Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Table ronde sur les élections

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 octobre 2009 10 commentaires

Depuis vendredi, tous les joueurs sont maintenant connus. Et si à Québec, on peut se risquer à faire des prédictions sans trop se tromper quant à la mairie, c’est dans les disctricts que les choses vont se jouer. On sait que les électeurs auront à faire deux croix, une pour le maire de leur choix, et une autre pour leur conseiller (ou conseillère) Comment les choses vont-elles se jouer ? Et puis, quels sont-ils les véritables enjeux dans cette campagne? Nous avons réuni une table ronde citoyenne pour tenter de voir comment les citoyens voient cette drôle de course qui semblee pas en être une

Parmis les invités à Retour sur le monde à Radio-Canada, le collabotareur régulier de Québec urbain Gérald Gobeil

Voir aussi : Élection municipale.


10 commentaires

  1. Erick

    6 octobre 2009 à 09 h 57

    Au poste de maire, il n’a que des crackpottes comme compétiteurs, alors il va surement rentrer à pleine porte.

    Mais au niveau local il va surement perdre quelques conseillers. Pas sur qu’il va passer dans Limoilou, et sur le Plateau Ste-Foy la lutte sera chaude entre 4 ou 5 candidats dont le mari de l’ex-Mairesse Boucher et la proprio du Café Suprème de Place-Québec.

    Mais je m’attend à ce qu’il soit majoritaire, vu que selon les sondages, 70% des gens veulent lui des donner un mandat majoritaire. Ca trahit clairement les intentions de votes…

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    • Réal Utilisateur de Québec Urbain

      6 octobre 2009 à 14 h 49

      Le candidat du Défi Vert, un crackpot ?

      Homme d’affaires, industriel et passionné de la cause environnementale, Yonnel Bonaventure est également cofondateur du réseau Piazzetta, créé en 1989.
      Né à Paris le 3 août 1953, diplômé en Génie mécanique de l’Université de Paris, c’est en 1976 que Yonnel Bonaventure immigre au Canada. Industriel et restaurateur, Yonnel Bonaventure se consacre à promouvoir et créer une alimentation saine. Yonnel Bonaventure est propriétaire de l’usine Piazzetta qui produit et distribue, dans plus de 20 restaurants ainsi qu’une centaine d’épiceries, des aliments de grande qualité fabriqués sans additif chimique.

      Y a pire comme crackpot ….

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      • Manu

        7 octobre 2009 à 22 h 31

        Ça avait l’air intéressant ce parti jusqu’à ce que je lise leur programme… à titre d’exemple, il ont clairement choisit des mots qui signifient qu’il soit impensable de vouloir autre chose qu’un traway à Québec sur les actuels parcours 800-801 et que toute autre idée équivaut à refuser le développement durable à Québec. Comme s’il n’y avait pas d’alternative, et que rien d’autre ne pouvait être « durable ». En plus d’être bornés, ils se réfèrent à Accès Transport Viable, organisme qui a défendu ce dossier de manière très peu crédible (sujet largement discuté sur QU) avec plein de comparaisons très boiteuses.

        Autres petits cas « cocasse », ils parlent de revoir les plans de « l’autoroute Henri-Bourassa vers le nord », ainsi que du « boulevard entre Lac-St-Charles et l’Ancienne-Lorette ». Deux liens routiers qui n’existent pas et n’existeront pas. Tant qu’à dire des conneries…

        Donc, malgré qu’ils aient des candidats un peu partout en ville, force est de constater qu’ils ne connaissent même pas leur ville (au mieux ils connaissent leurs petits quartiers centraux, et s’imaginent probablement que c’est ce qui consistitue l’essentiel de la Ville de Québec… soupir… pourquoi n’appelent-ils donc pas leur parti le « Parti nombril vert »? )

        Ainsi, malgré de bonnes idées dans leur programme (et au moins, à leur défense, ils en ont un!) ils ne connaissent qu’une petite partie de la ville. La majorité des gens, qui habitent tout le reste, ne se sentiront donc pas interpelés.

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  2. Erick

    6 octobre 2009 à 10 h 02

    Et au sujet des crackpottes, je trouve ca dangereux de ne pas lui opposer de candidats sérieux. Réalisez-vous que si jamais Labeaume faisait une gourde majeure la semaine précédant les élections, comme par exemple être pris dans un scandal, on pourrait se ramasser avec un débile comme maire!!!!!

    Là-dessus je souligne la réaction de mauvais-perdants du RMQ qui ne lui oppose aucun candidat sérieux alors qu’ils étaient à peu près les seuls à pouvoir le faire…..

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    • julien

      6 octobre 2009 à 13 h 50

      Je ne pense pas que ce soit une réaction de mauvais perdant. Mais, je vois mal un parti établi mettre quelqu’un sans aucune crédibilité juste pour mettre quelqu’un. Cela ne ferait que miner la crédibilité des candidats aux postes de conseillers.

      Et, pas facile de trouver quelqu’un de crédible qui est prêt à mettre sa carrière en veilleuse quelques mois le temps de faire une vraie campagne tout en sachant qu’il ne se fera pas élire…

      Sinon, comme opposition, Yvon Bussières dans St-sacrement a des chances d’être élu selon moi, tout comme Jacques Teasdale dans St-Émile/Lac-St-charles.

      Au total, on pourrait quand même avoir une opposition, et s’ils sont capables de travailler ensemble, cela pourrait donner de bons résultats.

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    • Manu

      7 octobre 2009 à 22 h 35

      Et ce n’est pas juste de mettre sa carrière en veilleuse quelques mois, mais plutôt pendant 4 ans si on ne se fait pas élire maire, car on ne peut pas se présenter à la fois à la mairie et dans un district.

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  3. Erick

    6 octobre 2009 à 14 h 58

    Le meilleur opposition serait celle qui serait composée d’indépendants et non pas de membres d’un parti qui font du bloquage systématique à tous les projets, même les bons… Le RMQ s’est fait particulièrement détester pour ce genre de comportement durant le règne Boucher.

    C’est d’ailleurs malheureux que Labeaume se soit formé un « parti » alors qu’on a voté pour un indépendant. Car quand je dis que l’opposition devrait être formée d’indépendants, ca s’applique aussi aux autres conseillers « au pouvoir » (je précise entre guillements car cette notion de « parti au pouvoir » devait être inexistante).

    Effectivement quelques gros noms comme Teasdale devraient passer. Dans plusieurs districts, on ne connait tellement pas les candidats qu’on a le choix de voter pour un no-name « équipe labeaume » ou d’autres no-names qui nous disent rien du tout……

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    • Manu

      7 octobre 2009 à 22 h 36

      Il me semble que le prétexte à la formation d’un parti était le financement. Les règles de financement avantagent les partis plutôt que les indépendants. Je n’ai toutefois pas les détails pour confirmer cela.

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  4. Jean Cazes (monlimoilou.com)

    7 octobre 2009 à 09 h 09

    Bonjour, Gérald

    J’ai bel et bien écouté l’émission, hier (bravo!), mais là, j’ai perdu le lien… Peut-être nous le rappeler?

    Merci à l’avance, car je veux aussi le publier dans monlimoilou!

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