
Dégoûtés à l’idée de devoir encore pelleter, demain matin, en ce début de printemps plutôt moche? Nombreux pourtant sont les « mononc' » et « matantes » nostalgiques comme moi qui conservent de vifs souvenirs d’enfance de ces tempêtes d’une force apparemment inégalée, depuis, qui ont paralysé la ville à plusieurs reprises dans les années 70. À titre d’exemple, ce blizzard s’abattant sur Québec quatre ans après la « Tempête du siècle » [dossier et revue de presse]!
En résumé: 38 cm, visibilité zéro pendant au moins huit heures consécutives dès l’après-midi du 3, et rafale de 93 km/h à l’aéroport (voir les détails en statistiques).
Ci-haut, une scène prise sur la 10e Avenue Est, le 5 avril 1975. En bas, coin de la Couronne et Prince-Édouard, un mur de l’entrepôt abandonné de J.-B. Baillargeon abattu par le vent.
