Source: Radio-Canada Québec, 7 juin 2006

Le beau temps ramène la patrouille de l’eau de la ville de Québec. Tous les jours, jusqu’à la mi-septembre, six patrouilleurs ratisseront la ville pour repérer les citoyens fautifs et émettre des constats d’infraction, mais aussi pour sensibiliser les résidents au recyclage et à la protection de l’environnement.

L’an dernier, les patrouilleurs n’ont remis que huit constats d’infraction, en août, alors qu’une sécheresse menaçait. Près de 300 avertissements écrits ont aussi été servis, la plupart du temps, suivant des dénonciations de la part de voisins.

Un site Internet et une boîte vocale sont mis à la disposition de la population désireuse d’en savoir davantage quant à une utilisation rationnelle de l’eau et aux règles d’arrosage.

Source: Radio-Canada Québec, 6 mai 2006

Finalement il y a peut-être de l’espoir malgré tout…

Des groupes de la région dédiés à la protection et à l’éducation à l’environnement ont mérité les honneurs, lundi, lors de la remise des prix canadiens de l’environnement qui se déroulait à Vancouver.

D’abord, le comité de restauration de la rivière Etchemin a mérité l’or dans la catégorie restauration et réhabilitation pour son projet de rétablissement du saumon.

Puis, dans la catégorie Éducation à l’environnement, l’argent est allé au comité de valorisation de la rivière Beauport pour son projet « J’adopte un cours d’eau », un projet qui interpelle les élèves des niveaux primaires et secondaires du Québec et de l’Ontario.

Source: Jacinmon Reid, Québec Hebdo 5 juin 2006

Fidèles à leur dynamisme légendaire, les membres de l’APEL ont procédé dernièrement à une série de travaux autour du lac Saint-Charles visant à protéger de façon intégrale les habitats fauniques de même que les terrains qui ont autrefois souffert de la présence humaine.

«Notre projet visait à redonner un caractère naturel au site», explique le président de l’Association pour la protection de l’environnement du lac Saint-Charles et des Marais du Nord (APEL), François Morneau. Les travaux, qui ont été réalisés en 2005, ont permis notamment de resserrer la protection des terrains ceinturant la baie Charles-Talbot et de reconstituer des habitats fauniques ayant été détruits ou modifiés par la présence humaine.

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Source: Gilles Toupin La Presse, 2 mai 2006

Ce peut être le cas à Québec ?! À voir.

Nos enfants sont empoisonnés quotidiennement par une multitude de produits toxiques et nous vivons tous dans une «soupe chimique» qui met la santé des Canadiens en danger.

Pourtant, les gouvernements ont fait preuve de la plus grande négligence à cet égard, conclut une étude réalisée par Défense environnementale, groupe voué à la protection de l’environnement et de la santé.

«Nous rendons publics les résultats de notre troublante étude intitulée Les Enfants empoisonnés – une nation toxique. Ils révèlent une terrible réalité, a déclaré hier le Dr Rick Smith, pour Défense environnementale. La pollution est si grande, dans notre pays, que les enfants ont davantage de produits toxiques en eux que leurs parents. Et la principale raison de cette situation, c’est la négligence et l’inaction de notre gouvernement fédéral, qui a renoncé à son rôle de meneur pour réduire la pollution dans ce pays.» (…)

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Source: Radio-Canada Québec, 1 juin 2006

Encore un autre exemple du retard de Québec dans certains domaines…

Au moins 5 des 7 Commissions scolaires de la grande région de Québec ne prévoient pas imiter la Commission scolaire de Montréal qui vient d’adopter un plan vert obligeant tous ses établissements à se conformer au protocole de Kyoto.

Ce plan prévoit notamment la transformation de stationnements en espace vert, l’obligation pour toutes les écoles d’installer des supports à bicyclettes d’ici la fin de 2011 et l’augmentation du taux de recyclage à 60 % d’ici trois ans.
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Source: Éric Moreault Le Soleil, 1 juin 2006

Les villes de la région seront incapables d’atteindre en 2008 les objectifs québécois de recyclage parce que le projet de ramassage et de compostage des déchets de table connaît des délais.

