Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…



26 commentaires

  1. Denis

    24 avril 2007 à 12 h 20

    « Tant que nous serons dépendants de l’or noir et des différentes cie associées à ce mode de transport, on vivra dans notre “mardeâ€? créer par nous. Tous est fait au niveau consommation pour que l’on ne réfléchi point et amène à endormir notre conscience avec l’illusion du confort… »

    BEN OUI, devinez pourquoi je m’insurge contre un projet de 70 millions loin d’une bonne partie de la population? Parce qu’ils vont devoir prendre leur auto pour y aller, et venez pas me parler de la bicyclette ou du transport en commun, autrement vous êtes de mauvaise foi.

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  2. JT

    24 avril 2007 à 13 h 20

    Je serais curieux de connaître la contribution du chauffage au bois à Québec. À Sept-Îles, ils ont des problèmes de smog causés par le chauffage au bois.

    Dans mon coin de Québec, presque tout le monde a son poêle. L’hiver, on a la gorge irritée parce que les voisins sont trop radins pour s’être fait installer des poêles qui respectent les normes anti-pollution de l’EPA.

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  3. Manu

    24 avril 2007 à 14 h 11

    JT : je serais moi aussi très curieux à propos du chauffage au bois. Ça doit dépendre des quartiers.

    J’ai d’ailleurs des amis qui ne peuvent pratiquement pas utiliser leur échangeur d’air en hiver car cela remplit la maison d’odeur de feu de bois (même après être passé par des filtres). Ça ne semble pas sentir dehors car il fait froid, mais une fois l’air réchauffé à l’intérieur, c’est autre chose! On dira peut-être qu’un feu de camp ça « sent bon » dehors, mais en-dedans c’est plus ou moins agréabl. De plus, ils ont une bonne vue de chez eux, et il n’est pas rare l’hiver qu’ils voient flotter un gros nuage bleuâtre sur des kilomètres carrés…

    Avec du « bois haut rendement de type EPA », on réduit les émissions de GES de 75%. Il en reste quand même le quart. Je ne sais pas par contre s’il y a d’autres polluants émis par le « bois normal » qui sont absent du bois EPA.

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  4. JT

    24 avril 2007 à 14 h 45

    C’est effectivement un problème d’environnement à la fois très local et régional.

    Il y avait un documentaire hier à Télé-Qc qui racontait que sur la côte ouest américaine, ils détectent du plond, du DDT, des BPC dans les vents en provenance de la Chine. (le documentaire pointait du doigt la Chine sans trop insister sur la responsabilité de ceux qui délocalisent leurs activités en Chine et profitent du faible coût de sa main d’oeuvre pour maintenir un rythme de vie…)

    Ce ne sont pas des polluants responsables du smog, mais ca démontre comment la pollution peut affecter des régions lointaines.

    Pour revenir à notre smog, il y a entre autres les particules fines qui ne sont pas brûlées dans les poêles ou les foyers traditionnels. Ces particules contribuent au smog.

    Il y a aussi d’autres gaz dont je ne me souviens pas du nom, mais qui ne peuvent pas être brulés dans les poêles traditionnels. Il faut un apport d’oxygène suffisant et une chaleur suffisante pour qu’ils soient brulés avant d’être rejettés dans l’atmosphère.

    Ce qui est absurde, c’est qu’en rejettant ces gaz, on perd une source d’énergie qu’un poêle certifié EPA ou qu’un foyer de masse valoriserait.

    Dans le fond, un bon DVD de feu, un cinéma maison et un bon calorifère pourrait faire l’affaire dans bien des cas.

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  5. Denis

    24 avril 2007 à 15 h 26

    « Dans le fond, un bon DVD de feu, un cinéma maison et un bon calorifère pourrait faire l’affaire dans bien des cas. »

    J’en veux un!

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  6. Gérald Gobeil

    24 avril 2007 à 16 h 45

    @ Denis
    Un DVD de feu? On a tout ce qu’il faut dans la Capitale Nationale (boul. Hamel):
    http://www.shininggift.net/fr/dvd.aspx

    P.S. L’option « doux crépitement » est recherchée! :)

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  7. Denis

    24 avril 2007 à 17 h 15

    Gérald:

    hahahahahaha! je savais que ca existait, mais autant diversifié…..j’en suis estomaqué! :)

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  8. Sébastien

    24 avril 2007 à 18 h 14

    quand j’étudiais à Montréal et travaillais à Québec, je retournais à Montréal le dimanche soir, vers 6-7hrs…

    En traversant Repentigny, l’odeur de feu de bois était saisissante dans l’auto, de même que le brouillard qui flottait au dessus de l’autoroute 40, surtout les soirées froides d’hiver…

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  9. Ludovic

    24 avril 2007 à 18 h 17

    Je serais curieux de savoir si le chauffage au bois a un bilan si négatif.

    Suivant la même logique que la production d’éthanol, la combustion du bois, dans certaines circonstances, est à production nulle en termes de gaz à effet de serre. En effet, le carbone dégagé par la combustion est du carbone emmagasiné par l’arbre qui remplacera celui qui a été coupé.

