Le Carrefour de Québec
Top 5 des désagréments de la vie urbaine à Québec
Par 
Gérald Gobeil le 26 juin 2015 9 commentaires
Voir aussi : Québec La cité.
9 commentaires
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26 juin 2015 à 16 h 29
Si c’est ça le top 5 des désagréments, eh bien la vie est belle !
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26 juin 2015 à 16 h 30
Désolé pour ma franchise, mais cet article n’est pas pertinent. En plus il est bâclé : la description du premier et du deuxième point est pareil.
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26 juin 2015 à 22 h 13
C pas génial mais bon … ;-)
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27 juin 2015 à 06 h 38
Bon matin!
C’est sûr qu’on pourrait détailler davantage sur les « irritants urbains » que l’on doit parfois endurer en ville (banlieue ou quartiers centraux), dans les transports en communs, dans notre immeuble…
À titre d’exemples : les vélos sur les trottoirs (mon top 1!), les fumeurs dans les abribus, les colons dans leur char avec leur musique disco au boutte, les conversations futiles au cell dans l’autobus, les graffiteurs (top 2), la tondeuse le dimanche matin…
Beau sujet de défoulement à développer sur les pages et des pages! ;-)
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27 juin 2015 à 12 h 26
« La chaleur »…. Cette article n’a certainement pas été écrit cet année….
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27 juin 2015 à 14 h 31
J’ai vécu à Québec pendant 6 ans et j’ai fait un retour en région pour 3 des 5 raisons de ce palmarès (en plus du désir de me rapprocher de ma famille). La promiscuité des voisins et le manque de stationnement (je vivais au centre-ville et utilisais l’autobus) ne me dérangeaient pas le moins du monde.
Par contre, le bruit, la pollution (je vivais à deux coins de rue de l’épicentre de la crise de la légionellose) et la chaleur m’ont beaucoup déplu en plus des éternelles files d’attentes à tout moment.
Ceci dit, Québec est la ville que je choisirais sans hésiter si le besoin de vivre dans un grand centre me reprenait. Malgré les désagréments caractéristiques de toute ville de cette taille, Québec est un lieu spectaculaire et j’en conserve bon nombre de souvenirs impérissables. Tellement que je me considère toujours comme un citoyen de Québec et que je continue de suivre son développement et ses bons coups. Je souhaite à Québec de demeurer un lieu urbain agréable tout en soutenant la croissance qui lui permettra de continuer à être une ville de classe internationale. Les citoyens de Québec ont beaucoup de motifs de fierté!
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28 juin 2015 à 16 h 21
L’immobilisme.
La schizophrénie des projets grandioses et stériles qui ne débouchent sur rien.
Dans le centre historique, aucun projet ne s’est réalisé depuis … les années 70.
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28 juin 2015 à 17 h 30
Quels projets ne se seraient pas réalisés dans le centre historique depuis 1970 ? Merci.
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28 juin 2015 à 18 h 04
Les centres de recherches de l’Hôtel-Dieu, la rénovation du Palais-Montcalm, l’Espace 400e, la Maison de la littérature, le Monastère des Augustines et tout l’Hôtel-Dieu si ce n’avait été cette mauvaise décision de remplacer le projet par celui de l’Enfant-Jésus à quelques semaines du début des travaux…
Les projets ne manquent pas même si certains n’ont pas été concrétisés.
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