Annie Morin
Le Soleil
(Québec) Des automobilistes frustrés de ne pouvoir accéder aux voies réservées au transport en commun sur l’autoroute Robert-Bourassa s’en prennent aux chauffeurs du Réseau de transport de la Capitale (RTC) en utilisant un «langage non verbal» sans équivoque ou en leur bloquant carrément la route.
Sur les ondes du FM93, mardi matin, des auditeurs se sont vantés d’empêcher des autobus d’entrer ou de sortir de la voie réservée. Sur Robert-Bourassa Nord, par exemple, les véhicules du RTC doivent quitter le corridor dédié au centre de la chaussée pour prendre la sortie pour l’autoroute Félix-Leclerc complètement à droite. Un automobiliste a raconté comment il avait manoeuvré pour faire obstacle au changement de voie et forcer le mastodonte à poursuivre sa route.
La voie réservée de l’intelligence * Matthieu Dugal (Chroniqueur, Le Soleil)
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27 novembre 2013 à 11 h 55
Ça prend vraiment un crétin pour tenter d’empêcher un chauffeur du RTC de changer de voie sur une autoroute !
Inspiré dans son crétinisme par une radio poubelle . En 2013 à Québec la chasse aux autobus est désormais ouverte…
Parfois j’ai honte de ma ville.
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27 novembre 2013 à 18 h 02
Exactement ma réflexion dans une lettre que j’ai envoyée au Soleil! (Peu d’espoirs qu’elle soit publiée)
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27 novembre 2013 à 18 h 54
Les candidats au don d’organes ne devraient pas être autorisé à conduire ;)
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27 novembre 2013 à 12 h 47
À une époque, on a connu les petites affiches dans les vitres des voitures sur lesquelles était écrit : « Bébé à bord »
À la lecture de cet article, je crois qu’on pourrait aisément mettre une affiche dans la vitre de certains automobilistes, sur lesquels serait écrit : « Deux bras deux jambes à bord, mais absence de cerveau. »
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27 novembre 2013 à 12 h 58
Ça existe. C’est écrit « Liberté! » dessus
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27 novembre 2013 à 14 h 00
Faut-il s’étonner de cela… les gens vivent éloignés des centre ville et veulent arriver en 5 minutes au travail. Notre maire tiens un double discours sur la densité en ville, les écoquartiers, une ville verte, blablabla, alors que ce n’est que la foutaise puisque la ville ne cesse de s’étirer alors que les centres pourraient se densifier, on a un centre ville à Québec, mais la ville en construit un autre à Ste-Foy ( avec des tours horribles ), toute notre ville s’enligne pour refaire les mêmes erreurs que celles du passé, s’étendre, ne pas densifier, laisse la place à l’automobile. Le pire c,est que les radios de ….. poussent l’idée aussi et s’objectent au nom de la liberté à ce que l’on donne plus de place aux transports en commun… Alors on fait petit peuple, on agit en petit peuple, et on se fera ridiculiser partout dans le monde parce qu’on agit ainsi… triste…
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27 novembre 2013 à 15 h 05
« les centres pourraient se densifier »
L’actualité des derniers temps laisse pourtant croire que les possibilités sont limitées, en tout cas pour le centre-ville de Québec.
J’ai toujours dis qu’il fraudait faire au moins 5 fois plus de densification dans les zones centrales, mais je crois que ce serait possible seulement avec des zones franches. Et je ne crois pas que le PQ laisserait faire ça.
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27 novembre 2013 à 18 h 40
Il y a encore pas mal de trous dans le tissu urbain en haute-ville à boucher, il y a un gros potentiel de ce coté là.
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28 novembre 2013 à 16 h 57
… mais les conseils de quartier bloquent tous les projets, même ceux de 6 étages …
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29 novembre 2013 à 16 h 58
1 – le conseil du quartier de SJB était POUR le projet de l’îlot Irving.
2 – un promoteur n’a de compte à rendre à quasiment personne, sauf la ville, s’il respecte le zonage.
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27 novembre 2013 à 15 h 08
Bon, il y a donc au moins 3 ou 4 crétins sur la route, on ne va pas en faire un plat. Si à un moment les chauffeurs du RTC signalent que ça se multiplie, là on aura peut-être une vraie nouvelle. En attendant, Le Soleil fait des articles pour pas grand-chose.
