Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


S’inspirer d’ailleurs: La verte Suède tourne le dos à l’or noir

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 avril 2007 3 commentaires

J’apporte cet article, pour bien faire comprendre qu’on peut toujours changer notre mode de transport et façon de faire, que ce soit en relation avec l’urbanisme, ou bien donc avec notre mode de vie de citadin…

Source: François Cardinal, La Presse.

Le pétrole est une drogue dure à laquelle la planète est accro. Devrions-nous modifier nos habitudes avant que la ressource ne vienne à manquer? Notre journaliste François Cardinal revient d’un séjour en Suède, seul pays au monde à avoir entamé une cure de désintoxication.

[…]Le défi est grand, mais moins utopique qu’on pourrait le croire. La Suède, qui nage à contre-courant depuis 30 ans déjà, l’a prouvé. Secouée par la crise du pétrole dans les années 70, le pays consomme en effet deux fois moins d’or noir aujourd’hui qu’à l’époque.[…]

La suite.

Voir aussi : S'inspirer d'ailleurs.


3 commentaires

  1. Manu

    4 avril 2007 à 10 h 02

    Super!

    C’est sur que « ne pas utiliser le pétrole » ne veut pas dire « pas de GES ». D’ailleurs, utiliser de la biomasse par exemple n’est pas toujours moins polluant que le pétrole. Néanmoins, dans l’ensemble, les suédois semblent être beaucoup moins polluants que le reste de l’occident et ce, avec un train de vie semblable.

    À noter : « d’ici 15 ans, on pense qu’on pourra se passer du pétrole pour se chauffer. » Ça c’est quelque chose qu’on pourrait faire ici très facilement, sans changer les habitudes de personne (c’est ce qui est le plus difficile). La seule question c’est « qui paie quoi ». Si on ajoute une taxe au mazout, ceux qui vivent dans de vieux appartements pourraient avoir du mal à absorber la hausse de loyer. Si par contre on subventionne le remplacement de systèmes de chauffage, on ne sera pas « juste et équitable » avec tous ceux qui ont investi là-dedans ces dernières années dans le but de « bien faire » justement (à moins d’une mesure « rétroactive graduelle sur 10 ans »?). Dans tous les cas, il ne faut pas que ça se fasse trop vite, pour éviter que les prix de systèmes de chauffage de remplacement ne grimpent en flèche.

    Peut-être qu’on pourrait simplement appliquer des mesures du genre petit à petit, sur 20 ans, quitte à ce que rendu là, l’huile à chauffage ait un coût tout simplement prohibitif.

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  2. MIMI

    4 avril 2007 à 10 h 10

    Hum… puis-je faire une proposition?

    Je n’aime pas trop les chaines de lettre par courriel… mais parfois, je les lis car certains points sont intéressants.

    Je propose qu’on prenne ce texte et l’envoyer à plusieurs personnes.

    Je crois qu’il est nécessaire de montrer à la population du Québec qu’il est possible de bien faire question environnementale… s’agit parfois de se donner un petit coup de pied au c$?/ ». ;)

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  3. Jonathan

    4 avril 2007 à 18 h 18

    « que ce soit en relation avec l’urbanisme, ou bien donc avec notre mode de vie de citadin… »

    bon, mettons cela au point une fois pour toute, notre mode de vie est intensément lié à l’urbanisme et à la façon dont la ville est construite tout comme la forme urbaine elle même est dessinée en fonction du mode de vie souhaité d’une communauté…

    la n’est peut etre pas le point de l’article mais la nuance était importante!

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