Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Labeaume et Chevrette : des échardes dans le dossier du stade de soccer

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 janvier 2008 30 commentaires

Source : Claude Vaillancourt, Le Soleil, 25 janvier 2008

Le maire de Québec, Régis Labeaume, accueille très mal la «demande formelle» de l’industrie forestère qui réclame d’utiliser le bois de la forêt québécoise dans la construction du stade de soccer de 18 millions $ au parc Chauveau.

 «À partir du moment où j’ai décidé qu’on allait (construire) en bois, c’est pas l’industrie forestière qui va me dire comment gérer la Ville», a lancé le maire Labeaume, visiblement furieux de se faire varloper par le représentant de l’industrie forestière québécoise, Guy Chevrette.

«Je trouve ça spécial, poursuit-il. Je suis allé au Sommet sur l’avenir du secteur forestier. J’ai émis l’idée qu’on fasse (le stade) en bois et j’ai reçu un standing ovation. Et tout ce que j’ai comme remerciement, aujourd’hui, c’est qu’on essaie de me forcer la main.»(…)

la suite

Encore ici on se demandera si la personnalité « ti-caille » du maire ne le nuira pas dans ce dossier ou est-ce qu’on retiendra que celui-çi se tient debout pour la bonne santé finacière de sa ville. Mais avouons que jusqu’à date on ne s’ennuie pas avec cette forte personnalité.

Voir aussi : Arrondissement Laurentien, Message d'intérêt public.


30 commentaires

  1. Francis Vachon Utilisateur de Québec Urbain

    26 janvier 2008 à 11 h 23

    Il a reviré dans ses shorts un lobyiste. Bravo à Mr. Labeaume! Tant qu’à moi, Chevrette a eu l’ai fou là-dessu!

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  2. Luc Bisson

    26 janvier 2008 à 12 h 12

    Je suis tout à fait d’accord avec M. Labeaume. C’est un homme qui se tient debout pour sa ville. Sa saine gestion remettra la ville sur ses pattes et c’est avec des interventions comme celles-là que tous finiront par comprendre ou il veut aller.

    Aussi, avec toute les misères que notre industrie du bois a traversée, s’ils ne sont pas capable d’être concurentiels face aux autres et de fonctionner selon le mode « libre entreprise », et bien même si ça me fait mal, c’est tout ce qu’ils méritent. Qu’ils deviennent compétitis d’abord et là ils pourront clamer à juste titre d’utiliser leur bois.

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  3. G Saulnier

    26 janvier 2008 à 13 h 20

    Régis Labeaume est en train de changer la manière de gérer notre ville et c’est pour le mieux. Il encourage la compétence autour des projets sans favoriser des domaines qui sont habitués de n’avoir aucune compétition et qui ne se démarquent pas par leur performance.

    Cette industrie prend les contrats du Québec trop pour acquis. L’objectif d’aller en soumissions dans un projet est d’obtenir les meilleurs coûts possible, ce n’est pas une étape dans laquelle on choisit à qui vont aller les subventions d’un budget.

    C’est malheureux, mais pour que l’industrie du bois québécoise nous prouve qu’elle mérite toutes les subventions auxquelles elle a profité antérieurement, il faut qu’elle soit compétitive avec les autres.

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  4. sylvain gauthier

    26 janvier 2008 à 13 h 30

    bravo M. Labeaume, personne ne va nous dire quoi faire. De plus, si prendre le bois du Québec veut dire des couts plus cher pour la construction du stade : No way, raison de plus d’envoyer promener Chevrette

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  5. Sébastien

    26 janvier 2008 à 13 h 53

    J’en reviens pas de lire ce que vous écrivez….

    Guy Chevrette n’a pas « exigé » que la Ville construise le stade avec du bois du Québec… Il n’a fait que « demander »… nuance! Donc est-ce que ça méritait cette montée de lait de Labeaume? Je ne pense pas… Moi j’appelle ça du manque de tact de la part d’un nombril vert en politique. Du manque de savoir-vivre de la part de Labeaume, tout simplement…

    Labeaume s’est fait ovationné lors d’un discours à un congrès de l’industrie forestière québécoise parce qu’il avait suggéré que le nouveau stade soit construit en bois… Avouez que ce discours perd tout son sens si le bois provient de l’extérieur du Québec!

    Et si je suis votre logique, du plus bas prix coûtant… Faisons-le en acier dans ce cas, le stade! Parce que je suis pas mal sûr qu’il en revient encore moins cher de construire l’armature du stade en acier…

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  6. Jonathan

    26 janvier 2008 à 14 h 00

    Y a t il des industries de bois d’ingénierie au Québec?? Peuvent elles fournir la demande pour la construction d’un édifice en bois d’une telle envergure?