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27 novembre 2013 à 18 h 43
Il me semble qu’en communication, on calcule 200 intervenant potentiel par téléphone reçu. Il me semble que cela fait plus que 3-4 colons.
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27 novembre 2013 à 15 h 27
Cette situation me rappelle qu’il y a quelques années, la radio- poubelle était partie en guerre contre les cyclistes. Certaines cervelles de colibri s’en étaient alors donné à coeur joie.
Je me demande s’il y a d’autres endroits avec pareille mentalité dans le monde? Et dire que Québec se prétend une capitale qui veut attirer une équipe de hockey de la LNH. Ces gens n’en sont tout simplement pas dignes; il faudrait peut-être penser à déménager la capitale à Montréal, ce qui ne serait que reconnaître un fait.
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28 novembre 2013 à 08 h 23
J’ai toujours eu l’impression, depuis toujours, de vivre dans la province de Montréal.
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28 novembre 2013 à 10 h 38
Quoi que je n’approuve aucunement ces gestes déplorables et cette mentalité égocentrique et sans vision. Mais pourquoi une telle généralisation? Selon vous, pourrait-on en dire autant sur les mentalités et les aspirations d’une ville lorsqu’il y a un meurtre à Montréal?? Une corruption?? Une émeute?? Se poser la question est y répondre… Chaque ville a ses problèmes, et présentement, Montréal en a sa part.
Et j’aimerais bien connaître le lien avec une équipe de la NHL. Je vous laisse le temps d’analyser les 30 villes « dignes » qui en ont présentement une… Saccager un centre-ville pour une défaite est-il digne?? Encore pire, Mtl l’a déjà fait pour une victoire…
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27 novembre 2013 à 16 h 24
Sans défendre les gestes posés… Il faut dire que le comportement de notre ministre péquiste avec son obsession à vouloir faire des voies réservées là où c’est pas nécessaire (Henri IV) contribue à accentuer le sentiment de frustration de certains automobilistes.
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27 novembre 2013 à 17 h 23
qui sont une parfaite illustration de l’idiotie nourrie par un média
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27 novembre 2013 à 17 h 41
Puisque mes « taxes » – pour utiliser un lieu commun de ces colons – servent à financer une radio d’information publique objective et de qualité, j’aimerais vous signaler qu’Éric Caire, bon joueur (même si je ne suis pas sa ligne de pensée), sera à bord du véhicule du chroniqueur de Première Heure pour constater sur le terrain ce qui s’y passe vraiment :
http://www.radio-canada.ca/emissions/premiere_heure/2013-2014
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27 novembre 2013 à 18 h 21
Bonjour,
Pourquoi se gêner? Si votre lettre respecte le code d’éthique en terme de ton, de respect, pourquoi pas dans cette tribune ou… Monlimoilou? ;-)
Parlant de code d’éthique, il semble que Radio-Canada est en train d’en perdre à propos de ce sujet, notamment en ce qui a trait aux commentaires répétitifs et populistes d’une certaine Mme Cartier…
http://www.radio-canada.ca/regions/quebec/2013/11/27/007-rtc-voies-reservees-automobilistes.shtml
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27 novembre 2013 à 23 h 29
Répétitifs et populistes ? Vous proposez quoi … la censure ? Ce qui peut vous sembler « populiste » ne l’est pas pour d’autres vous savez .. Mais bon …
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27 novembre 2013 à 22 h 20
Nonobstant les colons, force est de constater qu’on a enduré des travaux pendant des années pour voir la situation empirer avec la fin des travaux. Il me semble que le covoiturage permis pour 3 personnes règlerait un peu beaucoup la frustration des usagers de la route qui voient une voie VIDE avec un autobus aux 5 10 minutes au gros max. On est quand même pas une métropole avec 5000 autobus qui filent sur l’autoroute pour faire des voies exclusives.
Le ministre qui vient dire qu’il faut engorger les autos pour les obliger à prendre le RTC envenime la situation et il en rajoute avec Henri IV où il n’y a même pas un autobus au 30 minutes.
