Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Chapeau, M. L’Allier!

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er juillet 2008 11 commentaires

Renaturalisation des berges de la Saint-Charles. Vue en direction SE. Jean Cazes, 3 juin 2008.

Sur ce, soyez sage, et bon congé… ou déménagement! ;-)

Source: Régis Caron, MédiaMatinQuébec, 30 juin 2008.

Il suffit de parcourir Québec à pied ou à vélo et de se rappeler de quoi cette ville avait l’air il y a 20 ans pour apprécier ce qu’elle est devenue: un bijou d’aménagements urbains intelligents et de constructions pertinentes devant lesquels les citoyens et les touristes ne font que commencer à s’émerveiller.

Il ne s’agit pas ici de se répandre en flagorneries, mais de reconnaître celui qui a été le grand architecte de cette transformation en accéléré. Cet homme, c’est Jean-Paul L’Allier qui a présidé aux destinées de la ville de Québec pendant 16 ans, de 1989 à 2005. (…)

Québec, il y a 20 ans, c’était le centre-ville laissé à l’abandon qu’on avait surnommé plywood city. La démonstration du succès de la revitalisation de Saint-Roch n’est plus à faire. (…)

Avant de quitter ses fonctions, Jean-Paul L’Allier avait eu le temps de lancer la revitalisation du secteur d’Estimauville qui est en voie de réalisation. Beaucoup reste à accomplir, l’œuvre publique n’étant jamais terminée. Mais rarement a-t-on vu héritage politique aussi accompli et tangible que celui de Jean-Paul L’Allier.

La suite. Merci à Jaco pour nous avoir référé cet article dans le billet suivant: Jalouse de Québec.

Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement La Cité - St-Roch, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.


11 commentaires

  1. Martin Otis

    1er juillet 2008 à 07 h 44

    M. l’Allier a effectivment lançé la série de rénovations que ce soit la colline parlementaire et St-Roch notamment..mais il ne faut pas s’arrêter, St-Roch a encore du travail à faire; et plusieurs autres secteurs de la ville sont murs pour du travail

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  2. Fernand

    1er juillet 2008 à 11 h 28

    Eh oui, à D’Estimauville quinze jours après que le gouvernement Charest annoncait qu’il se retirait du projet, L’Allier et Larose achetaient le centre d’achat «Les Galeries Ste-Anne» au coût de 4 millions en octobre 2004. Sans projet concret, avant les élections de 2005, ils ont démoli le centre d’achat au coût de 1,5 millions et ont exproprié les commerces au coût de 350,000$ après avoir supporté pendant un an lentretien au coût de 250,000$. Par la suit, on acheta le Cdn Tire au coût de 1,1 million. Récemment on financa une étude de faisabilité.

    On est toujours dans l’expectative d’un projet réel et sans promoteur on a ingurgité 7,5 millions de nos taxes pour y faire un dépotoir à neige d’urgence et un parc-o-bus.

    L’Allier dont ses amis possèdent les terrains environnants s’est en allé en sifflottant sur son île. Ca prenait toute une vision pour nous laisser en plan avec 7,5 miliions de dépensé…

    J’admire les Andrée Boucher, Jean-Francois Gosselin, Michel Després, Régis labeaume et autres qui se démênent pour amener sur ce site des réalisations concrètes. Les fonctionnaires fédéraux c’est un projet Boucher-Gosselin-Labeaume, L’Allier n’a rien à voir là dedans…

    Mais il y a des nostalgiques et des rêveurs…

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  3. PAM

    1er juillet 2008 à 12 h 34

    M.Fernand,

    sans rêves l’homme n’est rien. Pensez aux grandes réalisations de ce monde. Tout part d’un rêve. Les pragmatiques de ce monde ne font qu’exécuter ce qui a été imaginé d’abord par un  »rêveur ».

    Si ce n’était que de madame Boucher nous serions encore cantonné dans nos petits villages sans aucune vision d’ensemble à simplement compter nos taxes…

    Avec M.Labeaume il faudra voir avec le temps mais pour le moment il est beaucoup trop tôt pour conclure que ce dernier est de la trempe des L’Allier-Parent. Je le crois un peu opportuniste, mais attendons de voir…

    M.L’Allier fut sans contredis l’une des figures marquantes de la politique municipale au tournant du XX ième et XXI ième siècle. L’histoire nous le confirmera!

