Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Art de vivre en ville »

S’inspirer d’ailleurs: Le Maire de Québec veut plus de places publiques

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 octobre 2023 4 commentaires

Stéphanie Martin
Journal de Québec

LYON | En s’inspirant de Lyon, Bruno Marchand veut créer à Québec plus de places publiques où les gens se rassemblent et «où on se sent bien»; l’idée est de créer une «densité heureuse sans gratte-ciel».

La première journée de mission en Europe pour le maire de Québec a été consacrée à l’aménagement et l’urbanisme. Accompagné de sa délégation, qui compte dans ses rangs le directeur du Service de la planification de l’aménagement et de l’environnement de la Ville, François Trudel, il a arpenté les rues de Lyon.

(…)

Le maire souhaite la création de lieux agréables et marchables que les gens ont le goût de fréquenter, où «on se sent bien», où il y a de la verdure et où l’architecture est soignée. Il a été charmé par le secteur de Confluence où les édifices en hauteur modernes s’alignent le long du canal. À leurs pieds, les passants sont nombreux et les gens fréquentent les terrasses.

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Vers la fin des places éphémères à Québec ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 juillet 2023 2 commentaires

Éric Chouinard
Radio-Canada

La désolation dans le passage Olympia, près de la rue Saint-Jean, au début de l’été, est un exemple de la diminution du nombre de places éphémères sur le territoire de la ville de Québec. Cela contraste avec le sommet de leur popularité, pendant la pandémie de COVID-19. En cette fin de juillet, seulement 16 de ces places sont répertoriées sur le site de la Ville, contre 42 en 2022.

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Haussmann, l’homme qui a transformé Paris

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 février 2023 1 commentaire

Ville de Paris

Il y a 170 ans, en 1853, sous la férule du préfet de la Seine, Georges Eugène Haussmann, débutaient de gigantesques travaux publics qui allaient façonner le Paris d’aujourd’hui. Retour sur cette révolution urbanistique.

(…)

Différents plans ont été élaborés pour redessiner la voirie parisienne – l’empereur lui-même avait ses idées -, jusqu’à l’adoption du plan définitif. Les travaux entraînent la mobilisation de 80 000 ouvriers, artisans, ferronniers, sculpteurs, etc. Le chantier est encadré par l’État et financé par l’emprunt, mais la mise en œuvre est confiée à des entrepreneurs privés.

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Quel est le futur du « gazon » de banlieue?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 août 2022 1 commentaire

une tondeuse à gazon

Si vous causez le Shakespeare, un intéressant article du Washington Post s’attarde à ce qui a déjà été la fierté du banlieusard: le gazon. En ces temps de changement climatique et de sécheresse, ils se questionnent à savoir si le concept même n’est pas dépassé. En retraçant l’historique de la cour arrière bien taillée, il semble que la belle herbe est devenue plus une nuisance qu’autre chose pour bien des propriétaires de pavillon individuel.

There’s a water crisis. Why do we still have lawns? (lien vers un article donné. Aucun abonnement requis.)

Voir aussi : Art de vivre en ville.

L’Oasis du Port: On peut maintenant se baigner légalement au Bassin Louise

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 juillet 2022 1 commentaire


Le projet de lieu aménagé pour la baignade dans le bassin Louise n’est pas jeune. Le plus vieux billet toujours actif à ce sujet sur Québec Urbain date de 2006, mais fait lui-même référence à un autre billet qui n’a pas suivi le changement d’outil de publication. Il devait avoir été écrit en 2003 ou 2004.

Le chemin a été long pour l’instigateur du projet Léonce Naud et sa Société des Gens de Baignade, mais le fil d’arrivée a été franchi le 1er juillet 2022: on peut maintenant se baigner au Bassin Louise à l’Oasis du Port.

Tout l’été, 7 jours sur 7, le site sera ouvert et des sauveteurs seront sur place. Ceux qui ont sauté hier ont bien apprécié. Malgré une certaine appréhension pour mon fils (« on va toucher aux algues au fond? »), il a adoré et il a fallu que je tire un peu pour le sortir de là!

Bonne baignade!

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Art de vivre en ville, Parc, Port de Québec.

Le gouvernement du Québec acquiert les terres des Sœurs de la Charité pour en faire un «agroparc»

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 avril 2022 1 commentaire

Jean-Luc Lavallée
Journal de Québec

Le gouvernement du Québec a confirmé, jeudi matin, son acquisition de la quasi-totalité des terres agricoles des Sœurs de la Charité, au cœur de l’arrondissement à Beauport à Québec, pour aménager un «agroparc».

L’annonce a eu lieu en grande pompe dans un chapiteau aménagé à l’extérieur de la Maison Généralice des Sœurs. La transaction devra être officialisée par l’Église catholique à Rome, ce qui pourrait prendre encore quelques mois, a-t-on précisé.

