En 1912, les occasions de se di-vertir sont plutôt rares. La majorité de la population est illettrée – oubliez les livres. L’opéra attire une clientèle aisée, mais restreinte. La radio n’existe pas encore, la télévision encore moins. Il y a bien le cinématographe, de plus en plus populaire. Reste que le théâtre occupe une place de choix dans la vie culturelle de Québec. Et sa fréquentation diffère selon la ligne de fracture entre la haute et la basse ville.