Patricia Cloutier
Le Soleil
(Québec) Le Cégep Garneau lance l’idée d’instaurer un système de laissez-passer universel, qui permettrait à ses étudiants et à ses employés de monter à bord des autobus du Réseau de transport de la Capitale (RTC) gratuitement et en tout temps, en échange d’une contribution payable par tous. (…)
Un système de laissez-passer universel a été instauré à l’Université de Sherbrooke en 2004. Tout d’abord gratuit, il est maintenant en partie financé par les étudiants. Un système semblable existe également à l’Université d’Ottawa depuis 2010. Tous les étudiants paient environ 140 $ par session pour avoir accès au système de transport en commun à Ottawa et à Gatineau.
Un billet précédent en 2013
20 août 2016 à 09 h 14
On pourrait aussi penser à des achats groupés de vêtements (parce que ça aussi ça coûte cher) et pour réduire la facture, on pourrait les prendre tous du même style et de la même couleur.
Il faut soumettre l’idée au comité central des professeurs et faire voter le soviet suprême du cegep.
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20 août 2016 à 12 h 37
« on pourrait les prendre tous du même style et de la même couleur »
En effet tout le monde sait que la mode a un impact important sur l’avenir de la planète.
Puis-je exprimer ma déception par ce que l’auteur de cette métaphore trompe-l’oeil est un résident des quartiers centraux?
« Anyway », la réponse à ma question n’a probablement pas plus d’importance que votre opinion sur le sujet pour les étudiants du Cégep Garneau. ;-)
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21 août 2016 à 07 h 35
Il y a des étudiants qui viennent en vélo, d’autres qui ont choisi un logement proche pour venir à pieds et d’autres enfin qui choisissent la voiture. Il y a peut-être encore d’autres moyens de transport auxquels je ne pense pas.
L’idée derrière cette mesure est d’enlever la liberté et la responsabilité de choisir et d’imposer le bus à tout le monde.
Ceux qui sont derrière cette initiative sont inspirés par un collectivisme nauséabond.
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21 août 2016 à 09 h 55
Belle insulte pour les étudiants de l’Université d’Ottawa et surtout celle de Sherbrooke. Pourquoi avoir recours à des mots comme « nauséabond »?
Pour alimenter le débat? Ça ne fait pas plus avancer le débat que votre métaphore trompe-l’oeil.
Comme j’ai écrit ce que vous pensez est le dernier des soucis pour les étudiants qui pourront prendre une décision démocratique.
D’ailleurs, tout le monde sait que le collectivisme nauséabond est surtout appliqué dans les pays démocratiques. lol
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21 août 2016 à 06 h 56
Mais encore?
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21 août 2016 à 12 h 20
« Mais encore? »
Présumer avec un commentaire comme ceci:
« L’idée derrière cette mesure est d’enlever la liberté et la responsabilité de choisir et d’imposer le bus à tout le monde. »
que les étudiants à Sherbrooke et Ottawa avaient cet objectif n’est pas quelque chose que j’oserais faire.
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21 août 2016 à 10 h 10
Je vous suggère de lire plus lentement.
C’est le collectivisme (c’est une idéologie; ce n’est pas une personne) qui est nauséabond.
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21 août 2016 à 12 h 15
Je vous suggère attentivement les définitions des sophismes suivants:
– Pente fatale
– Équivoque verbale
– Caricature
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21 août 2016 à 13 h 38
Faîtes un effort. La conversation est quand même plus intéressante quand on écoute l’autre (pas de lecture en diagonale) et qu’on y réponds de façon appropriée et sans émotions.
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21 août 2016 à 15 h 47
« La conversation est quand même plus intéressante quand on écoute l’autre (pas de lecture en diagonale) et qu’on y réponds (sic) de façon appropriée et sans émotions (sic). »
lol
C’est ironique que ceci provienne de celui qui a écrit
« On pourrait aussi penser à des achats groupés de vêtements (parce que ça aussi ça coûte cher) et pour réduire la facture, on pourrait les prendre tous du même style et de la même couleur.
Il faut soumettre l’idée au comité central des professeurs et faire voter le soviet suprême du cegep (sic). »
Allez tenir vos propos en assemblée au cégep. Aucun doute, vous serez très bien acceuilli. lol
J’ai assez perdu de temps avec vous, je vous laisse poursuivre avec votre discours de démagogue.
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21 août 2016 à 12 h 26
« Le collectivisme politique est un mode d’organisation sociale fondé sur l’appropriation des moyens de décision, au nom de tous, de la majorité, de la généralité. Par extension, système qui admet une intervention de l’État (ou d’autres groupements autoritaires) dans le domaine économique, politique et social en édictant des lois contraignantes.
Pour les libéraux, le collectivisme politique implique la négation des droits de l’individu. »
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