« Un nouveau projet d’amphithéâtre est en train de naître à Québec. Des gens d’affaires bien connus de Québec, dont le directeur général de la Société du 400e, Daniel Gélinas, sont derrière cette idée. »
La suite sur le site de Radio-Canada
« Un nouveau projet d’amphithéâtre est en train de naître à Québec. Des gens d’affaires bien connus de Québec, dont le directeur général de la Société du 400e, Daniel Gélinas, sont derrière cette idée. »
La suite sur le site de Radio-Canada
Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Commercial, Québec La cité.
L’ancien immeuble des postes dans le vieux port sera reconverti. Telus occupera les locaux et des il y aura des investissement massif pour réfection. L’édifice sera LEED et accueillera plus de 300 emplois d’ici 2012.
Voir aussi: Kevlar veut acheter l’édifice du centre de tri postal
Voir aussi : Arrondissement La Cité - Champlain / Vieux-port, Commercial, Projet - Place Telus.

Source: Radio-Canada (Québec), 23 octobre 2008.
L’itinérance est un phénomène grandissant au pays et la région de Québec ne fait pas exception. Cependant, il semble difficile, même pour les intervenants, de connaître l’étendue du problème.
De passage devant la Commission sur l’itinérance, plusieurs intervenants, dont Jacques Fillion, directeur adjoint de l’Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale, ont indiqué qu’il était grand temps que le gouvernement dresse un nouveau portrait de l’itinérance. Les derniers chiffres quant au nombre de sans-abris dans la province remontent à 1998. Jacques Fillion soutient que la situation a considérablement changé depuis. Par exemple, de plus en plus de jeunes et de femmes vivent dans la rue. (…)
La suite. À consulter entre autres billets: Nuit lumineuse pour l’itinérance.
Voir aussi : Qualité et milieu de vie, Québec La cité.
Source: François Bourque, Le Soleil (Chronique), 23 octobre 2008.
(…) Le débat des derniers jours sur le déneigement rappelle celui de l’automne 2006. Mme Boucher visait à l’époque la même chose que le maire Labeaume aujourd’hui : plus d’équité entre les quartiers et moins de dépenses de déneigement.
Celui-ci a coûté 55 millions $ en 2007 et dépassera 75 millions $ en 2008. La Ville pense pouvoir économiser 6 millions $ par an grâce aux mesures suivantes.
1- Souffler la neige partout où c’est possible, ce qui réduirait le transport vers des dépôts à neige. Les quartiers touchés : La Cité et Limoilou et quelques rues dans Duberger et Charlesbourg.
2- Déneiger un trottoir sur deux dans certaines rues de La Cité, de Limoilou et des Rivières et utiliser le trottoir non déneigé pour souffler la neige.
3- Retarder le déneigement de rues ou d’artères pour lesquelles il n’y a pas d’urgence.
En d’autres mots, Québec veut déneiger moins et déneiger moins vite. Juste assez pour déranger les habitudes.
Mais puisqu’on demande à nos administrations de réduire leurs dépenses et d’être créatives, les citoyens ne devraient-ils pas aussi faire leur part? Surtout qu’il est difficile de s’opposer au principe d’une meilleure équité entre les quartiers. (…)
La suite. À consulter enfin, entre autres billets: Déneigement: Politique révisée.
Voir aussi : Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Petit bémol, ici, sur le titre quelque peu sensationnaliste de l’article. Pour le reste, il y a de quoi réfléchir, en effet, sur notre société de surconsommation. Gaspillage et fuite en avant!
Pendant ce temps à Québec et Montréal, paradoxalement, les banques alimentaires manqueraient de plus en plus de vivres…
Source: Annie Morin, Le Soleil, 23 octobre 2008.
(…) Cueilleurs urbains, glaneurs, gratuivores, déchettariens, dumpster divers, freegans… Les noms ne manquent pas pour décrire ces grands critiques de la société de consommation, qui fouillent les poubelles à la recherche d’aliments comestibles n’ayant pas trouvé preneurs.
Le mouvement a commencé aux États-Unis, avant de s’étendre en Europe et maintenant au Québec. (…)
La motivation est politique bien plus qu’économique. Se nourrir avec les restes des commerçants devient une façon de protester contre la société de surconsommation. On plonge dans les ordures comme d’autres se promènent à vélo ou s’habillent dans les friperies. Caroline, elle, fait les trois.
Le Marché du Vieux-Port, c’est le centre d’approvisionnement numéro un des glaneurs de Québec pour les produits frais. Mais tous les conteneurs des boulangeries, des fruiteries et des supermarchés sont susceptibles d’être visités. (…)
Geneviève, 26 ans, s’y rend régulièrement : «C’est tellement plus facile!» Elle a fait ses armes à Montréal et en France, où le grand nombre de marchés publics, de fruiteries, de boulangeries et de marchés ethniques est synonyme d’abondance pour les glaneurs.
Des cartes sont d’ailleurs disponibles dans Internet pour indiquer les meilleurs endroits de collecte et les heures auxquelles il vaut mieux se présenter. Des membres de coopératives d’habitation s’y adonnent régulièrement. (…)
La suite et l’article suivant: Un aliment sur deux n’est pas consommé. À consulter enfin, entre autres billets: 2 500 bénévoles en action pour la grande collecte.
Voir aussi : Environnement, Geste de solidarité & communautaires, Marché du Vieux-Port, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.