Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Les jeunes familles s’installent de plus en plus loin des centres-villes

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 30 juin 2013 44 commentaires

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

(Québec) Les jeunes familles s’installent de plus en plus loin des centres-villes. Tandis que la fréquentation des écoles primaires des coeurs de Québec et de Lévis stagne, celle de plusieurs villes de banlieue éloignées croît rapidement. (…) La crue est clairement concentrée près des nouveaux ensembles résidentiels qui attirent les familles en gestation à Stoneham-et-Tewkesbury, à Lac-Beauport, à Sainte-Brigitte-de-Laval ou à Boischatel. «C’est peut-être la troisième couronne de banlieue.»

La suite

Voir aussi : Étalement urbain.


44 commentaires

  1. nietnietniet

    30 juin 2013 à 20 h 08

    Quelle surprise !

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  2. davedeux

    30 juin 2013 à 22 h 52

    Et puis, après.
    Ça va exactement dans le sens des volontés de la ville.

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      1er juillet 2013 à 00 h 01

      Et vous proposez quoi alors ? Merci.

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      • davedeux

        1er juillet 2013 à 06 h 24

        Je savais que vous étiez pour poser la question.
        Simple, comme je l’ai DÉJÀ MENTIONNÉ SUR CE FORUM, il suffit
        dans un premier de savoir ce que l’on veut, des petites familles ou
        pas dans le centre-ville de Québec?
        Si la réponse est non, est bien nous avons qu’à laisser faire et
        continuer à ouvrir le marché aux spéculateurs et constructeurs de
        petits condos hors de prix.

        Si la réponse est oui, c’est de collectiviser (ou réglementer) tout les espaces disponibles pour la construction accessible à la famille. Exemple l’îlot St-Vincent-de-Paul, construction de 150 logements
        ou condos accessibles de 2 chambres et plus avec stationnement
        sur l’emplacement de la « caverne » sous l’autoroute.

        Mais puisque que Québec adore les (très) petits condos, les petites
        familles vont continuer à s’établir de plus en plus loin du centre-ville et celui-ci deviendras de plus en plus un centre de
        gériatrisation urbain.

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        1er juillet 2013 à 11 h 06

        Simple ? Collectiviser tous les espaces disponibles ? Il faut donc comprendre que vous favorisez l’expropriation massive afin que la Ville y construise ce que vous proposez. Je vous invite à aller voir les prix d’un projet collectif maintenant réalisé dans le centre-ville.

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  3. Omer

    1er juillet 2013 à 07 h 19

    Il y a du vrai dans ce que vous dites. Cependant, je crois que plusieurs jeunes familles recherchent un jumelé ou une maison unifamilialle abordable. De ce fait, celles-ci se retrouvent bien souvent à l’extérieur du centre-ville…

    En fait, je dirais plutôt que les jeunes familles regardent où ils peuvent s’acheter ce genre de propriétés selon le crédit octroyé.

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    • davedeux

      1er juillet 2013 à 08 h 07

      Vous avez raisons.
      Mais pourquoi donc pleins de gens focalisent sur le fait que
      les familles dans la grande majorité favorise la banlieue.
      Perso, si les petites familles veulent s’établir de plus en plus loin
      aucun problème avec ça et arrêtons d’en faire tout un plat.
      Ils font de qu’ils veulent.

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      • Omer

        1er juillet 2013 à 18 h 23

        Différentes réponses sont possibles, mais la principale à mon avis est qu’il y a 10-15 ans, Ste-Brigitte-de-Laval, l’Ange-Gardien, Val-Bélair, Shannon, Neuville, Pont-Rouge étaient des endroits considérés, dans l’ensemble, comme « la campagne ». Ainsi, en 2013, il est effectivement remarquable de voir toute cette évolution et c’est pourquoi des bilans statistiques se font de temps en temps et font les machettes.

        Toutefois, comme l’indique Paradiso plus bas, je n’ai pas l’impression que toutes ces familles effectuent le calcul entre payer un peu plus cher et avoir une seule voiture et/ou prendre le bus ET payer moins cher l’habitation mais avoir deux voitures… Cela demeure de l’économie 101 et c’est propre à chacun.