L’État québécois déboursera 28,7 M$, ce qui est légèrement inférieur au montant inscrit au rôle d’évaluation. Les Sœurs ont évoqué l’importance du «legs» à la communauté, bien conscientes qu’elles auraient pu empocher davantage. Le gouvernement Legault met la main sur 203 hectares de terres. Les religieuses conserveront environ une douzaine d’hectares autour de la Maison généralice.

Ces terres étaient convoitées depuis plusieurs années pour du développement immobilier. Le Groupe Dallaire avait dû abandonner son projet de «miniville» de 6500 unités d’habitation, en 2020, en raison du refus du gouvernement du Québec qui a dit non à deux reprises à l’administration Labeaume, qui appuyait ce projet.

Les terres avaient alors été rétrocédées aux Sœurs. «Pour nous, il était important de poser un geste fort pour assurer leur pérennité. La pression pour venir les manger allait toujours s’accroître. Pouvoir les exclure de cette convoitise-là, c’est une grande réussite», a déclaré le ministre de l’Agriculture André Lamontagne.

La population sera consultée

Le projet n’est pas encore clairement défini. La ministre responsable de la Capitale-Nationale, Geneviève Guilbault, a rappelé l’importance d’impliquer la population dans l’élaboration du concept. «On veut que ça soit un projet par et pour la population. C’est comme ça qu’on veut le faire atterrir», a-t-elle insisté.

Déjà, on évoque le développement d’un «pôle pour la recherche dans le domaine bioalimentaire». Québec veut créer une «vitrine agricole d’exception».

Le maire de Québec Bruno Marchand, a salué l’annonce. «On va s’assurer d’avoir un magnifique projet et aujourd’hui, on ne peut pas être plus fiers de la manière dont il se lance. C’est une très belle journée pour la Ville de Québec et pour l’arrondissement de Beauport», a-t-il déclaré.

L’article

Un exemple à Londres

Le communiqué de la Ville de Québec

Pour le territoire de 10 hectares à conserver par les Sœurs de la Charité, il est requis d’élargir le périmètre d’urbanisation par l’agrandissement d’une aire de grande affectation Urbain–Québec à même une aire de grande affectation Agriculture (exclusion de la zone agricole provinciale)

Voir aussi : Agriculture urbaine, Arrondissement Beauport, Art de vivre en ville, Consultation publique, Institutionnel, Parc.

Renoncer au centre-ville

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 avril 2022 Commentaires fermés sur Renoncer au centre-ville

Marc Allard
Émilie Pelletier
Le Soleil

Geneviève Beaubien pensait rester au moins trois ans dans son condo du Vieux-Limoilou, à Québec. Mais quand «bébé 3» s’est inscrit dans les plans de la famille, une maison s’est imposée.

Geneviève espérait trouver dans le même quartier. Elle adorait sa ruelle, la proximité des commerces de la 3e Avenue et l’emplacement central de sa propriété pour les couch-surfers qu’elle aime accueillir chez elle.

Mais à force de surveiller les maisons à vendre, Geneviève voyait un scénario décourageant se reproduire : beaucoup d’acheteurs pour peu d’offres, surenchère, vente sans garantie légale.

Son conjoint et elle se sont donc tournés vers le Vieux-Beauport. Ils y ont trouvé une grande maison avec quatre chambres, un bureau, un terrain aménagé et une piscine. Et ils n’ont jamais regretté leur déménagement, en 2018.

Ironie du sort, Geneviève connaît maintenant plusieurs personnes dans le voisinage qui sont parties des quartiers centraux, dont une famille de son ancienne ruelle. «Il y a vraiment beaucoup de monde de Limoilou qui s’en va à Beauport», constate-t-elle.

La «vitalité» en prend pour son rhume

Le centre-ville aurait pourtant eu besoin de les retenir. Entre 2016 et 2021, selon les estimations de l’Institut de la Statistique du Québec, la Cité-Limoilou est le seul arrondissement qui a vu sa population baisser en cinq ans, perdant environ 1850 résidents.

Entre les deux dernières périodes de recensement (2016 et 2021), Statistique Canada a aussi constaté que le centre-ville de Québec s’est dépeuplé, alors qu’au contraire, la périphérie et la banlieue sont devenues plus populeuses.

Même si les chiffres de Statistique Canada ne montrent qu’une baisse de moins d’un pour cent en cinq ans dans le cœur de Québec, la tendance est «préoccupante», d’après la professeure adjointe spécialisée en aménagement du territoire à l’École nationale d’administration publique (ÉNAP), Fanny Tremblay-Racicot.

