Le Réseau de transport de la Capitale monte à bord de l’ère de la technologie hybride. De 2012 à 2015, c’est 101 autobus hybrides qui seront achetés pour sillonner les rues de Québec. Leur arrivée représentera une économie de consommation de carburant de 22%.
23 septembre 2010 à 15 h 42
Y vont faire quoi avec les autobus existante?? Si yen a 100 de plus , yen a surrement qui vont disparaitre?
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23 septembre 2010 à 15 h 44
j’imagine que ça fait partie du cycle courant de remplacement de autobus… Je doute fort que ça vienne à créer un surplus d’autobus pour la ville…
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23 septembre 2010 à 16 h 57
Le RTC conserve ses autobus environ une quinzaine d’années, donc il y a un quinzième de sa flotte qui est renouvelé à chaque année. Les vieux bus sont revendus ou envoyées à la scrap ou cannibalisés pour leurs pièces de rechange compatibles avec des modèles plus récents.
En fait le RTC en achète plus qu’il en dispose car il cherche désespérément à offrir plus de service à sa clientèle rapidement grandissante. C’est d’ailleurs pourquoi ils a construit un nouveau garage dans le parc industriel Armand-Viau il y a quelques années et qu’ils devront l’agrandir les prochaines années pour augmenter encore plus la flotte pour offrir plus de service.
J’ai d’ailleurs appris cette semaine que la raison pourquoi ils mettent pas de rack à bicycle sur d’autres bus que les articulés c’est que le vieux garage de la rue des Rocailles est tellement plein qu’on ne peut pas s’y permettre d’allonger les bus de 50cm avec des racks à bicycles
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23 septembre 2010 à 16 h 06
Pourquoi le RTC n’investie pas dans le nouveau tramway avec Bombardier? Ca serais un bon investissement.
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23 septembre 2010 à 16 h 47
Ca irait mieux s’il avait des rails pour rouler dessus…
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23 septembre 2010 à 16 h 55
Avez vous calculé le nombre d’années que ca prend pour rentabiliser en économie d’essence le prix supplémentaire du bus? Selon les chiffres publiés dans Le Soleil, j’arrive à un chiffre tellement astronomique que le bus ne se rentabilise jamais.
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23 septembre 2010 à 17 h 06
Ouin, j’avoue que monétairement, on sera sans doute jamais gagnant au change.
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23 septembre 2010 à 21 h 20
C’est effectivement le cas. Les services d’ingénierie du RTC me l’ont confirmé. En fait, il espère que ce sera rentable avec la prochaine génération de système hybride.
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23 septembre 2010 à 17 h 34
J’ai déjà lu à quelque part que la moyenne des projets visant à diminuer les GES est de 5000$ la tonne. Or, cet autobus hybride produit 24 tonnes de moins par années que le diesel standard. La différence de prix entre les deux est de 276000$. Ça voudrait donc dire que ça rivient à
276000$ / 24 tonnes = 11500$ la tonne
Mmm… Entk, pas si mal quand on pense que le tramway coûtera autour de 20000$ la tonne.
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23 septembre 2010 à 21 h 18
Le prix c’est plutôt 50$/t à la bourse du carbone. En passant, il faut diviser l’investissement sur 15 ans.
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24 septembre 2010 à 09 h 34
Dans le soleil, ils disent qu’un autobus consomme 6000 litres par année…Il me semble que ce n’est pas beaucoup…
Cela représente seulement 115 litres par semaine ou 16 litres par jour…
Le 6000 litres doit plutôt représenter l’économie annuelle par autobus…
Le Commantaire d’Antré dans un ancien sujet de QU détaille le tout… Un autobus consomme 25 000 litres par année.
https://www.quebecurbain.qc.ca/2010/07/22/reseau-de-transport-de-la-capitale-autobus-hybride/
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24 septembre 2010 à 11 h 36
Ça aurait plus d’allure… d’ailleurs, on parle de 22% d’économie, ce qui n’est pas loin de 6000 sur 25 000.
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23 septembre 2010 à 17 h 01
Voilà une bonne nouvelle que j’attendais. Par contre, je sais qu’à Montréal ils avaient déjà testé ces véhicules de façon très exhautive avec les mêmes conclusions. Fallait-il absolument refaire des tests à Québec? Question de confiance sans doute.
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23 septembre 2010 à 17 h 43
« 2012 à 2015, c’est 101 autobus hybrides qui seront achetés pour sillonner les rues de Québec. »
Ne vous emballez pas trop vite. Je vous retourne à un article de Francis Vachon, concernant les annonces du RTC.
http://tinyurl.com/22u2mlf
[Open in new window]
Les annonces suivantes avaient été rapportées dans un billet de 2004:
« Fin 2005, ce sera fini les laissez-passer et les billets dans les autobus de Québec. Des cartes à puce électronique rechargeables les remplaceront. En 2006, autre changement majeur : chacun des 425 bus en service sera muni d’un système GPS pour qu’on puisse les suivre à la trace dans les rues de Québec. »
On aura mis 5 ans après la date annoncée pour l’implantation de la carte à puce et 4 ans après l’implantation planifiée des GPS, ce n’est pas encore fait.