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      • Urbanité

        2 juillet 2013 à 11 h 27

        Oui, j’adore payer le style de vie de ces jeunes familles ! Vive mes impôts qui leur payent de nouvelles écoles (alors que d’autres sont parfaitement fonctionnelles), des autoroutes sur des kilomètres ! Bien sûr, j’adore payer les frais de santé d’une population de plus en plus sédentaire, et des conséquences de la pollution atmosphérique d’un mode de vie axé sur la voiture, faible densité oblige.

        J’adore voir nos forêts et nos champs rasées pour le bonheur de quelques individus dispersés !

        J’adore la congestion que provoque cette population ultra-motorisée, toujours plus loin du travail, et les pertes économiques immenses. J’aime voir des familles avec trois automobiles, et les dizaines de milliers de dollars reliés à ces véhicules imposés quitter notre province et nous appauvrir d’autant !

        Aucun problème avec tout cela, je paye, je paye, je subis ! Aucun problème !

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      • nietnietniet

        2 juillet 2013 à 18 h 47

        Je m’en allais répondre à Urbanité : j’habite la lointaine banlieue et je viens travailler avec mon SUV ( qui ne consomme pas plus qu’une petite voiture construite en 2005 mais tout de même…) mais je me suis rendu compte qu’il avait raison sur presque tous les points.

        Par contre je n’ai jamais autant bougé que depuis que j’ai des enfants et que j’habite à la campagne. Pour le reste je dois avouer mes torts.

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  4. Cèline

    1er juillet 2013 à 11 h 48

    En 10 ans l’évaluation de ma maison (secteur Montcalm) a presque doublé et ce sans travaux majeurs. Rien pour encourager de jeunes familles à s’installer au centre-ville…

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  5. paradiso Utilisateur de Québec Urbain

    1er juillet 2013 à 12 h 49

    Encore une fois, le « libre marché » dépend plus que jamais du gouvernement, qui va construire ou agrandir des écoles et des CLSC dans les zones où les prometteux ont jeté leur dévolu.

    Autrement dit, ce sont les prometteux qui gouvernent, et le gouvernement satisfait leurs demandes sans avoir de vision cohérente du développement urbain. Mais ne comptez surtout pas sur les prometteux pour assumer le coût des infrastructures.

    Quant aux familles qui s’installent à St-Appolinaire, leurs gains immobiliers sont annulés par les pleins d’essence et les paiements sur leurs deux véhicules.

    Cette fuite en avant est le gage d’un appauvrissement collectif croissant. Le Québec ne produit ni pétrole, ni voitures… L’électrification des transports individuels et collectifs permettrait de rétablir notre balance commerciale, mais peu de gestes concrets sont posés en ce sens.

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  6. Juliette

    1er juillet 2013 à 19 h 09

    Au nom de la « sacro-sainte densification », on ne compte plus le nombre de modification de zonage et chaque mois voit apparaître un nouveau projet de condos, mais rien pour les jeunes familles.

    Je ne suis pas urbaniste, mais il y a sûrement des mesures que la Ville pourrait prendre pour favoriser la construction de maisons de Ville. Du moins, c’est ce qu’a fait la ville de Berlin (Allemagne) où dans des secteurs délaissés par des usines on a vu apparaître des maisons de ville entourées de parcs. Peut-être que ça demande trop d’imagination à nos élus et que ça déplairait aux promoteurs?

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      1er juillet 2013 à 20 h 22

      Sur quels terrains au centre-ville de Québec vous pensez que la chose est faisable ? Il y a rareté vous le savez sûrement. Proposez-vous, comme un autre intervenant, que ce soit la Ville qui devienne promoteur et crée des maisons de ville ou des logements ? Le tout à des prix collectivement supportés ?

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      • Francis L Utilisateur de Québec Urbain

        1er juillet 2013 à 21 h 14

        Le problème c’est que les quelques changements de zonage demandés par des promoteurs au centre-ville ne viendrait créer qu’une poignée de logements de supplémentaires. Donc, c’est trop peu pour faire une quelconque différence!

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      • Juliette

        2 juillet 2013 à 08 h 48

        Par exemple, la Ville propose la construction de duplex, triplex, quadruplex dans le secteur de l’aréna de Sillery. Pourquoi ne pas limiter le zonage aux maisons de ville ou duplex, qui auraient l’avantage d’attirer de jeunes familles en plus d »être plus en harmonie avec l’architecture présente. Même chose pour le terrain situé près de Laurier et propriété de l’armée, on pourrait limiter le zonage aux maisons de ville.

