Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Message d’intérêt public »

Assemblée du conseil d’administration du RTC

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 février 2018 10 commentaires

Le mercredi 28 février 2018 – 17 h 30
Bureau d’arrondissement de Sainte-Foy-Sillery-Cap-Rouge
1130, route de l’Église, Québec
(Salle RC-19)

ORDRE DU JOUR

1. Adoption de l’ordre du jour
1.1 Application de l’article 19 de la Loi sur les sociétés de transport en commun
2. Période de questions du public
3. Approbation du procès-verbal de l’assemblée ordinaire du 31 janvier 2018
4. Dossiers soumis au conseil d’administration
4.1 Ressources humaines
DRH-2018-001 Adoption du plan d’effectifs 2018
DRH-2018-002 Majoration des échelles salariales des cadres supérieurs et du personnel cadre, professionnel et administratif (non syndiqué) pour l’année 2018
4.2 Services administratifs
DSA-2018-002 Autorisation de dépenses – biens et services courants
DSA-2018-003 Imputation en 2018 du solde du coût d’une bonification
antérieure du Régime de retraite des employés du RTC
4.3 Opérations
DOP-2018-001 Adoption du règlement no 350 concernant de modifications au centre Lebourgneuf
4.4 Communications et marketing
DCM-2018-001 Création de titres spéciaux – Festival d’été de Québec 2018
5. Divers
6. Période d’intervention des membres du conseil
7. Levée de l’assemblée

Voir aussi : Message d'intérêt public, Transport en commun.

Consultation en ligne au sujet des comportements des usagers de la route

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 février 2018 5 commentaires

Québec, le 26 février 2018 – Dans le cadre de l’élaboration de sa nouvelle Stratégie de sécurité routière 2019-2023, la Ville de Québec lance aujourd’hui une consultation en ligne auprès de ses citoyens. Ce sondage vise à recueillir l’opinion et la perception des citoyens au sujet du comportement des usagers de la route. Il permettra également de récolter des propositions de moyens à mettre en place pour améliorer la sécurité routière sur le territoire.

Les citoyens sont invités à se prononcer dès maintenant en consultant le site Internet de la Ville de Québec.

Vers une démarche participative

Cette consultation en ligne constitue la première étape d’une démarche participative qui mènera à l’élaboration d’un projet de Stratégie de sécurité routière qui sera d’abord présenté en consultation publique et, par la suite, adopté d’ici la fin de l’année 2018.

Trois stratégies et un plan depuis 2007

Rappelons que depuis 2007, la Ville de Québec s’est dotée de trois Stratégies de sécurité routière, totalisant plus de 65 actions concrètes, autour de 10 grands axes d’interventions. En agissant en étroite collaboration avec ses partenaires, la Ville s’assure également d’intégrer ses actions à une vision où la sécurité des individus est prioritaire. Ainsi, de 2009 à 2013, sur le territoire desservi par le Service de police de la Ville de Québec, on observe :

Une diminution de 13,2 % du nombre d’accidents corporels[1];
Une diminution de 12,9 % du nombre de victimes[2];
Une diminution de 35,4 % du nombre d’accidents avec dommages matériels seulement[3].
En proposant d’encourager le transport en commun et les transports actifs, l’adoption du Plan de mobilité durable, en 2011, a ajouté une dimension importante de cohabitation entre les automobilistes, les cyclistes, les piétons et les usagers du transport en commun.

La mise en place de mesures adaptées visant à améliorer la fluidité et la sécurité des déplacements entre tous les types d’usagers de la route sur l’ensemble du réseau routier était d’ailleurs le principal objectif de la dernière Stratégie 2015-2017.

Le questionnaire en ligne

Voir aussi : Message d'intérêt public.

Une pétition pour transformer l’autoroute Laurentienne en boulevard urbain

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 février 2018 2 commentaires

Accès Transports Viables

D’axe nord-sud, l’autoroute Laurentienne s’étend depuis le quartier Saint-Roch, à la fin de la rue Dorchester, jusqu’aux Laurentides et la Réserve faunique des Laurentides.