Bon je sais que je suis minoritaire sur ce site mais je suis pas mal certain qu’un sondage me donnerait 85% sinon plus d’appuis.
Pour ce qui est des cyclistes, ça prend un cave pour faire du vélo aujourd’hui. D’ailleurs 99.9% des cyclistes rangent leur vélos de fin septembre à la fin avril. Les 2 ou 3 douzaines de cyclistes d’hiver sont plus dangereux qu’autre chose.
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27 novembre 2013 à 22 h 49
N’empêche que ce n’est pas le comportement de ces automobilistes qui amènera le pouvoir politique à changer son idée. Quant à votre propos sur les cyclistes, je dois avouer que je ne vois pas du tout le rapport avec la voie réservée.
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28 novembre 2013 à 07 h 27
Le commentaire sur les cyclistes est là pour permettre l’identification de la source d’information principale :)
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28 novembre 2013 à 00 h 37
En quoi est-ce que la situation est pire qu’avant les travaux?
Vite de même, le débit (le nombre de voitures à l’heure en un point donné) semble au moins égal à ce qui prévalait avant les travaux. Je me souviens d’ailleurs qu’avant les travaux, la file vers le sud le matin pouvait atteindre Chauveau (là ou j’habite d’ailleurs) même en dehors de l’hiver. Je n’ai pas revu ça depuis. De plus, il y a maintenant des accotements et des bretelles beaucoup plus longues et sécuritaires. Bref, pour les automobilistes, la situation est meilleure qu’avant.
En fait, oui, il y a quelque chose de pire: il y a plus de monde qui passe par là qu’avant les travaux. Normal, il s’est ajouté des centaines d’emplois dans le secteur de Ste-Foy depuis 5 ans, et il s’est ajouté des milliers de résidents au nord de Félix-Lelerc. Il y en a sûrement un bon nombre qui entrent dans les deux catégories. Et dans un autre 5 ans, il y aura encore plus de monde. Ce n’est pas à cause d’une voie réservée ni d’un quelqonque réaménagement de l’autoroute. Et on ne peut pas comparer avant/après sur la simple base de temps de déplacement puisque les conditions ne sont plus les mêmes.
En revanche, dans 5 ans on aura fort probablement un peu plus de gens qui prendront l’autobus, et il n’en manque pas tant que ça pour qu’il y ait plus de personnes qui circulent sur la voie réservée que dans chacune des autres voies, même si elle semble sous-utilisée. La raison est simple: dans de bonnes conditions, on peut espérer 1500-2000 véhicules dans une voie (disons 2500 personnes pour être optimiste) tandis qu’on peut faire le double avec un autobus en moyenne aux 30 secondes (imaginez 6 autobus en paquet aux 3 minutes… ça demeure encore « sous-utilisé »). Bref, on a franchement augmenté la capacité de l’autoroute.
Quant au covoiturage sur l’autoroute (je ne parle pas de boulevard), je vois au moins un problème « technique »: l’impossibilité de le faire respecter. Ça prend un accotement d’un bon 4 m de large juste à côté poru que la police puisse s’y tenir et identifier visuellement ceux qui ne semblent pas avec 2 ou 3 personnes et pour les faire ranger dans cet accotement. À moins d’élargir l’autoroute de 2-3m de chaque côté sur toute la longeur, on n’aura pas un tel accotement.
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28 novembre 2013 à 08 h 20
+ 1 @ commentaire de Manu
Moi aussi je ne comprends pas comment on peut prétendre que la situation est pire après les travaux, à moins d’être de mauvaise foi.
Par exemple pour Robert-Bourassa direction nord entre Chemin Ste-Foy et Hamel (particulièrement à la hauteur de Charest) -ne serait-ce que du point de vue de la sécurité routière – la situation s’est grandement améliorée.
Et soit dit en passant, certaines personnes incluant les débiles légers qui sévissent aux commandes des ondes de la radio-poubelle de Québec devraient se faire rafraîchir la mémoire.
« La mesure consistant à céder le passage aux autobus existe-t-elle ailleurs?
