Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Actualités »

Villes intelligentes, villes durables

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 avril 2012 Commentaires fermés sur Villes intelligentes, villes durables

Le mercredi 25 avril 2012, l’Institut Technologies de l’information et Sociétés (ITIS) présente le colloque « Villes intelligentes, villes durables », premier événement du genre au Québec à s’intéresser au concept des « villes intelligentes ». Une quinzaine de conférenciers issus du milieu universitaire et du milieu des affaires, en provenance du Québec, de la France, des États-Unis et du Mexique exploreront différentes facettes de cette réalité, aujourd’hui, incontournable

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La programmation

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* Québec Urbain y sera et publiera par la suite un ou des billets

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Déjà trop de sièges à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 avril 2012 6 commentaires

Valérie Lesage
Journal Les Affaires

L’annonce de la construction d’un Colisée par Quebecor a été saluée à Québec. Cependant, cet amphithéâtre s’ajoute à une multitude d’autres projets de salles de spectacle et laisse craindre une surcapacité dans la région.

Un amphithéâtre moderne de 18 000 places, annoncé par Quebecor, dont la construction commencera cette année (400 M$). Une nouvelle salle de 625 sièges au centre-ville pour l’homme de théâtre Robert Lepage (60 M$). L’inauguration fin mars d’une salle de 200 places dans le quartier Lebourgneuf, en banlieue. À Lévis, le projet d’une salle d’au moins 750 places et un amphithéâtre glace-spectacles de 4 500 places. Il y a de quoi inquiéter ceux qui gèrent les salles de spectacle existantes dans la région de Québec, les principales salles regroupant déjà au moins 5 700 places. L’offre est-elle trop importante ?

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Voir aussi : Commercial, Fêtes populaires et événements publics.

Colloque sur l’habitation – Les gens sont «ouverts» à la densification

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er mars 2012 17 commentaires

Isabelle Porter
Le Devoir

Québec — Le modèle de la maison unifamiliale n’est pas un absolu pour tous les acheteurs, selon un nouveau sondage. Beaucoup de gens, les jeunes surtout, seraient prêts à considérer des jumelés, des maisons de ville et des habitations plus denses pour peu qu’on les leur propose.

«Si la maison unifamiliale a toujours la cote, on remarque une ouverture à différents types de maison permettant d’atteindre des densités nettes allant jusqu’à 40 logements par hectare», a fait valoir hier la professeure de l’Université Laval Carole Després à l’occasion d’un colloque de la Société d’habitation du Québec.

Le sondage a été mené auprès de 1138 internautes souhaitant déménager d’ici cinq ans. Les répondants, dont 499 étaient des étudiants, devaient fournir leurs préférences résidentielles. Ils pouvaient cocher plusieurs choix, allant des tours avec ascenseur aux maisons de banlieue avec terrain, en passant par le jumelé et la maison de ville.

Les résultats montrent aussi que les immeubles à trois étages — comme ceux qu’on retrouve en grand nombre dans Limoilou — sont très populaires. «Les immeubles collectifs de trois étages rejoignent les aspirations de quatre profils de résidants sur six», a signalé Mme Després, avant d’ajouter qu’on devrait «miser sur ce type d’immeubles».

Cette spécialiste de l’étude des banlieues souligne qu’actuellement les locataires sont «les grands oubliés» du marché. Même si le désir d’acquérir un condominium «demeure très présent», «une fraction importante désire habiter des immeubles locatifs».

Malgré les signes d’ouverture à la densification, Mme Després ajoute que l’étude portait sur les gens qui veulent déménager et qu’il ne faut pas oublier l’importance de ceux «qui veulent rester en place».

Le colloque auquel elle participait portait d’ailleurs sur les difficultés qu’éprouvent les pouvoirs publics à vendre la densification notamment aux citoyens voisins des projets. À plusieurs reprises, les conférenciers ont fait allusion à des projets controversés, comme l’îlot Irving à Québec et Griffintown à Montréal.

«Nous avons beaucoup d’efforts à faire en banlieue pour développer un autre type de quartier», a fait valoir le directeur de la Communauté métropolitaine de Montréal, Massimo Iezzoni. Selon lui, les villes gagneraient à diffuser leurs propres outils d’urbanisme, comme «Walk Score» et «Google Sketch», pour que la population « puisse visualiser les projets ».