Sa construction s’est effectuée en trois phases. Le premier tronçon, situé entre la rue Dorchester et le boulevard Wilfrid-Hamel, a été construit en 1956 pour ensuite être prolongé d’environ 10 kilomètres jusqu’à Notre-Dame-des-Laurentides en 1963. Fait intéressant: il s’agissait alors du boulevard Laurentien. Ce n’est qu’en 1983 que le boulevard fut transformé en autoroute. Finalement, un dernier tronçon d’environ 10 km a été aménagé jusqu’à Stoneham en 1994, complétant ainsi l’autoroute Laurentienne que nous connaissons aujourd’hui.

En février dernier, le Ministère des transports, de la mobilité durable et de l’électrification des transports annonçait l’élargissement de la section située entre la rue de la Faune et le boulevard Louis-XIV dans le but d’y améliorer la fluidité de la circulation automobile. D’autres travaux majeurs d’élargissement sont également prévus sur le tronçon situé entre le boulevard Louis-XIV et la rue de la Croix-Rouge.

Cette situation nous préoccupe à plusieurs égards, notamment dans le contexte où la construction du nouvel amphithéâtre de Québec et la réalisation de l’écoquartier de la Pointe-aux-Lièvres semblait être annonciatrice d’un renouveau pour le secteur. Nous considérons que l’autoroute Laurentienne crée actuellement un véritable «no man’s land» à la jonction de cinq importants quartiers du centre-ville de Québec, situation à laquelle la conversion de cette portion d’autoroute en boulevard urbain pourrait remédier.

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La pétition

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Tous les billets quant à l’autoroute Laurentienne sur Québec Urbain

Voir aussi : Message d'intérêt public.

Technologie des voitures autonomes: l’humain toujours indispensable

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 février 2018 9 commentaires

Simon-Pier Ouellet
Journal de Montréal

PITTSBURGH | Les voitures autonomes sont peut-être l’avenir du transport de personnes, mais la technologie n’est pas encore tout à fait au point.

L’entreprise Uber teste actuellement des voitures autonomes avec chauffeur à Pittsburgh, en Pennsylvanie.
Ryan Schiffour est assis huit heures par jour derrière le volant.

Il circule dans les rues du centre-ville à bord d’une Volvo XC90 afin d’accumuler des données qui permettent aux ingénieurs d’améliorer la technologie.

« La progression que nous avons faite depuis un an est exceptionnelle. Auparavant, dans les voitures Ford Fusion, on pouvait sentir que c’était un ordinateur qui contrôlait l’auto. Les virages étaient serrés. C’est beaucoup plus naturel maintenant », explique-t-il.

Au cours d’un parcours d’environ une heure effectué avec le chauffeur d’Uber il y a deux semaines, le conducteur a dû intervenir à quatre reprises afin de reprendre les commandes de la voiture. Le logiciel demandait de l’aide humaine, car il ne savait plus où aller.

En quelques secondes, M. Schiffour reprogrammait le logiciel avec les bonnes informations et l’auto repartait d’elle-même.

Malgré ces quelques pépins, la réaction de la voiture est étonnante. Les nombreuses caméras installées sur le toit détectent les feux de circulation et les obstacles sur la route. Le véhicule s’est arrêté chaque fois qu’une lumière verte tournait au jaune.

À un certain moment, la voiture s’est immobilisée avant même que nous apercevions qu’un autre véhicule reculait d’un stationnement. Un signe que l’ordinateur peut réagir plus rapidement que l’œil humain.

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* Merci à un très fidèle lecteur jeand qui demande à ne pas être confondu avec JeanD

Voir aussi : Message d'intérêt public.

Le Château Frontenac: 125 ans

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 février 2018 Commentaires fermés sur Le Château Frontenac: 125 ans

À vos greniers! Fouillez vos tiroirs et vos albums photos et participez à notre recherche d’artéfacts du Château Frontenac!

