 vont bon train pour le 400e

Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 19 décembre 2006.

Les négociations avec les membres de U2 pour leur participation aux Fêtes du 400e de Québec viennent de franchir une autre étape. Les alliés du promoteur du projet, Nemex Network, rencontreront le responsable des tournées du groupe irlandais en janvier pour parler business, ce qui prouve l’intérêt de U2 pour ce spectacle.

(suite…)

Voir aussi : Fêtes populaires et événements publics.

Un projet imaginé de rue partagée (Sainte-Claire, secteur Haute-Ville)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 décembre 2006 6 commentaires

Esquisse, rue partagée (Sainte-Claire). Source: L'Infobourg.

Cette intéressante information, je l’ai vue dernièrement sur le Forum Québec de Skyscraperpage.com. Merci à Mathieu! Un gros bolo bien personnel toutefois à ceux qui y émettent certains commentaires imbé… pardon, immatures!

Source: Comité populaire Saint-Jean-Baptiste.

Au cours des derniers mois, le comité aménagement du Comité populaire Saint-Jean-Baptiste a imaginé les premières esquisses d’un projet pilote de rue partagée dans le quartier. Ce projet vise à offrir un espace public de qualité aux résidant-es, tout en rendant plus convivial le passage des piéton-nes. (…)

Les détails. Aussi, ce billet.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Art de vivre en ville, Qualité et milieu de vie.

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