Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Est-ce que les feux de circulation causent plus de problèmes qu’ils n’en règlent ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 octobre 2010 23 commentaires

C’est ce qu’une ville anglaise a essayé de déterminer, avec des résultats surprenants!

(Merci à Patrick Bilodeau)

Voir aussi : Message d'intérêt public.


23 commentaires

  1. Carol

    20 octobre 2010 à 22 h 04

    mouais ! cela va prendre tout un changement de culture… et de courtoisie au volant !

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  2. Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

    20 octobre 2010 à 23 h 07

    D’un autre côté si on améliore la fluidité du trafic, certains ne seront pas contents ;)

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  3. Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

    20 octobre 2010 à 23 h 13

    Les carrefours giratoires s’enligent aussi dans cette lignée. Je suis très content que la ville ait choisie d’en implanter. Je verrai bien un carrefour giratoire au coin père-lelièvre et central. En plus, l’espace y est suffisant.

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  4. Manu

    20 octobre 2010 à 23 h 54

    Un carrefour giratoire en bonne et due forme peut faire l’affaire ici, tant qu’il y a de la place bien sûr, car ça en prend plus qu’une simple intersection en ville. Dans une intersection typique de banlieue, là où les rues ont deux voies mais larges comme quatre pour permettre accotement ou stationnement, là ça ne prend guère plus d’espace que l’intersection actuelle. Toutefois, il y a rarement des feux de circulation à ces endroits, mais plutôt des arrêts dans une direction ou les deux.

    De manière générale, à part le carrefour giratoire et les « céder le passage » bien évidents (et encore…) la règle est pas mal du genre « passe quand c’est ton tour, pas avant et surtout pas après en avoir laissé passer d’autres », tandis qu’ailleurs, comme dans le vidéo, c’est plutôt « passe quand t’as plus l’impression que tu dois en laisser passer d’autres ».

    Autrement dit, on a ici une conduite semi-courtoise, semi-latine. Ce genre de solution fonctionnerait… à moitié.

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    • fernand Utilisateur de Québec Urbain

      21 octobre 2010 à 09 h 44

      En effet, dans Lebourgneuf on peut en implanter car les bâtisses n’y sont pas. Il faut le faire dans un nouveau secteur dans le vieux il est trop tard…

      Voilà une expérience intéressante de décongestion du trafic. Mais nous qui demandons à l’État de nous mener par le bout du nez, on a besoin de changer en tabouère de mentalité et de devenir responsables… J’ai toujours pensé que l’homme est un animal raisonnable…

      On met un feu de circulation pour contrôler le trafic. En effet à l’heure de pointe ca nuit plus à la fluidité. Vous savez, nos fonfons municipaux n’ont jamais plus synchroniser les feux sur Laurier… Au lieu de sychroniser les feux, on passe une loi sur les moteurs qui tournent pendant qu’on est arrêté. Comme quoi on se leurre dans les solutions à apporter.

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      • Manu

        21 octobre 2010 à 13 h 12

        Pour le boulevard Laurier, je vous met au défi de trouver un moyen de les synchroniser mieux que ce qu’on a présentement. Ce n’est pas parfait, mais je doute qu’on puisse faire mieux de toute façon. Je ne vois d’ailleuirs pas sur quoi vous vous basez pour dire qu’ils n’ont pas réussi. D’une part, il est impossible de les synchroniser parfaitement dans les deux direction en même temps (en tenant compte des virages à gauche à chaque intersection, des débits différents pour les rues perpendiculaires, etc.) Il faut aussi comprendre qu’à mesure qu’on approche des ponts d’un côté et de Robert-Bourassa de l’autre, la quantité de véhicule sur le boulevard augmente (en provenance des rues attenantes ou des diverses entrées de bureau, centres d’achat, etc.). Ainsi, plus on avance, de moins en moins de véhicules peuvent traverser à chaque intersection. Simple question de capacité. Mais bon, si pour vous synchroniser des feux veut dire rouler sans devoir arrêter, c’est que vous confondez boulevard et autoroute.

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  5. Jean Premier

    21 octobre 2010 à 00 h 26

    ‘Est-ce que les lumières de circulation cause plus de problème qu’ils n’en rêgle?’

    Je veux bien croire que ce n’est pas le plus important mais quand même, on peut faire un petit effort sur l’orthographe.

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    • J.

      21 octobre 2010 à 02 h 45

      Ça aurait aussi pu s’écrire ainsi: Les feux de circulation causent-ils plus de problèmes qu’ils n’en causent ? Mais pour Francis, ces choses sont sans importance, presqu’écrire au son. Comme pour plusieurs de sa génération. Et pourtant, il y a en plusieurs parmi eux qui ont comme passe-temps d’écrire des billets dans des blogs. On est rendu là.

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    • laéR

      21 octobre 2010 à 07 h 43

      Encor des mongol avec leur ortaugraffe. Avé-vous penser 1 segonde kon a droi a l’air heure ?

      Et puis J., ta suggestion de phrase, c’est vraiment n’importe quoi, toi non plus tu ne t’es pas relu.

      Bande de fatiguant.

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      • J.

