Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Complexe résidentiel écologique à l’Île-des-Soeurs

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 30 septembre 2006 6 commentaires

Preuve que ce n’est point utopique des résidences à saveurs écologiques, mais plutôt un choix cohérent, et audacieux… Ce n’est point le seul constructeur qui optent pour un choix écologique, juste à penser au maison Laprise, ainsi que les habitations Apex, pour ne nommer que ceux-là …De plus, comme on lit depuis quelque temps sur Québec Urbain, à quand des projets inovateurs à tout point de vue à Québec ?

Source:Maquette fournie par Proment

Source: Isabelle Audet La Presse, 29 septembre 2006

D’ici un an, le promoteur Proment entreprendra à l’Île-des-Soeurs la construction d’un des complexes résidentiels les plus écologiques au Québec. Une fois le chantier complété, les copropriétaires profiteront des avantages d’un édifice qui pourrait être homologué LEED (Leadership in Energy and Environmental Design), une des normes les plus strictes en construction verte.

Le Vistal, une conjonction des mots vista (vue) et cristal, comptera deux tours de 25 étages, pour un total d’environ 300 appartements. Il sera situé sur la pointe sud de l’île, face au fleuve Saint-Laurent. Très élancés, les deux édifices ont été conçus pour occuper le minimum d’espace au sol, histoire de réduire les impacts sur l’environnement. «Nous sommes persuadés que les édifices verts auront plus de valeur dans l’avenir, affirme Louis-Joseph Papineau, directeur du développement vert chez Proment. Il faut dès maintenant prendre ce virage.»

Voir la suite.

Voir aussi : S'inspirer d'ailleurs.


6 commentaires

  1. JT

    1er octobre 2006 à 10 h 04

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  2. dédé

    15 novembre 2006 à 15 h 57

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  3. André

    16 novembre 2006 à 07 h 13

    Avez-vous de l’information en regards du dernier paragraphe de ce texte.

    La Presse,16 novembre 2006

    Plus d’une centaine de personnes, dont une dizaine d’experts, ont participé à l’atelier de l’OCPM sur le thème de l’intégration du CHUM au centre-ville hier.

    La question du développement durable, des espaces verts, et les mesures de conservation du patrimoine ont soulevé de nombreux doutes.

    Au chapitre des espaces verts, la direction du CHUM 2010 propose, en gros, d’aménager des toits verts sur le sommet des sept bâtiments qui formeront le centre hospitalier universitaire. Le président de l’Ordre des architectes prévient que l’idée a des effets pervers.

    «De grâce, pas des toits verts sur un hôpital, a-t-il dit. Des toits-terrasses seraient viables, mais les toits verts comportent des risques sur la santé à cause des matériaux putrescibles, sans compter qu’ils coûtent une fortune en entretien.»

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  4. Pascal

    16 novembre 2006 à 08 h 56

    Je pourrais dire que de mon opinion, que les architectes au Québec, n’ont probablement pas autant d’ouverture que les reste du canada,concernant, les toits verts et autre choses de cce genre.

    Pour ce qui est des rsiques sur la santé, nos maisons ont beaucoup trops de matériaux, incluant certain de nos meubles, qui ont une influence sur notre santé…

    Bref…

    C’est une question de point de vue.

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  5. Manu

    16 novembre 2006 à 23 h 25

    J’imagine que pour un hôpital on a des normes beaucoup plus sévères sur les matériaux, notamment sur le contrôle de ceux-ci. Certains matériaux ont un comportement connu à très long terme, tandis qu’un toit vert, même bien entretenu, pourrait « partir sur une dérappe » puisque c’est vivant.

    J’invente un exemple : imaginez une souche plus ou moins connue de moisissure ou, de manière plus générale, de champignon qui décide de coloniser subtilement les racines d’une certaine famille de végétaux sur le toit (en supposant qu’on ait assez varié le tout, ce ne sont pas tous les types de végétaux qui seraient ainsi parasités). On peut ensuite imaginer que ces nouveaux amis, ou encore leurs spores s’il y a lieu, se retrouvent dans l’hôpital, que ce soit par voies aériennes, par mégarde de la part des employés d’entretien, etc.

    Sur une maison, où les gens sont normalement en santé, ça ne causerait peut-être aucun problème, mais dans un hôpital, où la santé des gens est bien souvent extrêment fragile, ça pourrait être catastrophique (dans le pire des cas…)

    Peut-être que tout cela ne se peut pas vraiment, mais ça me semble néanmoins probable, et devant un tel scénario, j’aurais peut-être moi aussi des réticences à construire ce genre de toit pour un hôpital.

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  6. Carol

    17 novembre 2006 à 09 h 18

    Encore que ce n’est que suppossition, on n’a pas réèlement d’info juste sur cette situation.

    On peut faire des supositions et an-alyser et sura-nalyser, et cela ne changeras rien à la quaestion dans le fond…

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