Source: Isabelle Mathieu Le Soleil, 15 septembre 2006

Lundi après-midi. Intersection Charest et de la Couronne, en plein centre-ville de Québec. Pas une, mais quatre voitures grillent le feu rouge. Les automobilistes qui ont droit au feu vert ne klaxonnent même pas. À quoi bon ? C’est la loi du plus fort dans les rues de Québec.

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Voir aussi cet autre article.

Source: Damien Rousseau, Québec Hebdo, 25 août 2006.

Le départ presque simultané des Fernand Gignac et Claude Blanchard permet aux Québécois d’évoquer le souvenir d’une époque marquante de la vie de la capitale, celle où le night life contribuait largement à sortir la ville de la torpeur caractéristique de l’après-guerre. Si les drames humains frappaient à qui mieux mieux les quartiers pauvres du centre-ville, l’espoir s’allumait à travers les performances artistiques ou sportives de saltimbanques qui souvent provenaient eux aussi des couches populaires. (…)

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Merci à Pascal pour nous avoir signalé cet excellent article!

Source: Mathias Marchal Le Soleil, 25 août 2006

C’est la rentrée. Et qui dit rentrée, dit souvent nouveau logement, cartons à déballer, colocs à apprivoiser. Finis, les bons petits plats de maman, le duo Kraft Dinner — Mr Noodles est de retour, pour le plus grand (dé)plaisir de votre estomac. Pour certains, la colocation prendra la forme d’une famille nombreuse, question de convivialité, mais aussi d’économies. Mais comment font-ils pour vivre en harmonie ?

« Bonjour. Vous êtes bien chez Amélie, Jean-Nicolas, Michel et Vincent. Pour l’été, nous avons également Marc et Laurent qui restent chez nous. Alors si vous voulez laisser un message, dites-nous à qui vous voulez parler et on vous rappellera dès que possible. »

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Source: Cindy Turcotte Journal de l’habitation, 16 août 2006

Le Programme de végétalisation de bâtiments a été reconnu lors du Gala des Phénix de l’environnement 2006 dans la catégorie «Recherche et développement». Celui-ci démontre le potentiel insoupçonné des toitures, des murs et des corniches végétales.

Ce programme du regroupement québécois pour le développement urbain, rural et villageois viable, Vivre en Ville, comprend l’élaboration et la démonstration de deux toitures, d’un mur et d’une centaine de corniches végétales réalisées au Centre de la Culture et de l’Environnement Frédéric Back situé au 870, avenue de Salaberry à Québec.

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Réalisée en 2003, la coopérative Les Pénates, sise au 350, 5e Rue, présente une architecture contemporaine qui tranche avec celle des vieux immeubles voisins. Son toit, en plus d’offrir une vue saisissante sur les environs, est fort bien adapté à un type de jardinage qui a cours depuis 2002 à Montréal.

Les membres de la coop de 18 logements s’intéressent depuis l’an dernier au projet Des Jardins sur les toits développé par le groupe montréalais Alternatives et dont l’objectif est d' »élaborer des techniques de jardinages qui soient durables, écologiques, abordables et assez légères afin d’être utilisées sur les toits ou tout autre petit espace urbain. »

Photo ci-haut, la coopérative. Ci-bas, rencontre sur le toit au cours de la visite « grand public » organisée hier après-midi. Cette autre photo illustre bien les résultats tout à fait convaincants de ces nouvelles techniques de jardinage alternatif en milieu urbain!

Pour en savoir plus. Voir aussi ce dossier de Carol Proulx sur les toits verts de Québec.

Source: Marie-Luce Pelletier-Legros Le Soleil, 28 juillet 2006

« Travailler, c’est trop dur »… et ne pas rentrer chez soi après une journée éreintante l’est encore plus. Le travail force plusieurs personnes à migrer temporairement hors de leur foyer. Entre les hôtels impersonnels et le lit de fortune dans le salon de la belle-sœur, il existe une solution : le pied-à-terre.

Gemma Desgagnés, massothérapeute, partage son temps entre son vaste domaine de l’Isle-aux-Coudres et son appartement de Sainte-Foy. L’été, les hordes de touristes qui envahissent l’île lui rapportent de bons revenus, mais l’hiver est plutôt tranquille. C’est ce qui l’a poussée à se bâtir une clientèle à Québec. Depuis bientôt 10 ans, elle vient y travailler deux jours par semaine.

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À Québec plusieurs bâtiments ont des toits verts les voici : Copropriété Jardins Manrèse, Coop d’habitation Chloé, Coopérative Vivre en ville, Centre Culture et Environnement Frédérick Back, Le Domaine de Maizerets, les lofts Laliberté, la bibilothèque de Charlesbourg et enfin la Falaise apprivoisé.
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Source: Pierre-André Normandin Le Soleil, 28 juillet 2006

La hausse du prix de l’essence pourrait aider le tourisme dans la capitale grâce à l’Association américaine des automobilistes (AAA). L’organisation suggère à ses 50 millions de membres de visiter le Vieux-Québec, classé l’une des 10 meilleures destinations piétonnes en Amérique du Nord.

« Le prix de l’essence est tellement élevé que les gens veulent économiser sur leurs déplacements. Ils sont prêts à conduire pour se rendre à une destination, mais ils veulent ensuite stationner leur voiture et marcher pour visiter », explique Mike Pina, porte-parole de l’AAA.

Le litre d’essence oscille actuellement autour des 3 $US le gallon, soit 0,90 $ le litre. Plusieurs membres de l’AAA s’interrogent donc sur les meilleurs endroits à visiter sans épuiser leur précieux carburant. Un guide touristique de l’Association consacrera un article au Vieux-Québec pour y vanter la facilité pour les piétons de circuler.

Pour appuyer l’article qui suit, cette scène prise sur la rue Saint-Jean lors de la fête du Faubourg de cette année…

Source: Marline Côté et Marcel Poliquin, L’Infobourg, juillet 2006.

Augmentation de la circulation dans les rues attenantes ou perte d’espaces de stationnement dans l’ensemble du quartier, les arguments contre une réappropriation de la rue Saint-Jean par les piétons ne font pas le poids devant la volonté citoyenne. Une très forte majorité de citoyen-nes et de commerçant-es de la rue Saint-Jean aimeraient voir la rue Saint-Jean devenir piétonne au moins une journée par semaine pendant la période estivale, confirme un sondage de l’Infobourg. (…)

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Jouissant d’un grand succès depuis 2002, Paris-Plage aurait retenu l’attention de Mme Boucher lors de son périple en France. Commentaire personnel: il aurait été pas mal plus intéressant que les médias élaborent sur cette initiative de la Ville Lumière (une idée à développer pour la plage Jacques-Cartier ou le bassin Louise, notamment?) plutôt que de s’attarder sur quelque chose d’aussi superficiel que les vêtements de la mairesse (article du Soleil)…

Source: Encyclopédie Wikipédia.

(…) Chaque année, entre juillet et août, pendant environ 4 à 5 semaines, sur 3,5 km, la voie sur berge rive droite de la Seine et la place de l’Hôtel-de-Ville accueillent des activités ludiques et sportives, ainsi que des plages de sable et d’herbe, des palmiers… (…)

Les détails. Voir aussi cet autre billet.