Oui. Elle est en vigueur un peu partout en Amérique du Nord. Au Canada, elle est en vigueur au Québec depuis 1982 et en Colombie-Britannique depuis 1999. Aux États-Unis, la mesure est en vigueur dans de nombreux États, notamment dans l’État de Washington (depuis 1993), en Oregon (depuis 1998) et en Floride (depuis 1999). »
http://www.mto.gov.on.ca/french/faq/other.shtml#ytb8
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28 novembre 2013 à 09 h 30
Effectivement : il faut penser la mobilité en termes de déplacement des personnes plutôt que de déplacement des voitures, et toujours accorder la priorité aux humains plutôt qu’aux machines.
D’ailleurs, est-il possible de connaître le nombre d’usagers qui empruntent la voie réservée aux heures de pointe ?
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28 novembre 2013 à 11 h 13
Etes-vous en train de dire que la police ne peut pas en ce moment faire des arrestions de ceux qui empruntent la voie réservé avec leurs auto? Si oui, c’est une bonne information à avoir sous la main…
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28 novembre 2013 à 11 h 19
jfmartel: absolument pas. Surveiller une voie réservée aux autobus est facile: dès qu’un véhicule « qui n’est pas un autobus » (facile à identifier de loin…) y circule, la police (qui peut simplement circuler dans la voie du centre avec le reste du traffic) n’a qu’à partir à ses trousses et le faire tasser à droite. Point. C’est d’ailleurs exactement ce qui arrive ces jours-ci aux « pas futés » qui s’imaginent que le code de la route ne s’applique pas à eux.
Par contre, un policier qui se tient debout dehors sur le bord de la voie de gauche pour bien voir à travers les vitres des véhicules et tenter de déterminer en une fraction de seconde s’il vaut la peine ou non de faire signe au conducteur de se ranger (sur l’accotement de gauche bien large…) et de procéder à la vérification officielle, c’est une autre paire de manches!
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28 novembre 2013 à 07 h 55
Je fais partie de ces « caves » qui utilisent le vélo en moyenne une journée sur trois en hiver pour aller au travail (environ 12 km aller-retour)…
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28 novembre 2013 à 11 h 15
Vous avez manqué un bout… on parle ici de « cave » qui prenne le vélo dans des situations de tempêtes où même sortir de son chez soi est périlleux. Vous faite de la lecture sélective.
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28 novembre 2013 à 21 h 33
À jeand, je suis d’accord que c’est dangereux de faire du vélo aujourd’hui, mais je ne vois pas pourquoi on devrait ranger les vélos de la fin septembre à la fin avril. Ce n’est pas glacé tous les jours. On peut facilement faire du vélo 10 ou 11 mois part année à Québec.
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28 novembre 2013 à 02 h 26
Le temps des bouchons semble très variable d’un jour à l’autre. Ce soir (mer 27 nov), on ne perdait presque pas de temps vers 17:15…. Alors que mardi ça s’est terminé à 18:00.
Peut être y a-t-il eu des accrochages certains soirs??
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28 novembre 2013 à 09 h 43
« Tour de machine » avec Éric Caire, ce matin, sur les ondes de Radio-Canada! J’imagine que cette intéressante et sympathique entrevue (même si l’expression « idéologie » de M. Caire revenait un peu trop à mon goût, considérant le poid relatif des usagers du transport en commun versus les automobilistes) sera diffusée sous peu dans le Web.
Il semble que l’idée fait son chemin pour permettre l’utilisation des voies réservées pour, mettons, trois passagers ou plus par « char ». Je suis évidemment partisan du transport en commun, mais comme je ne crois pas à une révolution (évolution) radicale à court terme vers ce mode de transport moderne et écologique à Québec, cette solution me semble raisonnable.
En complément, dans Le Devoir :
(…) Le groupe Accès transports viables s’est dit « troublé qu’aucun décideur impliqué dans le dossier des voies réservées sur Robert-Bourassa n’ait encore appelé au calme certains automobilistes et radios privées de Québec. »
« Une voie réservée avec un autobus aux 60 secondes qui transporte une cinquantaine de personnes, c’est 3000 personnes à l’heure, plaidait son directeur Étienne Grandmont. Une voie à 50 km/h sans lumières, c’est au maximum 2000 voitures par heure. » (…)
Source : http://www.ledevoir.com/politique/ville-de-quebec/393826/les-voies-reservees-de-la-discorde
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28 novembre 2013 à 23 h 21
Pas surprenant qu’Éric Caire ait des idées des années 1950. C’est un ancien de l’ADQ, un parti qui avait des idées des années 1950 à bien des égards ! Ce qui est désolant, c’est de constater que Sam Hamad a lui aussi des idées des années 1950.