Pour l’environnement, au premier chef. «Les quartiers centraux sont des quartiers où on peut marcher, prendre les transports collectifs ou le vélo pour se rendre à nos destinations. Pour les propriétés qui sont plus éloignées, il y a moins d’accès aux transports collectifs et les gens ont des modes de vie qui sont plus orientés vers l’utilisation de l’auto-solo. Ce n’est pas souhaitable».

«Toutes les villes veulent avoir des centres-villes qui sont dynamiques», soutient-elle, mais l’heure est plutôt au «trou de beigne». L’expression est utilisée pour illustrer la désertion plus ou moins lente des centres-villes.

«C’est comme s’il y avait une perte d’attractivité au centre-ville de Québec. C’est préoccupant, considère l’experte, et ça a des effets délétères sur les commerces et sur la vitalité en général».

Toujours plus loin

L’étalement urbain existait déjà avant la pandémie, mais Statistique Canada a senti une «accélération» dans le dernier recensement de 2021.

Les banlieues éloignées de Québec, à plus de 30 minutes de voiture du cœur de la ville, sont celles qui ont connu la plus forte croissance. Stoneham-et-Tewkesbury et Sainte-Brigitte-de-Laval en sont des exemples et Saint-Apollinaire figure en tête de liste.

Avec Saguenay, Québec est la seule ville de la province dont le centre a perdu des résidents. «C’est certain que ça va à l’encontre de la tendance de la majorité des grands centres urbains au Canada», signale Patrick Charbonneau, analyste principal au centre de démographie de Statistique Canada.

«Inaccessible»

La pandémie vient à l’esprit pour expliquer le déclin de la population au centre-ville de Québec. «Avec le télétravail, les gens peuvent se permettre d’habiter plus loin», note Fanny Tremblay-Racicot.

Quand Guillaume Bergeron et sa conjointe, Roxanne, se sont retrouvés en télétravail, ils ont réalisé que le vaste appartement neuf qu’ils louent dans Beauport leur permettait de respirer. «On s’est rendu compte qu’une pièce ou deux de plus, c’est important», dit Guillaume.

Le couple, qui veut avoir des enfants, était attiré par le centre-ville. Mais il a été rebuté par les prix élevés et le manque d’espace. Pour les familles qui veulent «autre chose qu’un condo, le centre-ville est devenu un peu inaccessible», constate Guillaume. Le couple magasine maintenant une maison du côté de Charlesbourg et Beauport. Selon Guillaume, de nombreuses jeunes familles veulent un «juste milieu» en banlieue, «sans être à l’autre bout du monde et avoir deux voitures».

Beaucoup de demandes, peu d’offres

Jimmy Doyon, courtier immobilier chez Via Capitale, accompagne beaucoup de jeunes familles qui cherchent des propriétés au centre-ville. La quête est difficile, rapporte-t-il. La demande des acheteurs est forte, mais l’offre est faible.

Souvent, aussi, les maisons sont à rénover ou trop petites pour les besoins des clients de Jimmy Doyon. Mais surtout, elles sont trop chères. «J’ai beaucoup de clients qui auraient aimé rester en ville, mais pour qui ce n’est juste pas possible, par rapport à leur budget», dit-il.

Le courtier donne l’exemple d’une famille qui cherche une propriété autour de 400 000 $ assez grande pour accueillir deux parents et deux enfants. «On ne trouve pas, alors on doit aller plus loin, comme à Charlesbourg», dit-il.

La semaine dernière, M. Doyon a vendu une maison au centre-ville relativement petite, mais clé en main, affichée à 319 000 $. Il a reçu 27 visites en une fin de semaine, sept promesses d’achat, et il a vendu la propriété en surenchère.

Jennifer Debra Egan, courtière immobilière chez Egan Courtier Immobilier, remarque que de plus en plus de premiers acheteurs doivent acheter avec l’aide de leurs parents. Le «profil type, c’est maman et papa qui donnent leur héritage tout de suite à leur enfant pour acheter une première propriété au centre-ville», dit-elle.

« «La dynamique immobilière dans les quartiers centraux ne favorise pas le maintien des familles ou l’attraction des ménages avec des revenus moyens ou modestes. »

— Stéphane Roche, professeur titulaire de sciences géomatiques à l’Université Laval

La rareté des constructions neuves freine aussi l’attractivité du centre-ville. «Les endroits où on voit une augmentation de la population plus élevée, c’est généralement lié à de nouvelles constructions», pointe le démographe de Statistique Canada Patrick Charbonneau.

Quand il y en a au centre-ville, les nouvelles habitations s’adressent souvent à de jeunes professionnels ou à des retraités, note le professeur Stéphane Roche. Avec une seule chambre, «il n’y a rien pour les familles». «Et après, il y a un étonnement que les quartiers centraux se vident de leur population, déplore-t-il. C’est juste la logique».