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      • David

        2 juillet 2013 à 12 h 05

        Sans vouloir prendre un parti mr Gobeil, il ne faut pas oublier que la valeur d’un terrain est spéculative et dépend principalement des acteurs municipaux (et de leurs choix). Il est possible d’envisager un moins grand revenu de taxe afin de favoriser une densification plus douce mais cela reste à la Ville de trancher. Le climat de spéculation immobilière actuel résulte principalement des décisions de la ville: augmenter ses revenus.

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        2 juillet 2013 à 14 h 34

        J’aime beaucoup ce brassage d’idées. @ Juliette. Même en limitant le zonage à des maisons de ville ou des duplex, vu la localisation des terrains concernés, vous croyez vraiment que le tout serait abordable pour des jeunes familles ? Je ne demande qu’à vous donner raison. @ David. Comme un des décideurs (François Picard) lit ce qui se dit sur Québec Urbain, on verra ce qu’il en est.

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  7. o.amiot@hotmail.com

    1er juillet 2013 à 20 h 19

    Il est vrai que Gérald Gobeil est plutôt agressif dans sa défense du statu quo et qu’il a une conception étriquée de la démocratie et de la politique…

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  8. jeand Utilisateur de Québec Urbain

    2 juillet 2013 à 06 h 45

    Ouff, certains ont l’air de s’ennuyer du socialisme ici!

    Ensuite on peut laisser faire les comparaisons avec Berlin, une métropole avec entre 3.5 et 5 millions d’habitants.Ça va être assez dur à Québec de trouver des quartiers industriels du début du siècle à recycler… (bon éventuellement on va avoir la Reed Paper-Daishowa)

    Les familles à Québec veulent un terrain et une qualité de vie! En haute-ville en partant des murs, la première épicerie digne de ce nom est située à Sillery…

    Plusieurs oublient que Québec est une ville très jeune(oubliez le village de 400 ans) et que pratiquement tout le plateau de Ste-Foy était un champs il y a 60 ans.

    La densification se fera par voie naturelle dans le coin de Laurier si on arrête de protéger des bungalows qui n’ont plus leur place dans le coin.Les proprios vont faire des profits faramineux et les promoteurs construiront en hauteur!

    Et moi je prévois un ralentissement important de la construction pour quelques années après le boum qu’on vient de connaître, soudainement il ne manque plus vraiment d’apparts à Québec… Ben oui ceux qui le pouvaient ont acheté des condos, et le marché des condos neufs est saturé (prenez le J de Q du samedi pour vous en convaincre.

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  9. Manu

    2 juillet 2013 à 09 h 01

    Être propriétaire avec un assez grand terrain… voilà ce que recherche la majorité des jeunes familles qui en ont les moyens. On aurait pu écrire la même nouvelle il y a 100 ans, et encore plus il y a 60 ans, alors que l’accès à la propriété devenait largement démocratisé.

    L’argument du coût d’une seconde voiture ou non, n’est valide que dans une certaine mesure et parfois bien négligable. D’une part, deux voitures sont souvent nécessaires: la plupart des emplois dans la région de Québec ne sont pas dans les quartiers centraux (et peu ou pas accessibles en autobus) et le transport quotidien des enfants vient régler la question (d’autant plus que l’école « désignée » n’est pas nécessairement la plus proche, et bien chanceux qui trouvera une place en garderie à pied de chez lui). Alors que ce soit à Duberger ou à Val-Bélair, les deux autos sont là quand même. Et si on doit payer 8 000$ à 15 000$ de plus d’hypothèque par année pour être à Ste-Foy ou dans une « maison avec terrain des quartiers centraux) pour éviter une seconde auto, ça peut largement compenser pour le coût de celle-ci (et ne comparez pas avec le coût annuel d’une voiture neuve, les jeunes familles n’ont pas une voiture neuve chaque année, ni parfois même de voiture neuve tout court).

    D’autre part, outre la limite supérieure de ce que peuvent s’offrir les familles selon leurs moyens, le choix d’un emplacement est principalement guidé par la simple disponibilité. Les gens veulent un terrain, alors ils vont là ou il y en a. S’il y avait assez de maison à vendre, on n’aurait pas besoin d’en construire. Mais ce n’est pas le cas et ce l’était encore moins il y a 10 ans en plein boom immobilier. Alors pour revenir au sujet du billet (de l’article du Soleil en fait), c’est bien beau vouloir s’installer près d’une école déjà construite, mais encore faille-t-il que les résidents en place déménagent d’abord.