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28 novembre 2013 à 10 h 49
Je comprends la frustration de certains automobilistes. Effectivement, il ne faut pas agir en idiot comme certains l’ont faites toutefois.
J’ai remarqué avec les année que les chauffeurs d’autobus ne s’aident pas beaucoup et font toutes pour nous frustrer. Exemple : il y a un autobus qui arrête, dans une voie réservée, pour cueillir des usagers. Ca dure 30 secondes, une minute. Au lieu d’attendre derrière le bus, le conducteur d’un autre bus sort de la voie réservée, coupe dans la voie du centre pour aller ensuite se placer devant le bus arrété. Je vois ca très souvent sur le Rue Dorchester. Me faire couper comme ca, sans pouvoir vraiment rien faire car il se tasse souvent sans nous laisser de chance, me frustre grandement. La voie réservée sert à quoi ? Et où est le savoir vitre du conducteur ??
De plus, je ne comprends pas l’importance de ses voies réservées seulement aux bus. Si au moins on faisait comme ailleurs, et accepter le co-voiturage dans ces voies là !
Autre question : si les amis verts souhaitent tellement ne plus voir d’autos et ne voir que des bus, qui va payer pour votre service de bus ??? C’est nous les méchants automobilistes qui paient votre service couteux, par la taxe sur l’essence, nos permis de conduire, nos plaque etc. S’il n’y a plus d’auto, comment aller vous financer votre rêve de transport en commun ???
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28 novembre 2013 à 10 h 59
C’est faux. Les automobilistes ne payent qu’une fraction des coûts de l’utilisation de l’automobile. De plus, il ne faut pas oublier qu’une bonne partie des usager du transport en commun possèdent aussi des voitures.
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28 novembre 2013 à 16 h 16
Et pour ceux qui ne possèdent pas de voiture ils peuvent subventionner la place de stationnement d’un automobiliste.
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28 novembre 2013 à 10 h 52
Je comprends la frustration de certains automobilistes. Effectivement, il ne faut pas agir en idiot comme certains l’ont faites toutefois.
J’ai remarqué avec les années que les chauffeurs d’autobus ne s’aident pas beaucoup et font toutes pour nous frustrer. Exemple : il y a un autobus qui arrête, dans une voie réservée, pour cueillir des usagers. Ca dure 30 secondes, une minute au plus. Au lieu d’attendre derrière le bus, le conducteur d’un autre bus sort de la voie réservée, coupe dans la voie du centre pour aller ensuite se placer devant le bus arrété. Je vois ca très souvent sur le Rue Dorchester. Me faire couper comme ca, sans pouvoir vraiment rien faire car il se tasse souvent sans nous laisser de chance, me frustre grandement. La voie réservée sert à quoi ? Et où est le savoir vitre du conducteur ??
De plus, je ne comprends pas pourquoi on limite les voies réservées seulement aux bus. Si au moins on faisait comme ailleurs, et d’accepter le co-voiturage dans ces voies là ! Ca aiderait le traffic grandement.
Autre question : si nos amis verts souhaitent tellement ne plus voir d’autos et ne voir que des bus, qui va payer pour votre service de transport en commun ??? C’est nous les méchants automobilistes qui paient votre service couteux, par la taxe sur l’essence, nos permis de conduire, nos plaque etc. S’il n’y a plus d’auto, comment aller vous financer votre rêve de transport en commun ???
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28 novembre 2013 à 13 h 34
«J’ai remarqué avec les années que les chauffeurs d’autobus ne s’aident pas beaucoup et font toutes pour nous frustrer».
Vous pourriez dire; «Un égoïste, c’est quelqu’un qui ne pense pas à moi».
En effet, voilà quelques anecdotes qui en disent long sur votre sens commun. En définitive, s’il y a quarante personnes dans un autobus et que vous êtes seul dans votre voiture, vous devriez avoir la priorité?