    Je vous rappelle que le stade ne sera pas fait en 2 X 4 mais en gigantesques poutres de bois lamellé-collé. Avant de se perdre dans un débat d’idée assurons nous que l’offre québécoise dans ce domaine existe bel et bien!!

    Personnellement je n’en sais rien! Quelqu’un connait mieux cette industrie?

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  7. G Saulnier

    26 janvier 2008 à 14 h 37

    @ Jonathan

    Je t’incite à t’informer sur le pavillon de recherche sur le bois H Kruger de l’Université. Laval. Je t’assure que nous avons l’expertise pour un tel projet.

    http://www.contact.ulaval.ca/articles/pavillon-vert-tout-bois-6.html

    @ Sébastien

    Je crois que tu as mal compris M. Labeaume. D’après moi, il veut encourager l’utilisation du bois dans nos constructions afin d’aider cette industrie au Québec, mais pas à n’importe quel prix. De cette manière, les compagnies locales devront être compétitives pour en profiter.

    Il faut qu’ils nous prouvent qu’ils sont capables d’être le plus bas soumissionnaire, tout en étant rentables, en étant en compétition avec tout le pays. Après ça, ils vont pouvoir acquérir des contrats partout en Amérique.

    M. Labeaume veut encourager ces compagnies en leur offrant l’opportunité de soumissionner au Québec, mais si elles ne sont même pas capables de remporter des projets au Québec, il faudra qu’elles remettent leur gestion en question.

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  8. Jonathan

    26 janvier 2008 à 17 h 33

    Hahaha!!

    oui monsieur Saulnier je connais le projet, cependant, si je ne me trompe pas, ils ont dû faire venir les pièces de bois ouvrés de l’extérieur de la province. C’est pour cette raison que je demandais si on avait des INDUSTRIES à Québec qui pouvaient fournir, accessoirement à un coût raisonnable, un tel chantier.

    Pour l’expertise je ne doute plus de la pertinences de nos chercheurs et professionnels, pour cela, il n’y a pas de soucis. Je ne suis tout simplement pas encore famillier à la production locale., je ne faisais que demander.

    Évidemment, depuis le Krugger l’offre à peut être changée…

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  9. Sébastien

    26 janvier 2008 à 19 h 26

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  10. André

    26 janvier 2008 à 22 h 50

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  11. Arr4ws

    27 janvier 2008 à 02 h 18

    ridicule ce monsieur chevrette. Si l’industrie de bois QUÉBÉCOISE n’est pas capable d’accoter un prix provenant du BC pour un projet au QUÉBEC , just too fuckin bad.

    libre entreprise batard .

    Pis oui Mr. Labeaume a été ovationné lors de son annonce , mais on était obligé a cause de cette ovation de prendre du bois québécois? non

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  12. Jonathan

    27 janvier 2008 à 11 h 45

    Merci André!

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  13. Carol Proulx Utilisateur de Québec Urbain

    27 janvier 2008 à 13 h 58

    « Y a t il des industries de bois d’ingénierie au Québec?? Peuvent elles fournir la demande pour la construction d’un édifice en bois d’une telle envergure? »

    La question aussi, est -ce que les ingénieurs du Québec de maintenant ont garder le savoir faire de ceux qui en on eut l’expertise dans le temps de nos grand-parents ? Ou que cela s’Est perdu ? (construction de charpente de bois)

    « libre entreprise batard »

    Mais encore ?? (clin d’Å“il à Ludovic ) ;-)

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  14. Sébastien

    27 janvier 2008 à 15 h 42

    M. Chevrette a demandé à M. Labeaume de le rencontrer pour discuter des « possibilités » d’utiliser du bois Québécois. Alors, qu’est-ce qui justifie à Ti-Toupette de monter aux barricades?

    Pourquoi certains parlent de mauvaise gestion de l’industrie forestière Québécoise?

    Si nos entreprises sont incapables d’accoter les prix du bois du BC il y a une raison, et elle s’appelle « Dendroctonus ponderosae ». Le BC est présentement dans une course à l’abattage pour récolter le plus possible de bois sain avant qu’il ne soit trop affecté par cet insecte, de là le « dumping » fait actuellement par les entreprises du BC qui inondent littéralement le marché canadien… N’en déplaise à nos capitalistes purs et durs…

    http://mpb.cfs.nrcan.gc.ca/biology/introduction_f.html

    La gestion du marché par nos entreprises forestière n’a rien à y voir.

