En 2008, Le Carrefour avait publié une petite revue avec 400 questions sur l’histoire de Québec. En 2013, l’éditeur renoue avec l’expérience:  » En fouillant dans le passé de notre ville, on découvre que notre époque n’a rien inventé et que les mêmes problèmes reviennent quotidiennement. Comme si on les oubliait temporairement pour avancer, mais qu’ils ont fait tôt de nous rattraper comme de mauvaises habitudes qui nous rappellent trop souvent nos limites ».

Des extraits: Question 116. Comment se déclare l’incendie du 14 octobre 1867 ? Question 81: Combien de volumes compte la bibliothèques du Séminaire de Québec en 1782 ? Question 249: Le soccer fait son apparition à la fin des années 1950. Où est créée la Ligue de soccer-football de la Ville et du district de Québec ?

* Si non distribué chez vous, on peut s’en procurer (comme je l’ai fait) au siège social du Carrefour situé au 2e étage de l’édifice où est situé CKRL (405 3e avenue).

Le projet TOUCH HISTORY / TOUCHER L’HISTOIRE est à la recherche de volontaires, et ce, rapidement, pour tester son concept. C’est demain à la bibliothèque Gabrielle-Roy. Voici les détails :

La RENCONTRE-ATELIER du projet «Touch History / Toucher l’histoire» aura lieu DIMANCHE 7 JUILLET à la bibliothèque Gabrielle-Roy (salle Gérard-Martin au 2e étage) de 13h00 à 15h00.

C’est une rencontre ludique dans laquelle la technologie et l’histoire se conjuguent l’une à l’autre !

1-Les gens du public se verront présenter des centaines d’images anciennes de la ville (peintures et photographies) et l’objectif sera de travailler ensemble à les replacer sur d’anciennes cartes de la ville.

2-Où étaient situés exactement sur le territoire les peintres qui ont dépeint la ville au fil du temps ? Où étaient positionnés les photographes qui ont pris des clichés de Québec à travers l’histoire ?

3-L’objectif de cet atelier est de voir combien d’images anciennes nous pourrons replacer ensemble sur le territoire de Québec. Après les vérifications d’usage, les images pourraient ensuite être intégrées à la carte finale du projet « Touch History / Toucher l’histoire ».

L’expérience est ouverte à tous ! Seul prérequis : Aimer Québec et vouloir explorer son histoire de manière nouvelle !

Les places disponibles pour cette première rencontre-atelier sont limitées à 10 personnes. Veuillez svp réserver par courriel Facebook au nom de l’organisateur : Louis-Pascal Rousseau : louisprousseau@gmail.com

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Un billet précédent

Les travaux en cours sur un tronçon du chemin Sainte-Foy ont permis de mettre au jour une ancienne ligne de tramway.

Valérie Gaudreau
Le Soleil(Québec)

La ville de Québec fêtera ses 405 ans mercredi, 3 juillet. Le poste de maire tel qu’on le connaît aujourd’hui, lui, célèbre ses 180 ans. Le premier maire, Elzéar Bédard, est en effet entré en poste en mai 1833. Quelques mois plus tôt, le gouvernement anglais avait concédé à Québec le droit d’une représentation municipale. Depuis, la fonction de maire a évolué, ses pouvoirs aussi, relate l’historien Réjean Lemoine qui a passé près de deux ans à scruter l’histoire de ceux qui ont dirigé la capitale pour la rédaction du livre Les maires de Québec depuis 1833, qui sera lancé mercredi.

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Québec, le 21 juin 2013 – La Ville de Québec prévoit une foule d’activités pour marquer le 3 juillet, jour de sa fondation par Samuel de Champlain. Tous les citoyens sont invités à profiter de cette programmation riche et variée et à célébrer fièrement la fête de leur ville.