    Or, la majorité du bois de chauffage provient de terres à bois où on ne pratique pas de coupes à blanc, mais plutôt une coupe sélective. En moyenne, donc, il y a renouvellement de l’actif en bois et la terre à bois, en théorie du moins, ne s’épuisera jamais.

    Reste la question des autres polluants de la combustion au bois.

    Autres infos ici: http://www2.ademe.fr/servlet/getBin?name=82701FA617B0D2D4BA537F2E5280F8591157641837661.pdf

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  10. Carol

    24 avril 2007 à 20 h 07

    « Il y avait un documentaire hier à Télé-Qc qui racontait que sur la côte ouest américaine, ils détectent du plond, du DDT, des BPC dans les vents en provenance de la Chine. (le documentaire pointait du doigt la Chine sans trop insister sur la responsabilité de ceux qui délocalisent leurs activités en Chine et profitent du faible coût de sa main d’oeuvre pour maintenir un rythme de vie…) »

    JT tu touche là un point sensible, on voit que tous les aspect de nos choix même ceux qui ne semble pas en apparence nous incommoder, le sont par la bande…

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  11. Carol

    24 avril 2007 à 20 h 09

    Oups !!! excuser les fautes d’orthographes, trop vite sur le piton !!!

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  12. Manu

    25 avril 2007 à 00 h 08

    Bon point Ludovic… en supposant que les arbes soient effectivement remplacés.

    Mais pour revenir au sujet, on porlait d’un problème plutôt « local ». Dans le meilleur des cas, avec un bilan nul de production de GES ou même de particules tant qu’à y être, les arbres ne sont pas coupés chez ceux qui les brûlent. Il reste donc que localement, la pollution est produite à Québec et les arbres qui absorberont le tout se trouvent à l’extérieur de la ville (quand c’est pas à des centaines ou milliers de km)

    Finalement, le commentaire de Sébastien me fait penser que l’hiver dernier, on sentait particulièrement une odeur de fumée sur Du Vallon juste au sud de la rue Careau (entre Père-Lelièvre et Capitale) et ce, en auto à 100 km/h les fenêtres fermées.

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  13. Manu

    25 avril 2007 à 00 h 09

    Et j’oubliais : merci Gérald pour l’info! Ça va être pratique, car je n’ai pas pensé, il y a 15 ans, d’enregistrer le long métrage « Feu de bois » qui jouait toutes les nuits à TQS… (quand c’était pas « Aquarium ».

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  14. Carol

    25 avril 2007 à 10 h 04

    « Mais pour revenir au sujet, on porlait d’un problème plutôt « local ». Dans le meilleur des cas, avec un bilan nul de production de GES ou même de particules tant qu’à y être, les arbres ne sont pas coupés chez ceux qui les brûlent. Il reste donc que localement, la pollution est produite à Québec et les arbres qui absorberont le tout se trouvent à l’extérieur de la ville (quand c’est pas à des centaines ou milliers de km) »

    Faudrait sûrement faire une ceinture de végétation autour de la Ville centre, dans la semi-banlieu, permettant du même coup de regénérer l’air… Il y aurait quelques choses à faire dans le moyen terme…

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  15. Pascal B

    25 avril 2007 à 10 h 41

    Carol, as-tu vu une photo aérienne de la haute ville de quebec à partir de Cartier vers Ste-Foy ?

    Il y en a en masse des arbres à la HAUTE ville

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  16. Carol

    25 avril 2007 à 11 h 15

    Oui mais cela n’empêche point que l’on peut améliorer les zones de végétations.

    De plus avec les condos qui se construisent à la pointe ste-Foy, une partie de cette végétation, a disparue…

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  17. JT

    25 avril 2007 à 11 h 28

    Planter des arbres n’est pas une solution au problème de smog de Québec. D’abord parce que les feux sont fait l’hiver et que les arbres ne captent le CO2 que l’été (pendant la croissance).

    Ensuite, parce que le CO2 n’est pas une composante du smog. Le monoxyde de carobone (CO) y participe effectivement, mais parce qu’il est une mollécule instable qui réagit avec les COV.

    Sur le chauffage au bois et le smog : http://www.ec.gc.ca/cleanair-airpur/Chauffage_au_bois-WS50E7D551-0_Fr.htm
    On en parle jamais de cette cause, pourtant les solutions existent. Une combustion complète met fin au smog, c’est écrit !

    C’est ca le problème avec le plan de l’air propre de Harper. Il s’attaque au problème de qualité de l’air (smog) et aux changements climatiques. Ce sont effectivement deux problèmes liés, parce que la combustion en est l’orgine. Mais il est possible de résoudre le problème du smog sans résoudre la plus grande menace qui pèse sur l’humanité (les changements climatiques et ses conséquences sur la biodiversité).

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  18. Manu

    25 avril 2007 à 16 h 51

    Intéressant JT, merci!