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  4. Fernand

    1er juillet 2008 à 15 h 02

    En tout cas Labeaume réuni autour de lui les ex-maires Pelletier, Lamontagne et le mari de Mme Boucher…

    Ebn tout cas pour un visionnaire comme L’Allier, le 400ème s’en allait dans le mur…

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  5. PAM

    1er juillet 2008 à 16 h 37

    qu’est-ce qu’un dentiste vient faire dans tout ça :-).

    Pour ce qui est du 400ième il ne faudrait pas oublier que c’est Mme Boucher qui était maire il y un an. Et puis le championnat de hockey a failli nous glisser entre les pattes avec cette même dame. Sans compter que pour notre zoo c’est bien fini grâce au tandem Despré-Boucher…

    Il est clair qu’une anti-fusionniste, pour qui gérer  »l’ingérable ville de Québec », ne pouvait avoir de rêves de grandeur pour Québec… Quoique, il est vrai, qu’à une certaine époque cette dame rêvait de châteaux!…

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  6. Martin Otis

    1er juillet 2008 à 16 h 43

    Quoique, il est vrai, qu’à une certaine époque cette dame rêvait de châteaux!…

    —-

    et de plages…

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  7. Guill

    1er juillet 2008 à 19 h 50

    Si un jour je me présente à la mairie, j’obtiendrais l’appuie d’un dentiste… Ça semble en impressionner quelques uns…

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  8. Serge Alain

    1er juillet 2008 à 21 h 00

    En 6 mois, l’un des bons coups de Monsieur Labeaume fut certainement l’embauche de Monsieur Gélinas pour gérer les festivités de cette année. Pour le reste, bon, enfin, l’avenir nous le dira…

    … car il est trop tôt pour le comparer à un Monsieur L’Allier (qui a été élu à répétition par les gens de Québec, je vous le rappelle, Fernand) durant de si longues années.

    J’ai connu le quartier Saint-Roch dans les années ’70 et ’80 et je dois dire que ce que je vois aujourd’hui est un merveilleux « début », et l’oeuvre d’une administration qu’on se plaît à dénigrer aujourd’hui dans certaines radios populistes. Que M. L’Allier demeure à l’Ile d’Orléans, ce n’est vraiment pas important: l’important est l’orientation qu’il a donné à cette ville.

    Pour faire quelque chose avec cette ville, je privilégie personnellement les visionnaires avec des couilles plutôt que les comptables sans formation ou les hommes d’affaires trop pragmatiques.

    Pour le reste, je ne ferais que répéter ce que PAM a écrit ici. Notamment cette mention:

    « Si ce n’était que de madame Boucher nous serions encore cantonné dans nos petits villages sans aucune vision d’ensemble à simplement compter nos taxes… »

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  9. Maxime Sirois

    2 juillet 2008 à 08 h 23

    Moi qui pensait nâivement que ce blogue serait exempt de l’esprit partisan politicailleux pom-pom girl de l’honorable M. Trudel de Beauport…

    Alors, mes amis, j’espère que vous êtes prêts à entendre parler du maire comme étant le nouveau messie face au méchant RMQ qui ne pense qu’au centre-ville et délaisse les pauvres banlieues…

    Je m’en fous de le savoir, ce blogue est pour célébrer la beauté URBAINE de notre ville, banlieue y compris. Laissons les politiciens où ils sont…

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  10. jaco

    2 juillet 2008 à 18 h 26

    OEUVRER: travailler a réaliser qqchose d’important!

    Si je mets cette définition , c,est bien entendu que je crois qu’il ,a tout mis en oeuvre pour obtenir qqchose d’important pour cette ville..

    MAIS QUOI? (that’s the question)

    Pour éclaircir la brume de l’intangible, j’ai trouvé un texte de lui-même
    et que je vais publier dans la section « Forum » pour ceux que ne rebute pas une analyse assez théorique mais ou on sent la conviction!

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  11. AlainQc

    2 juillet 2008 à 20 h 45

    Vraiment Fernand, vous dites n’importe quoi pour essayer de vous rendre intéressant. Vos interventions mesquines vous déshonorent monsieur. À croire que vous êtes aveugle si vous ne voyez pas que la beauté de Québec aujourd’hui est le fait d’un homme visionnaire qui a su rêver et concrétiser ses rêves. Vous la trouvez belle cette ville monsieur Fernand ? Oui, alors rendez à L’Allier ce qui lui appartient et cessez de glorifier ceux qui l’avaient laissé à l’abandon. Vos propos sont souvent (toujours) choquants à lire car ils relèvent d’un aveuglement mesquin.

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