Un autre dossier à ajouter dans le cadre d’une plus ou moins discutable future Commission d’enquête portant sur l’obésité de nos jeunes… ou leur précoce endettement! ;-)
Source: Stéphanie Martin, Le Soleil, 14 mai 2008.
Les routes du Québec sont prises d’assaut par les cyclomoteurs. Depuis 2001, leur nombre a plus que doublé. Dans les cours d’écoles secondaires, les populaires scouteurs sont en voie de supplanter les vélos. Et avec cette hausse spectaculaire, les accidents suivent la même courbe ascendante. (…)
16 mai 2008 à 20 h 57
Sans compter les rejets polluants de ces engins.
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17 mai 2008 à 09 h 16
Il me semble que lorsque j’étais ado, vers la fin des années 70, la plupart des jeunes de mon âge délaissaient déjà le vélo pour la mobylette ou le mini-trail. Dans mon quartier en tout cas (Orsainville), si ma mémoire est bonne, il y avait autant de cyclomoteurs qui circulaient que de scooters aujourd’hui.
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18 mai 2008 à 07 h 31
Autrefois, les « mobylettes » c’étaient pour les gosses de riches. Aujourd’hui il semble qu’elles sont plus accessibles. Je crois aussi qu’il y a un marché chez les jeunes adultes, une bonne alternative à l’automobile en ces temps durs sur le pétrole.
C’est probablement pourquoi les scooters sont déjà très nombreux en Europe, à un point où ils représentent un importante source de bruit, compte tenu que leur petit moteur tourne toujours à plein régime. Les problèmes de stationnement y sont probablement une bonne raison.
Pour les accidents, il y a justement eu un grave accident de scooter juste derrière chez moi il y a 2 ans, triste à voir. J’ignore ce que les 2 jeunes sont devenus mais il est fort probable que le seul moyen de transport qu’ils utilisent aujoud’hui soit le transport adapté.
@Pierre P
J’ai justement vu un mini-trail en vente chez Canadian Tire dernièrement, c’était dans les 800$ si je me rappèle bien, ça montre à quel point c’est devenu abordable.
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