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    • jfmartel Utilisateur de Québec Urbain

      2 juillet 2013 à 09 h 23

      Enfin un commentaire qui a du sens!

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    • David

      2 juillet 2013 à 12 h 21

      Personnellement je crois que c’est réduire l’argument économique, comme si les jeunes familles disposaient de fonds illimités pour s’installer et ne dépendaient pas du crédit disponible. Une des raisons de la migration vers la périphérie est le mélange du manque de disponibilité en zones centrales et de la spéculation immobilière des dix dernières années qui a fait monter le prix des terrains (le tout résultat d’une conjoncture de choix d’urbanisme à la ville, d’opportunisme des promoteurs et de la situation démographique/économique de Québec).

      D’un autre coté, il est vrai que le fameux rêve américain est encore très vivant ici: la maison unifamiliale, l’entrée de voiture et la cour arrière. Bien que les gens l’assume, il faut s’avouer que c’est vouloir le beurre et l’argent du beurre: on veut l’emploi payant en ville et la qualité de vie de la campagne. À moyen terme, c’est un choix risqué pour notre environnement, et en partie pour l’économie.

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      • Manu

        2 juillet 2013 à 15 h 34

        Il y a 40-50 ans, on s’installait sur un « beau terrain avec une belle maison » à 15 minutes en auto du travail (et un seul bon revenu suffisait) et souvent près des services car cela se faisait souvent près d’un ancien centre de village ou paroisse. Du début à la fin de l’emménagement des baby-boomers on est probablement passé de 15 à 25 minutes, mais c’était assez semblable pour le reste.

        Ce qui allait alors de soi est aujourd’hui renconnu comme « le beurre et l’argent du beurre ». On ne peut tout de même pas en vouloir aux gens d’aujourd’hui d’espérer avoir « autant » que leur parents (ou leurs grand-parents pour les plus jeunes). Mais une rédéfinition de « autant » s’impose probablement.

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    • Paco

      2 juillet 2013 à 12 h 51

      Il ne faut pas négliger le facteur émotif du «boisé à proximité» ou mieux «aucun voisin arrière». J’ai toujours du mal à comprendre cet attrait, et je trouve qu’il s’agit d’un très mauvais calcul alors qu’on sait pertinemment que ces boisés seront un jour rasés pour agrandir le quartier dans lequel ils viennent de s’établir.

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      • Omer

        2 juillet 2013 à 13 h 11

        En effet, mais il y a pourtant toujours un acheteur !

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      • Manu

        2 juillet 2013 à 15 h 00

        Comme cette annonce de 2008?

        http://duproprio.com/maison-a-vendre-neufchatel-quebec-71941

        Non seulement il y a le « pas de voisins à l’arrière » (c’est l’aqueduc… dont l’emprise pourrait un jour devenir officiellement sentier piéton/piste cyclable/parc linéaire), il y a « rue en cul-de-sac ». C’était le cas en 2008, mais c’était prévu (et public) depuis 2006 que la rue déboucherait sur une autre, ce qui est le cas aujourd’hui.

        Le fait que de tels arguments soient vendeurs auprès de la clientèle cible suggère tout de même (et on le savait déjà) que bien des gens veulent le moins de voisins possible.

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  10. jfmartel Utilisateur de Québec Urbain

    2 juillet 2013 à 16 h 00

    Mon avis sur la chose c’est que pour beaucoup de monde, avoir déjà 2 autos c’est la norme. Alors, quand vient le temps de choisir une maison, t’a le choix d’une maison flambant neuve en peripherie ou une vieille affaire ou les renovations vont etre non-stop, sans terrain, avec en prime la rue à 3 pied de la porte pour plus cher… Le choix est pas ben ben compliqué…

    Les marchands de quartier, les p’tites places sympathiques, c’est pas pour la majorité. Regardez le 10-30 à Montréal…

    Personnellement, j’ai fait un compromis ville/banlieue en choisissant le secteur du campus Charlesbourgs du cegep Limoilou en achetant ma maison. Meme si je travaille à l’université, j’y vais en auto et ma blonde prend l’autobus pour aller sur la Colline parlementaire.