Vous courez la chance de remporter un prix
pour chacune des catégories ci-dessous :

PHOTOS
• Personnages célèbres
• Design et architecture intérieure
• Château en chantier
• Bals, mariages et évènements prestigieux
• Bâtisseurs : la force vive du château
• Les souvenirs des collègues
OBJETS
• Dessins et esquisses d’architecture
• Mobilier
• Accessoires décoratifs
• Costumes et uniformes
• Arts de la table

Faites parvenir une photo de votre souvenir par courriel
à l’adresse : souvenir125@fairmont.com, accompagnée d’une
copie du formulaire de participation dûment rempli.

Date limite pour nous soumettre votre souvenir : 30 mars.
Les finalistes seront contactés à l’automne.

Une exposition des gagnants aura lieu au mois de novembre 2018.
Bonne chance à tous

Voir aussi : Histoire, Message d'intérêt public.

Posséder une auto ? Tellement XXe siècle… 

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 février 2018 10 commentaires

François Cardinal
La Presse+
4 février 2018

On a beaucoup entendu parler de la baisse de popularité du permis de conduire auprès des jeunes, une dynamique qui se confirme un peu plus chaque année au Québec. 

Mais ce phénomène en cache un autre beaucoup plus significatif : le désintérêt grandissant des 16-24 ans pour l’achat d’une voiture. Un phénomène majeur, qui est appelé à transformer la ville telle qu’on la connaît. 

Pas sorcier, les jeunes ne voient tout simplement plus l’auto comme un objet de désir et de liberté.
Et ils n’en ont plus besoin pour marquer l’entrée dans la vie adulte puisque le cellulaire joue ce rôle. 
Les milléniaux considèrent ainsi la voiture comme une dépendance plutôt que l’inverse. Ils ne veulent pas payer pour un produit dont ils ne se servent que 5 % du temps. Ils refusent d’être pris à la gorge par les mensualités, l’immatriculation et les assurances qui viennent avec la possession d’un véhicule. 
Ils veulent leur liberté, autrement dit, non pas un symbole de liberté. 

Or ce désintérêt pour l’achat (qui se manifeste aussi dans l’immobilier d’ailleurs) touche bien plus que les habitudes de consommation d’une génération qui fait les choses à sa manière. Il est appelé à bouleverser la ville, surtout qu’il s’observe parallèlement à un autre phénomène : l’essor de la voiture électrique, branchée, partagée… et autonome. Suffit de se rappeler que les milieux urbains sont aménagés depuis 60 ans autour de la voiture pour avoir une petite idée des perturbations à venir avec tous ces jeunes qui, déjà, optent en nombre grandissant pour les transports en commun, l’autopartage et le covoiturage urbain. 

Ajoutez le fait que les véhicules autonomes risquent d’accélérer le phénomène, et vous comprendrez qu’il y a de fortes chances que dans quelques années à peine… plus rien ne soit pareil. 

Parmi les 100 idées pour améliorer la mobilité, il faut donc compter celle-ci : se préparer dès aujourd’hui aux bouleversements urbains à venir. 

Des bouleversements auxquels nous commençons tardivement à nous intéresser, ici au pays. « Le Canada n’est pas prêt à affronter l’évolution fulgurante des transports », a conclu un rapport du Sénat canadien cette semaine. 

Les gouvernements ne sont pas prêts, le Québec n’est pas prêt, et les villes ne sont certainement pas prêtes. Alors que des voitures autonomes circulent dans les rues de Toronto, Montréal tarde par exemple à accepter les essais et projets-pilotes, qui sont pourtant nécessaires dans des conditions hivernales difficiles. 

Et pourtant, l’évolution se pointe déjà le bout du pare-choc dans nos rues. Prenez Car2Go et le service Auto-mobile : les quelque 1000 véhicules en libre-service qu’ils offrent sont archipopulaires à Montréal. Et ce, malgré tous les bâtons que l’administration Coderre leur a mis dans les roues ces dernières années. 