Alors on comptera les autobus hybrides lorsqu’on pourra les voir rouler dans les rues de Québec. Le maire Labeaume terminera alors peut-être son deuxième mandat !.
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23 septembre 2010 à 20 h 25
Le RTC mettent un temps fou pour tout. Personnellement je ne vois pas du tout l’intérêt des bus hybrides. On paie deux moteurs par bus! Les bus tout électrique vont probablement être plus abordables. On devrait mettre du biodiésel dans les bus au diésel pour être écolo et attendre de pouvoir avoir des bus tout électriques.
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23 septembre 2010 à 22 h 39
Le biodiésel est écologique si on utilise des déchets (huile usées, restant de processus biochimiques, etc.)
Par contre, si on prend des céréales pour produire directement du biodiésel, le gain écologique est faible voire inexistant.
De plus, je ne crois pas que la technologie actuelle de batteries aient assez de capacité pour les bus modernes. L’écolobus avait pas mal de misère à monter les côtes et était destinée à des trajets courts.
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24 septembre 2010 à 07 h 22
@Pier Luc
J’ai cru comprendre qu’ils mettent un moteur moins puissant, ce qui ferait briser la transmission plus facilement ou quelque chose du genre…
@Goldoche
Si tu met en compétition l’estomac des humains avec les réservoirs des véhicules moteur en leur donnant des belles céréales tout fraiches, non seulement c’est pas un gain écologique, c’est carrément une catastrophe. C’est pas pour rien que le gouvernement du Québec a non seulement interrompu ses subventions à cette industrie mais qu’en plus il l’interdit.
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25 septembre 2010 à 15 h 22
Le bio diesel n’est pas un mauvais principe à la base. Le problème c’est qu’on le produit à partir de maïs, qui est une production assez polluante. Ajoutez à cela le transport et la processus de production, et un il faut probablement plus d’un litre d’essence pour produire un litre de biodiesel…
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24 septembre 2010 à 12 h 02
@ Goldoche
Si le ministère des transports était plus ouvert pour la circulation des véhicules électriques, on aurait peut-être quelques chose de plus performant (référence à la limitation de la vitesse permisse par des véhicules construit au Québec, a moins que cela à changer dernièrement ? )
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24 septembre 2010 à 16 h 45
Limite de vitesse?
C’était pas plutôt une « limite de route » pour les véhicules qui sont incapable d’atteindre une vitesse convenable, comme c’est le cas pour les mobylettes?
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24 septembre 2010 à 18 h 12
Normalement, la Volt va être autorisée au Québec et c’est une voiture 100% électrique (avec une génératrice à essence).
Donc, non, je ne crois pas que le MTQ interdise sciemment les voitures électriques.
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25 septembre 2010 à 15 h 30
Si vous parlez de la Zenn, c’est plutôt la technologie qui limite la vitesse de ces véhicules, pas le ministère.
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24 septembre 2010 à 23 h 58
Ca vas couter cher tout ça. des centaines de milliers de dollars!!!!
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25 septembre 2010 à 21 h 23
En 2012 ? J’en ai vu en l’espace de 10 minutes toute à l’heure sur le boulevard Laurier/Université Laval…
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26 septembre 2010 à 23 h 24
D’après ce que je comprend, il faudrait que le coût du diesel atteigne un niveau extrêmement élevé (lire non-réaliste) pour que les économies de carburants soient suffisantes pour rentabiliser le coût additionnel de ces véhicules. Autrement dit, il s’agit d’une dépense frivole.
J’aurais nettement préféré que le RTC utilise ces centaines de milliers de dollars (des millions s’ils décident effectivement d’en acheter une centaine) pour développer son réseau ou alors pour réduire ses tarifs.
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27 septembre 2010 à 11 h 36
C’est le coût pour être à la « mode »… verte!
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27 septembre 2010 à 15 h 34
Moi j’aurais préféré que le RTC demande au ministère de mettre ces fonds là pour le futur tramway. Je ne remets pas en question le bien fondé des autobus hybrides, mais je pense que s’il faut faire des choix, le projet du tramway représente de l’argent mieux investit.
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26 novembre 2010 à 16 h 40
Bonjour, Il y a quelques jours je suivais l’autobus hybride du RTC et j’ai réalisé un fait troublant. Ça sent l’acide sulphurique, ça pue, donc ça polue. En fait, ça sent comme des batteries sur la charge, et je connais bien cette senteur, plus jeune je travaillais dans un atelier de réparation de batteries. Plus la batterie à recharger est grosse, et plus ça pue, c’est normal. Les petits autobus électriques qui sont utilisés dans le vieux Québec ne sentent rien, car ils ne rechargent pas leurs batteries, je crois.
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