Quel remède?

La baisse de la population au centre-ville de Québec n’est pas une fatalité, croit Fanny Tremblay-Racicot, de l’ÉNAP.

Selon elle, Québec est notamment en retard par rapport à Mont­réal en matière d’écofiscalité pour favoriser le développement immobilier. Mme Tremblay-Racicot cite en exemple les stationnements de surface, pour lesquels la métropole impose une surtaxe pour «inciter les propriétaires à faire un meilleur usage de leurs grands espaces de stationnement».

Une telle mesure n’existe pas à Québec. «Il y a plusieurs espaces comme ça à Québec qui pourraient faire l’objet de requalification. Tout espace de surface devrait idéalement être développé», estime l’experte.

« Face aux tendances du marché, ça prend une volonté politique très forte pour les corriger. »

— Fanny Tremblay-Racicot, professeure adjointe spécialisée en aménagement du territoire à l’ÉNAP

Le maire de Québec, Bruno Marchand, entend «court-circuiter» la baisse de la population au centre-ville avant qu’il ne soit trop tard.

Le déclin du Vieux-Québec est particulièrement critique, selon lui. «On perd du monde. On a à adapter la ville pour que ce soit attrayant d’y vivre, avec des services adéquats».

Avant même son élection, M. Marchand promettait de ramener 500 résidents dans le quartier historique. Il présentera son plan dans les prochaines semaines. 
Si le centre-ville de Québec continue de se vider, des services ne seront plus offerts à une population assez dense, craint-il.

«On n’est pas rendus là, souligne M. Marchand. Mais il ne faut pas regarder si loin pour voir qu’ils ont des enjeux partout dans le monde, les centres-villes. On a des leviers. Maintenant, il s’agit de les mettre en place et c’est ce à quoi on va s’attarder.»

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OÙ EST LE CENTRE-VILLE DE QUÉBEC ?

Même pour les habitants de Québec, les limites du centre-ville sont floues. Correspond-il au centre historique? Aux quartiers centraux? À l’arrondissement La Cité-Limoilou?

Pour Statistique Canada, le centre-ville comprend le Vieux-Québec, la colline Parlementaire et le secteur Cap-Blanc. Il inclut aussi les quartiers Montcalm, Saint-Jean-Baptiste et certaines portions des quartiers Saint-Roch, Saint-Sauveur et Saint-Sacrement.

Mais pour certains résidents des quartiers centraux, le centre-ville est plus large et équivaut à l’arrondissement de La Cité-Limoilou et ses neuf quartiers, englobant aussi le Vieux-Limoilou, Lairet et Maizerets.

Quoi qu’il en soit, les données de Statistique Canada et de l’Institut de la statistique du Québec pointent dans la même direction : la population baisse à la fois au centre-ville et dans l’arrondissement La Cité-Limoilou.

L’article

Voir aussi : Art de vivre en ville, Étalement urbain.

Les portraits de la densification

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 janvier 2021 Commentaires fermés sur Les portraits de la densification

Oui dans ma cour

Nos voisinages se transforment et ce n’est pas nouveau. Ces transformations tendent à s’accélérer, pour plusieurs bonnes raisons. Partout au Québec, tous les jours, l’architecture se réinvente, de nouveaux voisins et voisines emménagent. Et ces changements peuvent être positifs pour tous.

Avec les portraits de la densification, découvrez les nouveaux voisins et leur histoire, de même que de nouveaux bâtiments habilement intégrés aux quartiers.

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Voir aussi : Art de vivre en ville, Densification.

Des rues piétonnes en hiver ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 septembre 2020 Commentaires fermés sur Des rues piétonnes en hiver ?

Source : Alexandre Duval, Ici Québec, le 28 septembre 2020

Les rues piétonnes vont peut-être continuer à animer certains quartiers de Québec pendant l’hiver. Si l’idée commence à peine à circuler concernant la rue Saint-Joseph en basse-ville, une demande officielle sera bientôt faite concernant la rue Saint-Jean, dans le Vieux-Québec.

La majorité de mes membres ont de l’intérêt pour ça, assure le président de la Société de développement commercial (SDC) du Vieux-Québec, Jacques-André Pérusse.

Il indique que la Ville sera informée des intentions de la SDC dans les prochains jours. L’idée serait de garder la rue Saint-Jean piétonne, mais uniquement lors des fins de semaine achalandées, entre la rue d’Auteuil et la côte du Palais.

C’est sûr que pendant le Marché de Noël, il y a des fins de semaine importantes, cite en exemple M. Pérusse.

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Que penser des rues piétonnes ?

Voir aussi : Art de vivre en ville, Transport.