En parallèle, Communauto prépare le lancement d’une nouvelle offre dans les prochains mois, à l’image de la plateforme de location Turo :  un service qui permet de louer la voiture de parfaits inconnus. 

Autre indice qui ne trompe pas : tous les grands constructeurs d’autos se sont lancés récemment dans l’autopartage, comme General Motors avec son service Maven, BMW avec DriveNow et Peugeot, qui a investi dans notre Communauto québécoise. 

Même des entreprises qui ne se sont jamais intéressées à la mobilité tentent maintenant d’y faire une incursion, comme LG et Bosh. 

Pas compliqué, tout le monde se prépare, car « nous approchons de la fin de l’ère automobile », a affirmé l’ancien vice-président de GM Bob Lutz. 

L’avenir, en effet, est à la mobilité, non pas à l’autosolo. Les usagers remplaceront tranquillement les automobilistes.

L’emprunt supplantera l’achat. Et la voiture deviendra un service, non plus un objet inerte qui passe son temps stationné. 

Cela risque de transformer autant la ville que nos habitudes, si l’on se fie aux diverses études sur la question. On fait valoir une réduction du coût individuel du transport ainsi qu’une hausse du temps libre avec la fin de la conduite auto. On évoque la mise en disponibilité de milliers de cases de stationnement et la création de toutes sortes de services autonomes. On prédit une réduction de la pollution et même, la disparition des accidents de la route. 

Imaginez le bouleversement : les enfants qui naissent cette année pourraient ne jamais avoir à apprendre à conduire ! 

Tous ces changements (qui pourraient survenir ou pas) ne sont pas de la science-fiction : on les annonce pour demain. D’où l’importance pour les villes et gouvernements de se préparer dès aujourd’hui.

Voir aussi : Message d'intérêt public.

Des billets verts pour des ruelles vertes

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 février 2018 Commentaires fermés sur Des billets verts pour des ruelles vertes

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

Riverains des ruelles de Limoilou, Lairet et Vanier, vous pourriez recevoir un coup de pouce… et des billets verts! Nature Québec relance son programme d’embellissement estival. La saison des candidatures est imminente.

L’expérience a fait couler sa part d’encre l’an dernier, à sa première édition. Nous nous souviendrons que quatre projets soumis par des citoyens avaient été retenus. Les groupes avaient reçu un accompagnement pour décider du plan de match spécifique à chaque ruelle, amasser des fonds, obtenir des commandites pour les planches, les fleurs et les arbres.

Et puis? En fin de saison, les participants avaient présenté les fruits de leurs corvées de nettoyage et d’enjolivement. Des réalisations simples : bacs de plantation pour bloquer les autos; bancs pour discuter; jeux pour enfants dessinés sur le bitume; jardins collectifs…

«Le projet À vos ruelles vertes!, c’est vraiment la volonté de susciter l’action par les citoyens, dans un milieu privé, pour créer des îlots de fraîcheur et aménager comme une cour intérieure, comme un lieu socialisant, comme une aire de jeu pour les enfants, comme un espace plus sécuritaire, comme une aire de repos paisible, comme un îlot de verdure», note Cyril Frazao, coordonnateur du programme Milieux de Vie en Santé chez Nature Québec. Tentés? La première étape est de vous regrouper avec vos voisins de la ruelle. Pour favoriser la réussite, la pérennisation, Nature Québec demande que la moitié des riverains mettent la main à la pâte. «Plus les propriétaires/locataires sont réunis autour de ce projet et y adhèrent, plus la faisabilité du projet tend vers un succès.» (…)

Les inscriptions débuteront jeudi et se termineront le 3 mars. Sur Facebook ou à ruelles vertes.

N’oubliez pas qu’un autre programme d’aide — «Revitalisation des ruelles de l’arrondissement de La Cité-Limoilou» est disponible pour les citoyens qui voudraient bâtir un projet de réaménagement de plus grande envergure. Ici, les sommes en jeu sont nettement plus importantes, car il faut impérativement inclure dans le chantier la gestion de l’eau de ruissellement par un drainage en sous-sol. La subvention peut atteindre 75 % du coût des travaux.

