Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Projet de train de banlieue entre Sainte-Anne-de-Beaupré et Québec dans l’air

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 juillet 2025 8 commentaires

Source : Stéphanie Martin, Journal de Québec, le 24 juillet 2025

La voie ferrée appartenant à Chemin de fer Charlevoix circule sur 155 km entre le secteur D’Estimauville, à Québec, et Clermont. Photo Stevens LeBlanc

Une idée de train de banlieue qui relierait Québec à Sainte-Anne-de-Beaupré est en gestation dans la capitale nationale et son promoteur rêve de déplacer des travailleurs efficacement en transport en commun jusqu’à la gare du Palais, a appris Le Journal. «La gare du Palais est un actif peu utilisé, mais extraordinaire que nous avons dans la ville de Québec. On veut avoir un train de banlieue entre la gare du Palais, D’Estimauville et Sainte-Anne-de-Beaupré–Saint-Joachim qui va opérer matin et soir et qui va transporter les personnes qui viennent travailler à Québec», a expliqué David Blair, avocat et président de Chemin de fer Charlevoix (CFC), en entrevue au Journal.

la suite

Voir aussi : Transport.


8 commentaires

  1. Le lecteur assidu

    24 juillet 2025 à 10 h 02

    🟢 Yes 🙏

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  2. Philippe

    24 juillet 2025 à 11 h 37

    Je problème que je vois ce sera de faire passer 4 à 6 trains par jour dans le quartier Montmorency. Je ne suis pas sûr que cela sera accepté. Les temps ont bien changé.

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  3. marc

    24 juillet 2025 à 13 h 22

    il est temps qu’on passe au train de banlieue ,on a des rails partout en ville
    de ste Anne a Saint-Augustin inclue la gare de Charny
    le centre vidéotron a la gare de st foy des milliers de passager a chaque événements
    une décision politique avec du courage doit être prise par un vrais leader 9

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  4. ChatGPT

    24 juillet 2025 à 14 h 00

    Portée par certains élus et relayée par quelques médias, elle a de quoi faire rêver les nostalgiques du rail et les amateurs de transport collectif. Mais à y regarder de plus près, ce projet tient davantage du coup d’éclat symbolique que d’un plan sérieux. Car pour le moment, rien — ou presque — ne le justifie.

    Aucune étude de faisabilité. Aucun engagement financier. Aucune ébauche de tracé, de calendrier, ni même de consultation publique. Rien, sinon des déclarations générales et des vœux pieux. Pourtant, certains s’empressent de sauter sur l’occasion pour évoquer une « vision d’avenir » pour la Côte-de-Beaupré. Le problème, c’est que cette vision n’a pour l’instant aucun ancrage dans la réalité.

    Le cœur du problème est démographique. La Côte-de-Beaupré, bien qu’en croissance, ne réunit pas la masse critique pour soutenir un transport structurant comme un train de banlieue. À Sainte-Anne-de-Beaupré, à Château-Richer ou même à Beaupré, la voiture reste et restera, pour longtemps encore, le mode de transport dominant. Imaginer un service régulier de train pour une clientèle aussi clairsemée relève de la fiction.

    Ce genre d’annonce a un autre avantage : il alimente la machine médiatique. Il crée un sujet de discussion. Il permet aux élus d’occuper l’espace public, de se montrer visionnaires, de réagir à chaud. Les médias, eux, trouvent là une occasion parfaite de produire un contenu « d’actualité » sans creuser en profondeur. On parle du projet, on en discute à la radio, on commente sur les réseaux sociaux… puis on passera à autre chose.

    L’idée d’un train le long du fleuve, entre les montagnes et la ville, fait rêver. Mais rêver ne suffit pas. À ce stade-ci, il serait plus utile de concentrer les énergies sur des projets réalisables, là où les besoins sont réels et les populations prêtes à embarquer. Tant que le train de Sainte-Anne restera une idée en l’air, il vaudrait peut-être mieux éviter de lui accorder autant de place… ou du moins, l’appeler par son nom : une distraction.

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  5. Jeff M

    24 juillet 2025 à 18 h 01

    Seul la portion de Beauport à la Gare du Palais pourrait être intéressante économiquement si c’est pour se substituer à la phase2 du tram vers d’Estimauville.

    Une façon rapide de regarder le potentiel d’achalandage est de regarder le nombre de parcours express auquel une telle ligne peut se substituer.
    Il y en a 4 vers Beauport si j’ai bien compté.
    Au delà de Beauport, il y a PLUmobile.
    On pourrait supposer que des parcours de bus pourraient être réorganisés en rabattement sur la ligne de train.

    J’ai des doutes sur le volume qu’on viendrait chercher. Même à près de 100 km/h, ce train serait moins concurrentiel en temps par rapport à l’autoroute Dufferin puisqu’il faut compter les arrêts aux stations et les transferts.

    La Gare du Palais, un magnifique endroit, mais pas tant pratique pour les destinations au delà de St-Roch/Vieux-Québec.

    Le potentiel du réseau de rail dans la région est sous-utilisé, mais son problème est qu’il se ferait difficilement une place dans les habitudes de déplacements. Franchement, ça aiderait si la Gare du Palais se situait en souterrain dans la falaise près de d’Youville. Ça rendrait aussi intéressant la résurrection de la ligne vers Saint-Raymond (disons que ça pourrait s’arrêter à Val-Bélair). Ces couloirs ont bien plus de potentiel que de servir de piste cyclables, en autant qu’ils soient bien raccordés aux grand générateurs de déplacements.

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  6. Antoine

    25 juillet 2025 à 11 h 16

    avec la nunuche qu’on a au transport, cette idée sera rejetée pour qu,elle justifie sont troisième lien… elle a été capable de sortir 300 millions, 300 ! Pour faire des supposés tests inutiles… elle ne mettra jamais une cenne dans un train de banlieue… imaginez même entre Lévis et Quebec ce serait pensable… du centre des congrès de lévis à la gare centrale

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