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L’affiche

Québec Hebdo

La population est conviée à visiter l’exposition Québec, des échos de la Belle Époque, 1875-1914, qui sera présentée du 22 juin au 21 août 2013, à l’atrium de la bibliothèque Gabrielle-Roy. L’entrée est gratuite. (…) En tout, 140 pièces comprenant principalement des photographies ainsi que des objets muséologiques, des gravures et des cartes postales seront exposées

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Le communiqué

* Projet sur un plan de 30 feuilles pour une tour de 1600 pieds par Charles Baillairgé

(Merci à M. Jérôme Bégin, archiviste et lecteur assidu)

Vicky Lapointe

La célébration de la Saint-Jean-Baptiste, avant-hier, a été favorisée par un temps magnifique et s’est faite avec toute la pompe accoutumée. C’est M. le curé de Saint-Roch qui a officié à la grand’messe, chantée en musique par un choeur de MM. les élèves du Séminaire, sous la direction de M. Dessane, organiste de la cathédrale, et à laquelle assistaient de Mgr l’archevêque et un nombreux clergé.

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Un circuit pédestre animé cet été dans Saint-Jean-Baptiste

Le Comité populaire Saint-Jean-Baptiste présente «Le faubourg, une histoire populaire». Il s’agit d’un circuit pédestre animé, pour découvrir l’histoire sociale et les luttes populaires du quartier Saint-Jean-Baptiste, du XIXe au XXIe siècle.

L’activité s’adresse à tout le monde mais il faut être minimalement en forme (c’est une marche dans un quartier en pente).

Afin que ce soit plaisant, le nombre de participant-e-s est limité à 20 personnes par fois. Il faut donc réserver sa place au 418-522-0454 ou par courriel à comite.populaire@videotron.ca

Il y a une possibilité de réservation pour les groupes organisés. Informez-vous.

C’est évidement gratuit.

Renée Larochelle
Le Fil

Le passé médiéval de Québec est une tradition inventée de toutes pièces dont le sceau marque cependant toute la ville. Vous souvenez-vous des Médiévales de Québec, ces fêtes qui ont marqué la capitale dans les années 1990? À l’époque, plusieurs personnes ont dénoncé l’anachronisme que constituaient ces célébrations moyenâgeuses au cœur d’une ville américaine fondée bien après cette époque. Par contre, d’autres affirmaient que Québec se prêtait admirablement à des fêtes médiévales par son architecture. Ses fortifications, le Château Frontenac, le Manège militaire – et même les châteaux successifs du Bonhomme Carnaval – ne sont-ils pas évocateurs de l’époque des chevaliers et des gentes dames?

Cette vision du passé est construite de toute pièce puisque tous ces bâtiments datent du 19e siècle. Alors, d’où vient cette perception fantaisiste qui colle à la ville de Québec comme une seconde peau?

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* Photographie de J.F. Caron

* Collection Françoise Deschênes

Dans un billet précédent, qui fut suivi d’un autre nous parlions de cette pierre mystérieuse qui repose au coin de l’avenue Moncton et du Chemin Ste-Foy. Un historien (Jean-François Caron) s’est mis à la tâche et nous révèle in extenso le fruit de ses recherches dans le dernier numéro de la revue Québecensia, publiée par la Société Historique de Québec. Pour les curieux et les gens aimant l’Histoire. Un mystère enfin résolu …

* Cette maison était située entre l’avenue Moncton et l’avenue Brown. Tous les détails dans la revue

Un extrait d’un billet précédent : « N.B. M. Caron va un jour publier le texte de cette partie de sa conférence. Il a d’ailleurs possession d’une photo montrant la maison de la veuve Migner et qui lui a été remise par sa fille. La maison est magnifique et aurait été là jusqu’en 1970. Quant au texte entier de sa conférence, avec les illustrations, il faudrait que le public puisse en prendre connaissance un bon jour. C’était remarquable. Durant 90 minutes, la salle comble a été attentive du début à la fin. Bravo à cet historien. »