En ce moment, la mise en valeur des rebuts atteint 24 % sur le territoire de Québec et des trois MRC qui l’entourent, loin de l’objectif de 60 %. Mais puisque environ la moitié des déchets résidentiels sont des matières putrescibles, la cible demeure en vue. Seul hic, c’est plus facile à dire qu’à faire. (…)

Ce n’est pas la première fois qu’il y a des ratés dans le processus de récupération.
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Source: Éric Moreault Le Soleil, 1 mai 2006

La Ville de Québec a jusqu’à maintenant remplacé 70 % des lampes de feux de circulation par des diodes électroluminescentes (DEL). Toujours à l’affût d’économies d’énergie, elle prépare cette année un projet-pilote innovateur de gradateurs d’intensité… pour l’éclairage de rue.

Québec serait la seule ville en Amérique à tester cette technologie, croit Benoît Guérard, surintendant responsable de l’éclairage public et de la signalisation lumineuse à la Ville. « J’ai juste entendu parler d’un autre projet-pilote en Irlande. »

La Ville installera quelques centaines d’unités électroniques, en collaboration avec Hydro-Québec, pour faire varier l’intensité de l’éclairage en fonction de la période de la soirée et de l’achalandage.

Source: Éric Moreault Le Soleil, 1 juin 2006

J’imagine que les dépenses municipales seront moindres, peut-être une baisse de taxe ?! (on peut rêver !) Les Del (ou led ) existent depuis bon nombres d’années en électronique.

Le Québec pourrait vivre une petite révolution environnementale en troquant la bonne vieille ampoule pour une diode. L’économie d’énergie serait l’équivalent de la production annuelle de Manic-5, estime Paul Lavallée.

Le professeur de l’UQAM a présenté le résultat de ses recherches sur les diodes électroluminescentes (DEL) au récent congrès de l’ACFAS, à Montréal. « Les gens ont toujours l’impression que l’éclairage est négligeable dans la facture d’électricité. » Hydro-Québec estime néanmoins la consommation résidentielle à 4,3 térawattheures (un térawattheure vaut un million de mégawattheures).
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Source: Radio-Canada Québec 30 mai 2006

C’Est un peu hors de Québec, mais cela pourrait avoir une incidence sur la consomation d’eau… peut-être ?

Radio-Canada a appris que la base militaire de Valcartier demande à la Ville de Québec de l’approvisionner en eau potable, soit 900 000 mètres cubes d’eau par année.

La Garnison de Valcartier était autosuffisante depuis 1914 grâce à ses puits artésiens. En 1997 cependant, deux des trois puits ont été fermés en raison de la présence de trichloréthylène (TCE) et de chlorure de vinyle, des produits toxiques utilisés en abondance sur la base depuis les années 50, notamment dans la fabrication de munitions. En 2003, la présence de TCE a forcé Shannon, la municipalité voisine, à fermer ses puits.

Dans une lettre à la Ville de Québec, le colonel de la base soutient que ce projet est d’une importance capitale. Il presse la Ville d’évaluer les coûts. François Moisan, chargé de communications à la Ville de Québec, mentionne que le dossier en est encore au stade de l’analyse des coûts et des échéanciers.
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Dans la version papier de l’article ci-bas, cette citation savoureuse d’un copropriétaire du Maurice: « Un fumeur consomme de 30 à 40% plus (de boisson) qu’un non-fumeur, c’est prouvé »… Rappelons que selon un sondage de la firme Léger Marketing (janvier 2006), 83 % de la population appuie l’interdiction de fumer dans les bars, restaurants et autres endroits publics.

Source: Jean-François Cliche, Le Soleil, 29 mai 2006.

En tant que telle, l’application de la nouvelle loi sur le tabac ne devrait pas s’avérer très difficile, ont estimé hier plusieurs propriétaires de bar interviewés par Le Soleil. Ce sont plutôt ses « effets secondaires » qu’ils redoutent.

« Ça (se préparer à la nouvelle loi) n’a pas demandé de faire grand-chose, à part poser des affiches et sensibiliser nos habitués. Il y en a même qui ont déjà arrêté de fumer », dit Isabelle Blasco, propriétaire du Jules et Jim, sur l’avenue Cartier.

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