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  19. stef

    26 avril 2007 à 10 h 57

    comment diminuer les GES ? avec linstallatin du tramway HA HA HA ! :O)

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  20. Sylvain

    30 avril 2007 à 21 h 12

    Pour connaitre le chauffage au bois le plus écologique….voir http://foyerdemasse.blogspot.com/

    Le foyer de masse est plus écologique 1,3 G /h, donc moins que les poeles epa et moins que les normes epa…en plus un seul feu par jour pour chauffé 2000 pi carré et environ 5 a 8 cordes de bois par an. Voila un peu d’info pour un peu d’espoir de respirer un peu mieux… Bonne lecture et bonne découverte.

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  21. Patrick McMullen

    2 mai 2007 à 12 h 05

    WTF avec le Dioxyde carbone, sa masse molaire est supérieure au N2 et au O2, ça ne serait pas plutôt du côtés des NOx et CO?????

    Lachez les poêles a bois, le smog est causé par une sur-utilisation massive de l’automobile dans les régions urbaines de montréal et de québec.

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  22. Carol

    3 mai 2007 à 09 h 44

    Le smog provient aussi de l’utilisation de l’automobile, pas juste le CO2…

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  23. JT

    4 mai 2007 à 08 h 32

    WTF Pat ? « En fait, le chauffage au bois résidentiel constitue l’une des principales causes du smog hivernal, et dans les régions où il est très populaire, la qualité de l’air des secteurs résidentiels peut s’avérer plus mauvaise que celle d’un grand centre comme Montréal. »

    C’est ce que tu aurais lu sur le site d’environnement Canada si tu t’étais donné la peine.

    T’as raison, les autos sont responsables d’une bonne part du smog, surtout l’été.

    J’ai parlé des poêles pour démontrer qu’il existe des solutions et que ce n’est pas parce qu’elles existent qu’elles sont mise en oeuvre. Il faut plus que la volonté individuelle pour changer les choses.

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  24. Carol

    7 mai 2007 à 18 h 19

    J’ai parlé des poêles pour démontrer qu’il existe des solutions et que
    ce n’est pas parce qu’elles existent qu’elles sont mise en oeuvre. Il
    faut plus que la volonté individuelle pour changer les choses.

    C’est juste, mais pas d’en haut (gouvernement)
    c’est pas le regroupement des gens, qu’on pourra
    appliquer et trouver d’autre solution. Si vous attendez que cela viennent des systêmes existants, vous allez attendre longtemps.

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  25. Carol

    7 mai 2007 à 18 h 20

    c’est pas le regroupement des gens OUPS !!!

    Je voulais dire c’est par le regroupement des gens.

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  26. Diane Godbout

    1er septembre 2008 à 23 h 16

    Bonjour, M. Ou Mme.

    Je suis une femme de 41 ans qui possède une petite entreprise dans le domaine du sapin naturel (Couronnes de Noël en sapin naturel)
    Autre produits (Rose d’écorce de bouleau naturel).

    Je suis artiste et enseignante dans ce domaine depuis près de 20 ans.
    J’ai été guide en foret pendant 10 ans également.
    J’adore la nature et j’ai le plus grand respect pour l’environnement.
    Alors je crois que j’ai l’expérience nécessaire pour ce genre de projet.

    Chaque année nous fabriquons des centaines de couronnes de Noël en sapin naturel et des centaines de rose en écorce de bouleau naturel.

    Chaque fois que nous fabriquons une couronne de sapin naturel.
    Nous contribuons a faire la trime d’un sapin en foret qui par la suite lui permettra d’expansé plus vite et d’améliorer notre qualité d’air de beaucoup.

    Saviez-vous qu’un hectare de sapin naturel peut oxygéner 45 personnes.
    Alors je crois que nous devons sincèrement préserver les poumons de notre planète. Dès maintenant.

    Ma suggestion est:
    Organiser un programme en éducation scolaire avec sortie en foret pour faire la cueillette de branches de sapin naturel en saison d’automne.
    Cela permettant aux étudiants de poser un geste concret et immédiat pour l’environnement.
    Pour ensuite apprendre la fabrication de couronnes de Noël en sapin naturel en milieu scolaire par un (une) enseignante dans le domaine.

    Encore mieux se servir de ce produit fini, décoré et emballer pour la vente durant la période des fêtes cela pourraient contribuer aux financement de lever de fond ou campagne de financement pour les activités scolaire de l’établissement en question.

    1. Cela sembiliseraient touts les étudiants d’avoir un contact direct avec la naturel et la foret.
    2. Les étudiants bénifier d’un apprentissage éducatif en milieu environnemental.
    3. Participer eux-mêmes a la fabrication d’un produit artisanal pour en faire la vente ensuite. Chaque école pourrait en tiré de très bon bénéfice sur touts les points.

    Si jamais M. Ou Mme.

    L’idée vous semble intéressante il me ferait plaisir de vous rencontrez.

    Passez une agréable journée!
    Diane Godbout
    418-241-5870

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