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  15. Jeff M

    27 janvier 2008 à 16 h 19

    @Sébastien,
    Ce n’est pas nécessairement du dumping ce que tu décris. Le dumping consiste à vendre à un prix de reviens inférieur à ses coûts de production dans l’unique but de dominer un marché. Dans le cas présent, les lois du marché fonctionnent dans la mesure où elles font écouler les inventaires d’un abbatage qui doit se faire de toute façon du au phénomène du dentroctone. Il y a là une nuance importante.

    Bien sûr, c’est une concurrence forte pour le Québec, mais bloquer l’accès à cette production au BC correspondrait davantage à du gaspillage que les âmes écologistes aurait raison de dénoncer.

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  16. Max

    27 janvier 2008 à 23 h 47

    Encore une fois, Régis « Face-De-Gars-Qui-Se-Faisait-Pété-La-Gueule-Au-Secondaire » Labeaume se met le pied dans bouche.

    Le gouvernement du Québec encourage tant les secteurs privés et publics de choisir le bois comme matériel de construction, même si coûte un peu plus cher. Le but est d’éponger l’hémoragie causée par la dégringolade fulgurante de l’industrie forestière – au Québec -.

    Prendre du bois d’ailleurs perd donc tout son sens. Tant qu’à faire, fait le à moindre coût en acier et sauve toi quelques centaines de milliers de dollars, bout de viarge!

    Ya des milliers de familles au Québec qui rochent en ce moment parce que les parents ont perdus leurs jobs. Donc si la Ville de Québec, dont l’économie va la mieux en province, peut se payer un stade de soccer avec du bois coupé par les bucherons de l’Abitibi-Témiscamingue, ça s’inscrit dans une juste redistribution de la richesse dans notre société. Mets ça dans ta pipe, Régis.

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  17. Sébastien

    28 janvier 2008 à 00 h 31

    @ Jeff M

    J’ai mis le mot dumping entre guillement parce que, bien que ça ne soit pas du dumping, les conséquences en sont très semblables pour les concurrents des autres provinces… et le bois du BC n’ira pas pourrir si les entreprises publiques du Québec ne s’en procurent pas, t’inquiètes! Et la pollution engendrée pour faire venir le bois du BC jusqu’ici n’en fait sûrement pas un geste écologique.

    La Ville de Québec n’est PAS une entreprise privée! N’en déplaise à Ti-Toupette!

    Il est illogique pour une entreprise publique représentant l’ensemble de ces citoyens de ne considérer qu’UNIQUEMENT le prix coûtant, elle se doit aussi d’encourager et de valoriser les travailleurs et entrepreneurs d’ici. Laissons la loi du marché aux entreprises privées.

    Je suis convaincu que la différence de prix entre le bois du BC et le bois Québécois n’est pas si exorbitante que ça, considérant que le transport s’ajoute au prix demandé pour le bois du BC…

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  18. Richard

    28 janvier 2008 à 09 h 40

    Juste pour ajouter mon appuis dans l’un des deux clans:

    Je suis résident de la ville de Québec, et ce maire là est la meilleure chose qui pouvait nous arriver après toute la collection de ronds de cuir qu’on voit partout au pouvoir.

    Et je n’aime pas le biais de l’auteur qui affuble de personnalité “ti-cailleâ€? ce gars là qui fait mieux que la grosse majorité. Si tu rêves d’un week-end avec une personnalité comme Stephane Dion, vas-y fort et bon débarras!

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  19. mb

    28 janvier 2008 à 11 h 55

    L’industrie forestière peut bien hurler tant qu’elle voudra, elle ne donne même pas l’exemple elle meme… possiblement parce que leurs produits sont toujours trop chers… ??? Les usines sont toujours en acier, les centre de distributions le sont tout autant… aller voir le centre de distributino de Goodfellow…par exemple. On ne voit jamais de structure de bois dans leurs propres projets alors c’est quand même un bon indicateur du probleme…

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  20. Jeff M

    28 janvier 2008 à 18 h 31

    @Sebastien
    Entre plusieurs maux, il faut choisir le moindre. Pour ma part, le coût de transport m’apparaît minime à comparaison avec le coût d’une exploitation non nécessaire de la ressource forestière au Québec.

    Et puis les paliers de gouvernements supérieurs s’apprêtent déjà à venir en aide financièrement à l’industrie. Ce n’est pas le rôle d’une municipalité d’aider l’industrie de toute une province.

