Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Rue piétonne ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 septembre 2010 6 commentaires

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Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Photographies citadines.


6 commentaires

  1. nietnietniet

    29 septembre 2010 à 12 h 57

    Mais encore..

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  2. dan

    29 septembre 2010 à 13 h 26

    Rue Historique

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  3. MIMIR

    29 septembre 2010 à 16 h 08

    Je n’avais jamais remarqué que les conduites d’écoulement de l’eau de pluie étaient au milieu de la rue…

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    • Pouët

      29 septembre 2010 à 17 h 20

      Ça devrais être comme ça partout. Ça éviterais de se faire éclabousser lorsqu’on marche sur le trottoir…

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      • MIMIR

        30 septembre 2010 à 10 h 01

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      • Manu

        30 septembre 2010 à 11 h 39

        Dans un monde idéal, ou sans neige… car à moins de déneiger parfaitement et rapidement, on ne peut pas simplement tasser la neige sur le côté le temps qu’elle soit ramassée, soufflé, ou simplement qu’elle finisse par fondre. En effet, il suffit d’un peu de soleil le jour pour que la neige sur le côté fonde et forme une nappe mouillée jusqu’au centre (l’eau coule mais il en reste toujours un peu sur l’asphalte) et regèle la nuit transformant la rue en patinoire. Laisser l’andin au centre de la rue plutôt qu’en bordure serait pour le moins problématique pour la circulation, surtout en plein jour (c’était le cas à Vanier avant, duran la nuit). Juste un exemple de problème auquel je pense. Il y en a sûrement d’autres.

        Toutefois, pour les principales artères, qui sont déneigées en priorité, ainsi que « ensablées » ou « salées » au besoin (bref, qui ont droit au même traitement que la rue St-Jean) ce serait franchement une bonne idée. On éviterait tout particulièrement un cas flagrant d’imbécilité humaine : mettre le plus bas niveau de la rue et les grilles d’égoût sur les coins d’une intersection, là où le trottoir rejoint la chausée. Dès qu’une grille est moindrement bouchée (ou obstruée par la neige et la glace, ce qui est souvent le cas au printemps), l’eau s’accumule au seul endroit où peuvent légalement passer les piétons (et ceux en fauteuil roulant n’ont vraiment pas le choix), tout en facilitant l’éclaboussage de ceux qui attendent pour traverser.

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