***
L’Économie peut survivre à l’industrie automobile, rassurez-vous.
Les prix Nobel qui bloquaient la voie aux autobus font sûrement partie du lot de très nombreux automobilistes qui se privent de manger, ou s’endettent jusqu’au coup, pour circuler en automobile, bêtement.
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28 novembre 2013 à 16 h 14
Certains automobilistes ont la mémoire déficiente.
« Article 407 du Code de la sécurité routière:
”Sur un chemin public où la vitesse maximale permise est inférieure à 70 km/h, le conducteur d’un véhicule routier doit céder le passage à un autobus dont le conducteur actionne les feux de changement de direction en vue de réintégrer la voie où il circulait avant de s’immobiliser”.
AMENDE: 100$ »
Heureusement que les policiers ne sévissent pas souvent pour leur rafraîchir la mémoire. Parfois je me demande comment certaines personnes ont fait pour ne pas échouer l’examen théorique permettant d’obtenir leur permis de conduire. ;-)
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28 novembre 2013 à 16 h 45
Malheureusement, ce n’est d’aucune utilité ici. La limite est de 90 km/h et l’autobus n’est pas en train de repartir après s’être immobilisé. L’article 407 est par ailleurs illustré par un pictogramme derrière les autobus.
Je supose qu’il faut se rabattre sur des articles plus généraux, par exemple:
327. Toute vitesse ou toute action susceptible de mettre en péril la vie ou la sécurité des personnes ou la propriété est prohibée.
340. Le conducteur d’un véhicule routier dépassé ou sur le point de l’être ne peut augmenter la vitesse de son véhicule pendant le dépassement.
Ça doit s’appliquer entre autres si « l’impoli » ralenti et accélère volontairement en même temps que l’autobus pour l’empêcher de changer de voie
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28 novembre 2013 à 16 h 51
@ Manu
Mon commentaire était une réponse à ceci:
« J’ai remarqué avec les années que les chauffeurs d’autobus ne s’aident pas beaucoup et font toutes pour nous frustrer. Exemple : il y a un autobus qui arrête, dans une voie réservée, pour cueillir des usagers. Ca (sic) dure 30 secondes, une minute au plus. Au lieu d’attendre derrière le bus, le conducteur d’un autre bus sort de la voie réservée, coupe dans la voie du centre pour aller ensuite se placer devant le bus arrété (sic). Je vois ca (sic) très souvent sur le Rue Dorchester » [Sylvain Gauthier]
En passant j’aime bien votre analyse dans votre commentaire du 28 novembre 2013 à 00 h 37.
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28 novembre 2013 à 21 h 34
Ah ok, désolé, j’avais mal suivi le fil des idées.
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28 novembre 2013 à 11 h 05
L’autre fraction c’est qui ? Le gouvernement ? Ca revient au même. Les usagers ne payent pas grand chose au total.
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28 novembre 2013 à 15 h 27
Une automobile consomme à peu près 2000 litres d’essence par an. Les taxes spécifiques à l’essence sont 29,2 ¢/L, soit 584 $/an. De façon conservatrice, il coûte à peu près 3000 $/an à la société pour mettre une auto sur la route.
À Québec, les usager du RTC paye 32% des coûts d’opération.
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28 novembre 2013 à 17 h 34
En effet, les banlieusards croient que les infrastructures qui leur permettent de vivre grassement dans leur paradis ne coûtent rien. Mais c’est toute la société qui paye à grands frais ces routes, ces aqueducs, ces installations électriques qui servent à de moins en moins de monde plus on s’éloigne.
http://fr-ca.finance.yahoo.com/blogues/blogue-finance/le-cout-reel-de-la-vie-en-banlieue-174418899.html
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28 novembre 2013 à 19 h 47
D’après ce raisonnement Dominick P on devrait plus abandonner les villes parce que l’électricité et l’eau viennent de villages éloignées.
Mais ultimement, il faudrait éliminer la race humaine pour ne plus polluer.
Je serais vraiment curieux de savoir combien d’enfants ont les ardents partisans des autobus ici, combien travaillent, combien ont un ou une conjointe qui ne travaille pas à du tout dans le même coin que le mari, combien sont séparés et ont choisi de ne pas habiter le même quartier que leur ex, combien doivent se déplacer pour travailler, combien ont des horaires hors normes????