Rare voix discordante, le représentant de l’Association des constructeurs d’habitations (APCHQ), François Bernier, a dit qu’il n’y avait pas matière à en parler «parce que du locatif et du condo, c’est tout ce qui se fait» et que «l’industrie contribue à la densification».

À son avis, les promoteurs y recourent d’autant plus qu’ils manquent de moyens. «La densité compense l’abordabilité [sic] réduite. Quand on n’est pas capable de se payer quelque chose, la solution de l’industrie, c’est d’en offrir plus sur le même terrain.»

M. Bernier estime par ailleurs «qu’en milieu dense, tout est plus cher» et que les gens payent alors plus cher en taxes et en services municipaux. Dès lors, le bénéfice de la densification serait «social» plutôt que privé.

Cette affirmation a par la suite fait bondir le président du lobby vert Vivre en ville, Alexandre Turgeon, selon qui il n’y a pas de lien entre les taxes et la densification. «Ce n’est pas la demande, le problème, c’est l’offre, a-t-il dit. Il n’y a pas assez d’options offertes au citoyen. La population ne peut pas aspirer à des choses qu’elle ne connaît pas.»

* Québec Urbain a assisté à ce colloque dont le nombre de participants était malheureusement limité. Une intervenante a souligné que peu de promoteurs étaient présents. J’en connaissais au moins deux personnellement qui étaient là parce que l’ayant découvert fortuitement. Quoiqu’il en soit, c’est une bonne initiative de la Société d’Habitation du Québec qui gagnerait à être plus largement diffusée.

Voir aussi : Architecture urbaine, Conférences / évènements.

Le Tribunal de l’Histoire: Corruption et scandale médical dans un hôpital de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 février 2012 Commentaires fermés sur Le Tribunal de l’Histoire: Corruption et scandale médical dans un hôpital de Québec

La Commission de la capitale nationale du Québec amorce la deuxième moitié de la saison du Tribunal de l’Histoire avec la présentation du scandale de l’asile de Beauport, le lundi 20 février à 19 h 30, à la salle Raoul-Jobin du Palais Montcalm.

Joseph-Édouard Cauchon, député à l’Assemblée législative et ancien maire de Québec, est accusé en 1871 d’être le véritable propriétaire de l’asile de Beauport. Grand défenseur des subventions reçues par cet établissement privé, il possède une fortune qui éveille les soupçons. L’asile de Beauport : un scandale avant tout médical ou politique?

Aux citoyens de trancher! Douze jurés volontaires seront choisis dans la salle afin de se prononcer sur cette question débattue entre les protagonistes du temps et un témoin expert chargé d’éclairer le jugement de tous.

L’historien Jean-Marie Lebel agira comme témoin expert, interrogé par les personnages incarnés par les comédiens Véronique Daudelin, Charles-Étienne Beaulne, Karl-Patrice Dupuis, Eudes-Arnaud La Roche-Francoeur, Paul Breton et Josée La Roche. De plus, de grandes pièces du répertoire classique seront interprétées par la pianiste Isabelle Mathieu.

Les intéressés peuvent s’abonner aux trois derniers spectacles de la saison pour 36 $ ou se procurer un billet pour 15 $. Taxes et frais de gestion du réseau Billetech non inclus.

Billets disponibles auprès de la billetterie du Palais Montcalm, au (418) 641-6040.

Les prochaines rencontres de cette saison placée sous le thème des « grands scandales » seront : Le scandale des culottes à Vautrin (27 mars 2012); Le scandaleux comportement du prince Édouard (16 avril 2012).

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Comment structurer le problème de l’étalement urbain?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 février 2012 41 commentaires

Jeudi 16 février 2012, à quatorze heures

Soutenance de thèse: Comment structurer le problème de l’étalement urbain? Une approche concertée pour représenter la complexité territoriale

Salle du conseil universitaire, CSL-3632, pavillon Louis-Jacques-Casault

L’École supérieure d’aménagement du territoire et de développement régional (ESAD), le Centre de recherche en aménagement et en développement (CRAD) et le Groupe interdisciplinaire de recherche sur la banlieue (GIRBa) vous invitent cordialement à la soutenance de thèse de doctorat de M. Pierre Rondier, étudiant-chercheur candidat au doctorat en ATDR, sous le titre : Comment structurer le problème de l’étalement urbain? Une approche concertée pour représenter la complexité territoriale. Les travaux de recherche de Pierre Rondier ont été dirigés par M. Florent Joerin, professeur à l’ÉSAD, et co-dirigés par Mme Carole Després, professeure à l’École d’architecture de l’Université Laval.