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  21. Carol Proulx Utilisateur de Québec Urbain

    28 janvier 2008 à 21 h 30

    «  »Et puis les paliers de gouvernements supérieurs s’apprêtent déjà à venir en aide financièrement à l’industrie. » »

    C’est drôle je viens de voir un reportage de « Méchant contraste » et on fait référence au cie qui achète les terres à bois a des prix bas, se font du profit lors de l’exploitation de la ressource et en plus revende le terrain, a des étrangers de la place… (pas toujours canadien) Finalement les communautés locaux en plus de perdre de la ressources naturelles, ont peu de contrôle sur certain partie de leur territoire… rendu au mains d’ailleurs ! (qui probablement s’en foute de l’état de l’Environnement…)

    Tous un monde de fou !!!

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  22. André

    29 janvier 2008 à 09 h 30

    @ Carol Proulx

    « C’est drôle je viens de voir un reportage de “Méchant contraste� et on fait référence au cie qui achète les terres à bois a des prix bas, »

    Si tu écoute bien l’entrevue de Camille Poulin à Télé-Québec dans les première 15 secondes ,ce dernier dit le contraire à savoir que les acheteurs paie plus que le prix du marché et parfois le double??????

    Source:http://mechantcontraste.telequebec.tv/extras-video.aspx?id=42

    « se font du profit lors de l’exploitation de la ressource et en plus revende le terrain, a des étrangers de la place… (pas toujours canadien) »

    Les lots sont d’abord « plumés » ( récolte des essences commerciales) ce qui finance l’achat du spéculateur. Puis ils sont revendus beaucoup plus cher sous l’étiquette de PARADIS DE CHASSE ET DE PÊCHE , constate Daniel Lalancette, maire de Rochebaucourt. « Les ACHETEURS locaux ne peuvent pas concurrencer ! »

    La moitié du village de La Morandière près d’Amos appartient désormais à des non résidents APPÂTÉS par des p’tits paradis de chasse et pêche, des boisés faciles à revendre, avec en prime la chance de tomber sur un FILON aurifère. L’argument du pissenlit périphérique perce aisément la cuirasse de CITADINS gavés de béton et smog.

    Ce sont des particuliers, des urbains qui achètent et ils sont en mal de grands espaces pour la pêche et la chasse sans compter les filons d’or ($900 once)

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    « Finalement les communautés locaux en plus de perdre de la ressources naturelles »

    Que la ressource soit récoltés par A ou B ou C elle sera de toute façon dirigé vers une usine laquelle emploie des travailleurs. On ne peut avoir le beurre et l’argent du beurre. Il faut savoir faire des choix.

    « ont peu de contrôle sur certain partie de leur territoire… rendu au mains d’ailleurs »

    Les mêmes lois ou réglements s’appliquent à ma connaissance. Que le nouveaux proprio soit belge,chinois,africains ou québecois ne le dispense pas de respecter les règles en vigueur. C’est le même phénomène que dans le Vieux-Québec, dans la plupart des villages le long du ST-Laurent,dans Charlevoix et en Gaspésie. Que peut-on faire, interdire la vente de propriétés au gens non-résidents entre autre au Montréalais,au américains,à Madame Marois etc….? Il faudrait changer les règles du jeu si les gens sont d’accord.

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  23. Carol Proulx Utilisateur de Québec Urbain

    29 janvier 2008 à 12 h 24

    Vous aimer cela me reprendre :P !!!

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  24. André

    29 janvier 2008 à 18 h 22

    « Vous aimer cela me reprendre :P !!! »

    Avec un texte invitant comme ça c’est du gâteaux.

    Ton texte ne tient pas la route tout simplement, approfondis le sujet avant de lancer des affirmations contraire à la réalité.

    C’est quoi l’idée de dire le contraire pourrais-tu nous expliquer ça!!!

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  25. Carol Proulx Utilisateur de Québec Urbain

    30 janvier 2008 à 15 h 50

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  26. André

    30 janvier 2008 à 17 h 27

    Toute une explication pour quelqu’un qui est capable de rapporter faussement le contenu d’une entrevue.

    Un peu de fierté aiderait sûrement.

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  27. Carol Proulx Utilisateur de Québec Urbain

    30 janvier 2008 à 17 h 48

    «  »Toute une explication pour quelqu’un qui est capable de rapporter faussement le contenu d’une entrevue. »

    Un peu de fierté aiderait sûrement ! » »

    Votre commentaire n’engage que vous ! (sans sarcasme)

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  28. Lukas

    2 février 2008 à 00 h 13

    Tout le monde a paniqué pour rien dans ce dossier… (comme dans bien d’autres !!)

    Vous voyez, tout s’est arrangé… pas de blessés, pas de morts… ON prend un grand respire :-)

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