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  11. davedeux

    2 juillet 2013 à 16 h 58

    « Sur quels terrains au centre-ville de Québec vous pensez que la chose est faisable ? Il y a rareté vous le savez sûrement. Proposez-vous, comme un autre intervenant, que ce soit la Ville qui devienne promoteur et crée des maisons de ville ou des logements ? Le tout à des prix collectivement supportés ? » (Gérald Gobeil)

    1/Rareté de terrains??? Au nombres de terrains en friches ou
    réservé au stationnement qui parsèment le centre-ville, c’est pas ce que je constate. À moins que je n’est rien compris et que la densification Made in Québec veut dire d’augmenter la densité des stationnements. Si c’est le cas, c’est une réussite.

    2/Que la ville devienne promoteur POURQUOI PAS. La ville est
    déjà prometteur de livre, de spectacles, de hockey, de variétés, de
    vin, de sport…Donc promoteur immobilier, aucun problème.
    D’autant plus que les promoteux privés nous ont offerts
    jusqu »à maintenant que du condos microscopique, rien pour les
    familles. Donc la ville ne peut fait pire.

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  12. Louis M.

    2 juillet 2013 à 17 h 26

    Dans ce débat (éternel) sur la banlieue, il vaut la peine d’écouter et de réfléchir aux propos d’Ellen Dunham-Jones : http://vimeo.com/67159202#

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    • J M Utilisateur de Québec Urbain

      2 juillet 2013 à 21 h 50

      Merci pour lien. Elle est géniale Madame Dunham-Jones. C’est ma nouvelle amie.

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    • jfmartel Utilisateur de Québec Urbain

      3 juillet 2013 à 23 h 41

      Je viens de repérer tout les arguments contre la banlieue en 10 minutes.

      Certains de ses points sont ridicules… Le taux de mort des ados en auto, comme s’il fallait que cette statistique allait faire pencher la balance…

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      • Louis M.

        4 juillet 2013 à 10 h 51

        «Le taux de mort des ados en auto, comme s’il fallait que cette statistique allait faire pencher la balance…»
        Pourtant s’il s’agissait d’une maladie on investirait des milliards pour cesser cet hécatombe. Cela démontre à quel point la voiture peut nous aveugler; parce que c’est lié à la voiture, on ne remet rien en question? Perso je trouve que c’est un indicateur particulièrement inquiétant.

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  13. Mike S.

    4 juillet 2013 à 11 h 39

    Je n’ai pas lu tous les intervenants ci-haut, mais je trouve que l’équation (maison moins cher + essence de 2 voitures = maison + cher + 1 voiture ou autobus) est plutôt simpliste.

    Je suis de ceux qui cherchait une maison pour élever ma famille. Mon souhait le plus cher était de me rapprocher du centre-ville. Toutefois, un petit bungalow rénové en 1981 (donc nécessitant environ 50 000$ de travaux) dans Charlesbourg se détaille entre 275 000$ et 325 000$ alors qu’un cottage deux fois plus grand au goût du jour au Lac-St-Charles m’a coûté 240 000$.

    Selon votre équation, je devrais m’acheter une deuxième voiture, mais j’ai pourtant réussi à continuer de prendre l’autobus pour travailler et pour aller en ville. Bref, la voiture reste dans la cour à part lorsqu’on sort de la ville. Je n’aurais jamais quitté pour un endroit ou le bus n’était pas accessible et où j’aurais dû m’acheter une 2e voiture. Donc avant de généraliser et de prétendre que que les « banlieusards » n’ont rien compris et ne savent pas compter, regardez un peu ailleurs que votre nombril et prenez conscience que votre vérité n’est pas toujours LA vérité…

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  14. test

    8 juillet 2013 à 14 h 16

    Très bel article

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  15. Emilie Desharnais

    25 juillet 2013 à 22 h 56

    C’est simple, une bonne famille, ça élève ses enfants loin du centre d’une ville, des groupes et des quartiers moins recommandables et de cette activité qui est d’abord faite pour les gens à la recherche d’une vie urbaine éclectique, de culture et d’activité commerciale.

    Un centre-ville, ça a toujours été plus cher que la périphérie, on trouve ce que les familles recherchent dans un quartier comme Val Bélair ou autre…

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