Un résumé de la thèse

L’étalement urbain inévitable ?

Voir aussi : Étalement urbain, Conférences / évènements.

La vie dans le faubourg St-Jean en 1912

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er février 2012 3 commentaires

Le conférencier fait revivre les gens du faubourg, les présente, parle de leurs métiers ou professions, leurs maisons et leurs établissements commerciaux et industriels. Une visite dans le faubourg d’il y a un siècle! Avec l’historien Jean-Marie Lebel.

Date : Mercredi 1er février 2012
Heure : 19h00
Coût : Gratuit

Lieu : Bibliothèque Saint-Jean-Baptiste
755, rue Saint-Jean
G1R 1R1

Voir aussi : Conférences / évènements.

Bonhomme Carnaval trônera désormais sur les Plaines

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 janvier 2012 3 commentaires

Source : Jean-François Néron, Le Soleil, le 5 janvier 2012

(Québec) Un peu à l’étroit sur son site actuel, Bonhomme déménage ses pénates. Pour une première fois, il érigera son palais au coeur des festivités sur les plaines d’Abraham.
Le palais est construit depuis 1973 au parc de l’Esplanade, face à l’Hôtel du Parlement. La décision, longuement mûrie, de le construire sur les Plaines a pour but d’en faire le point central des activités.

«Ça fait déjà plusieurs années que l’organisation cherche à revamper le site [du palais], qui était devenu un peu à l’écart. Le déménagement a finalement été choisi. Ça va apporter aux visiteurs une expérience complète dans un seul endroit, sur les Plaines. En plus, ça facilite les opérations», explique le président du 58e Carnaval, Alain Winter.

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Le Carnaval de Québec inaugure son nouvel édifice multifonctionnel.

Une autre tradition de brisée par le Carnaval : bonne ou mauvais décision ?

Voir aussi : Fêtes populaires et événements publics, Québec La cité.

Réfections nécessaires au Colisée Pepsi pour accueillir une équipe de la LNH

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 décembre 2011 Commentaires fermés sur Réfections nécessaires au Colisée Pepsi pour accueillir une équipe de la LNH

Source : Ville de Québec


Document pdf
détaillant les réfections nécessaires à effectuer au Colisée Pepsi pour qu’une équipe de la LNH puisse y évoluer pendant la construction du nouveau Colisée. Certaines de ces réfections sont même demandés par le locataire actuel du Colisée Pepsi, les Remparts de Québec (réfection des bandes, etc).

État de la glace au Colisée: Patrick Roy discute avec le maire.

Source et crédits : Le Soleil, Ian Bussières

La mise à niveau du Colisée actuel pour les JO coûterait cher.

Voir aussi : Infrastructures sportives, Remparts de Québec.

Le Festival d’été de Québec 2011: Un bilan

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 novembre 2011 10 commentaires

(…) Pour une deuxième année, tous les laissez-passer Hydro-Québec disponibles ont été vendus. Et plus vite encore que l’an dernier. 10 jours à peine après la mise en vente, il n’y en avait plus. Au total, le Festival a vendu 167 500 laissez-passer, cartes Zone avant-scène et billets quotidiens, un sommet inégalé ! Ces ventes ont fait grimper les revenus de billetterie de plus de 2 millions, les faisant passer de 6 268 000 $ en 2010 à 8 459 000 $ en 2011.

« Cette performance fait certainement du Festival l’événement musical extérieur le plus important en Amérique du nord et surtout, elle nous apporte une autonomie de plus en plus grande. 85 % de nos revenus sont générés par les festivaliers et les partenaires, dont nos co-présentateurs Bell et Molson Dry » (…)

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Voir aussi : Fêtes populaires et événements publics, Québec La cité.