Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Le Vieux-Québec: Quel avenir ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 février 2008 2 commentaires

Avenir du Vieux-Québec: l’heure est à la réflexion

La reconnaissance du Vieux-Québec comme patrimoine mondial a eu des effets très bénéfiques, dit l’urbaniste à la retraite Jean Cimon. «Ç’a fait prendre conscience à beaucoup de monde que Québec est une ville à mettre en valeur.»

Doit-on s’inquiéter de l’état actuel du Vieux-Québec, classé patrimoine mondial de l’UNESCO? Quel sort réserve-t-on à ce Québec intra-muros? Alors que la Ville veut revoir les limites de cet arrondissement historique, Le Soleil en a discuté avec trois experts, amoureux du Vieux-Québec. Entre l’optimisme des uns et le pessimisme des autres, un cons­tat : un grand remue-méninges s’impose pour faire revivre ce joyau urbain. (…)

Source: Le Soleil Daphnée Dion-Viens 24 février 2008

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Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville.


2 commentaires

  1. Charles

    25 février 2008 à 14 h 48

    Le vieux-Québec se vide de ses habitants, ce qui en fait un quartier à tous les jours un peu plus artificiel. À Louisbourg par exemple, on a recréé une ville de garnison du 18ème siècle. L’été, des étudiants sont engagés pour se costumer em marins français du 18ème…Mais personne n’habite là, c’est un décor. À Québec, ça s’en vient comme ça.
    Les Québécois ne retourneront plus vivre dans leur vieux quartier tant qu’on aura une ville «100% à l’automobile», tant que la police ne sévira pas contre les hôteliers clandestins et tant que les profiteurs n’arrêteront pas de subdiviser les maisons en chambres et autres 1 1/2 pour y attirer les plus pauvres.

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  2. Max

    26 février 2008 à 00 h 21

    Il doit avoir des hôteliers clandestins parce que dormir à Québec coûte un bras, non? Je parle un peu dans mon chapeau mais ça doit être la raison: offre et demande.

    Pourtant moi j’habite le Vieux et j’ai pas l’impression d’habiter dans un quartier artificiel. Oui, je dois aller faire l’épicerie dans Saint-Jean-Baptiste, à 5 minutes de marche. Mais pour le reste on réussi quand même à avoir une vie de quartier: bibliothèque sur Sainte-Angèle, petit dépanneur sur Sainte-Ursule, aller parker nos chars en gagne dans les sous-terrains 2 à 3 fois par semaine l’hiver quand la Ville déneige…

    En faisant la promotion de d’autres quartiers pour y envoyer quelques touristes, il y en aurait peut-être moins dans le Vieux. Ou du moins moins qui passent une fin de semaine complète -juste- dans le Vieux.

    Par contre, Saint-Jean devrait devenir piétonne à temps plein (si on change le sens unique de direction sur Dauphine ou Sainte-Anne) et on devrait trouver une solution aux gros maudits autobus touristiques qui envahissent le quartier à chaque jour. Comme les paquebots de croisière, ces derniers devraient avoir un quai de débarquement bien à eux.

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