        21 octobre 2010 à 10 h 43

        Merci, laéR d’avoir noté mon erreur. Finalement j’aime mieux ta façon d’écrire et celle de Francis. Où puis-je m’inscrire pour apprendre à faire des phrases comme les tiennes ?
        Pour les autres, notez que je n’écrirai plus de commentaires à 2h45: c’est trop tôt ou trop tard. c’est selon. On n’est moins attentif à ses propres écrits à cette heure.

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      • Jean Premier

        21 octobre 2010 à 11 h 26

        Oui, tout le monde peut faire des erreurs mais lorsqu’on pratique une forme de journalisme écrit on devrait toujours prendre le temps de se relire et de corriger. Ça fait partie de la ‘job’ et le respect de la grammaire n’est pas du snobisme.
        Mais je ne blâme pas Francis Vachon; C’est avant tout un (bon) photographe. C’est plutôt le système scolaire qui est en cause.

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      • laéR

        21 octobre 2010 à 16 h 30

        Tant qu’à moi c’est la langue française qui est en cause. Conduire est beaucoup plus facile que d’apprendre toutes les règles du français et voyez-vous combien de gens conduisent tout croche?

        En ce qui concerne la question journalistique, Francis doit être excellent car on retrouve un nombre incroyable d’erreur dans les journaux, autant dans les gros titres que dans les textes, et ces gens sont supposé être soumis à beaucoup plus de rigueur, alors sérieusement, la prochaine fois, faite le en privé avec Francis ou sinon allez jouez ailleurs pour vos questions de français. Vous vous amuserez à écrire au Soleil ou encore au journal de Québec ou autres. Vous remarquerez que le site du journal de Québec offre la chance d’indiquer les « coquilles » pour qu’il puisse la corriger, ce que je trouve très bien.

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      • Jean Premier

        21 octobre 2010 à 20 h 45

        Est-ce que vous parlez au nom de Francis Vachon ?

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      • laéR

        22 octobre 2010 à 08 h 05

        Aucunement, c’est seulement que pour l’orthographe, je crois sincèrement qu’il y a de meilleur façon de l’indiquer à qui de droit qu’ici.

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      • Jean Premier

        22 octobre 2010 à 14 h 05

        D’accord. Je n’avais pas compris que ce site est un média entre amis.

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      • laéR

        23 octobre 2010 à 11 h 59

        Vous semblez exceller dans l’art de dire n’importe quoi, est-ce un métier que vous exercer depuis longtemps? Vous êtes surement au sommet de votre forme, lâchez pas!

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      • Jean Premier

        24 octobre 2010 à 00 h 59

        C’est le compliment d’un spécialiste. Merci.

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  6. PY

    21 octobre 2010 à 07 h 54

    Belle expérience. Reste que sans aucune autre mesure, ce type de changement reste discutable, notamment du point de vue des piétons, et cette situation est très bien illustrée par le cas des personnes aux capacités affaiblies. Les jeunes n’ont l’air d’avoir aucun problème pour « s’imposer », tandis que les plus âgés et les plus fragiles on plus de difficultés.

    Dans le cas exposé ici, la vitesse semble rapide, notamment hors-pointe, ce qui est un vrai problème pour les autres formes de mobilité. En pointe, ça doit certainement être bien plus acceptable.

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    • Manu

      21 octobre 2010 à 13 h 15

      Bon point pour les personnes plus « vulnérables ». Dans un endroit où on laisse systématiquement passer les piétons qui semblent avoir l’intention de songer à éventuellement mettre le pied dans la rue, ça peut fonctionner. Ici, c’est loin d’être le cas (même aux intersections, là où les piétons doivent traverser, et même lorsqu’il y a toutes sortes de marquage au sol).

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  7. Louis

    21 octobre 2010 à 13 h 27

    L’expérience ici s’apparente en quelques points à celle d’un espace partagé (shared space) comme on en retrouve de plus en plus en Europe. Cependant, l’expérience n’applique pas le concept en entier et bien que la circulation automobile soit plus fluide, il y a encore beaucoup à faire pour le piéton. PY fait remarqué que la vitesse semble tout de même élevé et cela est vrai. Pour un bénéfice maximum pour les piétons, l’environnement devrait éliminer toute forme de signalisation, mettre l’ensemble de l’intersection au même niveau et travailler le design de façon à être à l’échelle du piéton. Ainsi les automobilistes roulerait au pas, augmentant ainsi le sentiment de sécurité de tous et le risque d’accident, tout en conservant la fluidité.
    En augmentant la présence humaine et en réduisant la vitesse, on permet à l’automobiliste de sortir de sa bulle, de prendre conscience de l’environnement qui l’entoure et de favoriser les contacts visuelles entre utilisateurs de la rue. La circulation n’est ainsi plus réguler par la signalisation et des règles d’ingénérie mais par des règles sociale et physiologique. C’est une solution très adaptée au milieu urbain. Les expériences montrent des résultats très positifs, bien que contre-intuitifs! Seulement il faut que les décideurs aient le courage d’accepter de faire les choses différemment.

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  8. UHRI

    22 octobre 2010 à 10 h 01

    Après mon séjour en Suisse, j’ai constaté que les carrefours giratoires sont une solution très facile et très efficace. Nous n’avons qu’à regarde à gauche pour voir s’il y a quelqu’un.

    Ce serait une solution efficace ici parce qu’il y a plus de place pour les installer et la circulation serait beaucoup plus fluide.

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