Pour celui-ci, il faut contacter la Ville qui référera ensuite votre candidature à Nature Québec, organisme mandaté pour accompagner les propriétaires.

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Voir aussi : Message d'intérêt public.

Commission de la capitale nationale du Québec: Plan directeur du littoral est

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 février 2018 1 commentaire

La Commission de la capitale nationale du Québec, en partenariat avec la Ville de Québec et le ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports, a réalisé un plan directeur ayant pour objectif la réappropriation et la revalorisation du littoral du Saint-Laurent sur un territoire de 8 km, entre le domaine de Maizerets et le parc de la Chute-Montmorency, dans l’arrondissement Beauport, à Québec.

Cette vision propose de nouveaux aménagements afin de retisser les liens entre la ville et le fleuve. Le Plan directeur de développement urbain et de mise en valeur du littoral est et de ses abords pointe les secteurs à privilégier et propose une série d’interventions prometteuses pour mettre en valeur les battures de Beauport. Il présente également des visuels inspirants et suggère des approches d’aménagement modernes et respectueuses du génie du lieu, s’inscrivant en continuité des interventions sur le littoral déjà réalisées dans la capitale.

Consultation publique : une vision bonifiée grâce à l’implication citoyenne

Deux ateliers consultatifs ont eu lieu le mardi 5 décembre 2017, auxquels ont participé environ 70 citoyennes et citoyens. En petits groupes, ils ont pu émettre leurs commentaires sur le plan directeur, préciser leurs besoins pour le secteur et contribuer à la priorisation des phases de développement. De plus, du 17 novembre 2017 au 15 janvier 2018, la population était invitée à remplir notre formulaire Web de consultation, afin de commenter la vision d’aménagement proposée, de nourrir les propositions d’aménagement et de bonifier la réflexion entreprise par les partenaires.

Rapport synthèse de consultation

La Commission de la capitale nationale du Québec a produit un rapport synthèse de consultation du Plan directeur du littoral est. Ce rapport présente les principaux faits saillants de la démarche consultative. Il inclut également en annexe de façon anonyme toute l’information recueillie lors des ateliers ainsi que tous les formulaires Web reçus.

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Le rapport synthèse de consultation

Voir aussi : Message d'intérêt public, Parc, Publications & ressources Internet.

Les bâtiments à l’abandon et le pouvoir d’exproprier: le gouvernement du Québec est sourd aux propositions de la Ville de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 janvier 2018 7 commentaires

Louise Boivert
Radio-Canada

Le maire Labeaume s’est évertué mardi à convaincre le ministre des Affaires municipales à donner plus de pouvoirs à la Ville de Québec pour exproprier les propriétaires qui laissent leurs bâtiments à l’abandon. Un plaidoyer qui n’a pas ébranlé le ministre, Martin Coiteux.

Le maire de Québec préparait sa réplique depuis des mois. La Ville cumule les rendez-vous manqués ces dernières années avec le gouvernement pour régler la question une fois pour toutes.

Le dernier en lice concerne le projet de loi 122 sur l’autonomie des villes, adopté en juin. Il prévoit que pour exproprier un propriétaire, la Ville doit faire la démonstration qu’il y a un danger pour « la santé et la sécurité ». (…)

L’enjeu est bien réel à Québec, selon lui. Le cas de l’ancienne Boucherie Bégin, sur la rue Saint-Jean, et celui de la Maison Pollack ont fait plusieurs fois les manchettes.

Ces bâtiments ont été abandonnés. Les inspections répétées et les avis d’infraction n’ont rien donné.

La suite

Loi 122 : le droit d’expropriation oublié? * Radio-Canada

La Ville vise les propriétaires véreux * Le Soleil (Jean-François Néron)

Voir aussi : Message d'intérêt public.