L’autobus c’est parfait le jour aux heures de pointe pour un fonctionnaire( ou autre 9 à 5 sans déplacement) sans enfant ( les enfants adultes aussi…) Mais c’est pas la réalité de la course de la vie pour la plupart du monde.
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28 novembre 2013 à 21 h 52
Ceux qui ont des horaires hors norme n’ont pas vraiment de problème avec la voie réservée… ni de congestion en général. Cas réglé.
Pour les autres (et j’en suis, 2 enfants, garderie et école, 25km entre les lieux de travail respectifs de ma conjointe et moi-même), cette voie réservée est une merveilleuse chose. Non, elle ne nous sert pas directement. Elle sert à attirer du monde présentement dans « nos voies » avec des autobus compétitifs, et ainsi réduire la congestion et nos temps de déplacement.
Par ailleurs, le covoiturage d’enfants et les restrictions horaires aux heures de pointes durent 12 à 20 ans d’une vie (dans la plupart des cas de 1 à 4 enfants disons). Ça représente à peu près le tiers de nos vies actives requérrant des déplacement aux heures de pointe (disons de 18 à 63). J’imagine donc que « la réalité de la course de la vie » s’applique à peu près dans le mêmes proportions dans la population en général, et que c’est donc le tiers et non la plupart du monde. (et le tiers juste de ceux qui se déplacent aux heures de pointes)
Peu importe, mon p’tit doigt me dit que dans quelques années le débit de personnes/heure sur cette voie (aux heures ou elle est réservée) dépassera celui qu’on pourrait atteindre si elle n’était pas réservée. Ce jour là, tout le monde sera réellement gagnant.
D’ici là, il y a un peu de résistance au changement chez certains, on va attendre que ça passe, et tout va bien aller.
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29 novembre 2013 à 09 h 55
À Québec, en 2001, il y avait 26 % de la population qui utilisait le transport en commun au moins une fois par semaine. Ce n’est pas une petite minorité.
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28 novembre 2013 à 22 h 48
« Quand matin après matin, année après année t’entends à la radio que les autobus c’est de la bouette.
Quand matin après matin, année après année t’entends à la radio que les voies réservées c’est de la marde!
Ben, ce qui devait arriver arriva. (…) »
– Lavage de cerveau puissance 1000… (http://www.cliqueduplateau.com)
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29 novembre 2013 à 21 h 00
Tiens donc! Si on m’avait dit un jour que quelqu’un allait mettre un lien de la Clique du Plateau sur Québec Urbain pour démontrer son point…
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29 novembre 2013 à 15 h 11
Le covoiturage est faisable. Même au centre de l’autoroute. Y’a pu d’excuses. Ça se fait ailleurs.
Bandes rugueuses et pilotis sur la ligne et une pancarte à Ste-Foy qui dit au dessus de la voie réservée: « prochaine sortie à l’autoroute 40 ». On élimine ainsi les risques liés aux changements de voie.
Les covoitureurs pourraient peut être aussi se servir de la bretelle centrale à la hauteur du boul Hamel.
http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/transports/201311/28/01-4715778-voies-reservees-sur-robert-bourassa-le-covoiturage-nest-pas-exclu.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_la-capitale_577_section_POS1
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29 novembre 2013 à 15 h 12
En plus, la voie réservée se ferait respectée plus facilement.
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29 novembre 2013 à 17 h 24
N’oublies pas l’hiver dans l’analyse. Cela élimine le muret de béton, les cônes et les bandes rugueuses ne sont pas fameuses.
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29 novembre 2013 à 19 h 02
Ils mentionnent l’Ontario comme exemple, ce qui est plutôt près de chez nous. Sam Hamad qui a été ministre des transports dit qu’il y avait des solutions pour Robert-Bourassa. J’ai du mal à croire qu’aucun ingénieur ne peut concevoir un gadget adapté à notre situation.
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30 novembre 2013 à 10 h 44
Faut voir ce qu’ils utilisent. Le climat de Toronto n’a rien à voir avec celui de Québec.
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