Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Québec vu d’en haut: le quartier Limoilou

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 30 novembre 2009 6 commentaires

Quebec city's Limoilou district

Voir aussi : Québec vu d'en haut.


6 commentaires

  1. sim 21

    30 novembre 2009 à 23 h 56

    Je souhaite de vivre un jour dans Limoilou pour voir ce que c’est.
    Il semble y régner une vie de cartier assez incroyable dans ce coin de la ville.

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  2. Caroline

    1er décembre 2009 à 13 h 11

    J’ai longtemps habité et fréquenté Limoilou. Même si le quartier s’est beaucoup transformé, il y a un «fond» qui subsiste, tenace, comme une odeur de pouding chômeur. La vie de quartier n’est plus ce qu’elle était puisque le monde bouge beaucoup plus qu’avant, mais l’esprit y est encore présent quand je passe par-là. Beaucoup de souvenirs. Je vous souhaite d’y vivre également, sim21.

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    • Éric

      1er décembre 2009 à 18 h 33

      Limoilou.
      Des sens uniques (dans le vieux secteur). Beaucoup d’odeurs, aussi… celles de l’incinérateur et celles de la papeterie. Et celles de la Rothman’s selon la direction du vent. Ainsi que des lignes à haute tension en plein trottoir (2e Rue), dans sa cour arrière (rue Soumande, rue de la Sapinière-Dorion) ou l’autre bord de sa rue (rue des Aulnes). Et des habitations avec vue sur des gros réservoirs (bd Montmorency) quoique c’est toujours moins pire qu’à Montréal-Est. :P

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  3. Jean Cazes (monlimoilou.com)

    1er décembre 2009 à 23 h 23

    Des sens uniques (dans le vieux secteur). Beaucoup d’odeurs, aussi… celles de l’incinérateur et celles de la papeterie. Et celles de la Rothman’s selon la direction du vent. – Éric

    Mais encore?

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    • Caroline

      2 décembre 2009 à 13 h 04

      Éric n’a pas tort. Les odeurs ne manquent pas à Limoilou. Entre autre celle de la papeterie dans le temps, (toasts brûlées). Mais tout ça fait de Limoilou ce qu’il est comme quartier. Evidemment, mes souvenirs sont de plus en plus loins dans le temps mais toujours présents dans ma tête, comme le refrain d’une vieille chanson. Marie Noël, les ruelles, les bancs de neige haut «comme ça» en plein milieu de la rue, les veillées sur le balcon en pleine chaleur estivale, le monde «vrai», authentique, parlant le même langage d’une p’tite job, les clochers en concert le dimanche matin. C’est ça mon Limoilou. Je suis contente d’en être sortie : je peux l’apprécier. Je ne sais pas si je pourrais en parler en ces termes si je l’habitais encore. C’est toujours plus vert dans le quartier d’à côté. On dit. J’pense que j’m’ennuie ;)

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      • Éric

        2 décembre 2009 à 17 h 22

        Moi aussi, quand j’étais jeune, il y avait encore des andains de neige au milieu de la rue. En fait, quand j’étais jeune, il y avait de la neige rendu un 2 décembre. ;o)
        Mettons.. années 80, 90…

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