Sans commentaire!

Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 23 janvier 2008.

Le conseil municipal de Saint-Augustin appuie sans réserve le projet d’un train rapide entre Montréal et Québec. (…) « Je préfère le projet d’un train rapide à celui d’un tramway », a indiqué le maire Marcel Corriveau. « Le train rapide va passer sur notre territoire alors que le tramway ne se rendra pas jusqu’ici ».

À consulter, ce billet: Labeaume et le tramway: des propos jugés irresponsables.

Source: Radio-Canada (Ça me dit de prendre le temps), 19 janvier 2008.

La ville de Québec investit de plus en plus dans l’art public. Plusieurs de ces projets sont réalisés dans les quartiers de banlieue. Nous en faisons le tour: une œuvre de Danièle April a été installée sur la rue Racine à Loretteville, dans le cadre du programme de revitalisation de cette artère commerciale. L’œuvre, une sculpture de pierre de granit et de lignes d’aluminium accompagnée de jets d’eau, se veut le point d’orgue du nouvel axe piétonnier. À Limoilou, dans le nouveau quartier Rive Gauche, Florent Cousineau réalise une sculpture-fontaine sur le thème de la féminité et des Filles du Roi. D’autres projets sont en voie de réalisation dans les différents quartiers de la ville. Réjean Lemoine s’arrête sur les projets de Bill Vincent à la nouvelle caserne de pompiers Lebourgneuf, le projet de Claire Lamarre devant l’École Saint-Sacrement et ceux de Carole Baillargeon dans le quartier Les Saules, de Stéphane Langlois en face de la bibliothèque des Jésuites et le projet de Truong Chan Trung, le long de la rivière Saint-Charles.

Le reportage radio (env. 8 min.).

Source: Radio-Canada (Québec), 22 janvier 2008.

Le projet d’agrandissement du Musée national des beaux-arts du Québec reçoit les critiques de l’architecte montréalaise Phyllis Lambert. L’architecte s’insurge contre la démolition du couvent des Dominicains de la Grande Allée pour l’agrandissement du musée. (…)

La suite. À consulter aussi, ce billet: À la défense de la chapelle des Franciscaines.

Source : Pierre-André Normandin, Le Soleil, 22 janvier 2008

Avant les fusions, 140 conseillers représentaient les électeurs des anciennes municipalités qui forment maintenant Québec.

Ils sont maintenant 37.

Et la réforme du maire Régis Labeaume promet de faire passer ce nombre sous la barre des 30 élus.

Mais loin de faire l’unanimité, un débat passionné se profile au conseil municipal alors que ses membres sont appelés «à se faire hara-kiri», de l’expression de certains d’entre eux.

Même si la loi ne l’y force pas, M. Labeaume souhaite voir les élus endosser l’abolition d’une bonne partie de leurs sièges. Sans s’opposer férocement, de nombreux d’entre eux ont dit craindre hier soir lors d’une séance à l’hôtel de ville que la réforme n’entraîne un déficit démocratique.

Les principales craintes manifestées hier soir concernent le travail au sein des arrondissements. À l’heure actuelle, de quatre à cinq élus œuvrent dans chacun d’entre eux. La diminution annoncée pourrait faire passer ce nombre à deux.(…)

la suite,

J’imagine que quelques élus se rebifferont, mais les exemples des grandes villes du Canada qui fonctionnent avec beaucoup moins de conseillers que Québec et avec un nombre semblable ou plus élevé de population ne pourront que les ramener à la réalité. Les efforts que Labeaume demanderont aux syndiqués en seront que plus justifiés après que les élus aient fait leur part.

Abu Dhabi unveils zero-waste city

Abu Dhabi, the oil-rich emirate, has unveiled a plan to build a zero-waste, zero-carbon, car-less city in the desert.

Famous for a history of development that triumphs over nature — so much so that it transformed a desert strip into a place known for greenery and parkland — the region’s latest grand development project is for what is billed as the world’s first carbon-neutral city, a community that will eventually house 50,000 people and 1,500 businesses near the emirate’s airport.

Suite sur The National Post

Le Campus Notre-Dame-de-Foy, en lien direct bien sûr avec le billet de Jean Caze

Avec raison, les campus de Saint-Augustin sont reconnus comme formant l’un des ensembles architecturaux contemporains les plus remarquables du grand Québec. Hélas, j’ai vu ce site se dénaturer au fil des ans…

Est-ce vraiment la fin des constructions qui n’ont « pas rapport » au plan d’ensemble d’origine? J’en doute, malgré les « bonnes intentions » résumées dans cet article!

Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 17 janvier 2008.

La Ville de Saint-Augustin-de-Desmaures permettra dorénavant la construction de logements, de commerces ou de cliniques sur les vastes propriétés appartenant aux communautés religieuses sur les campus intercommunautaires de Saint-Augustin.

Une condition toutefois : le caractère architectural des bâtiments et le style propre aux campus étudiants des années 60 devront être préservés. «Il n’y aura pas, non plus, de développement résidentiel unifamilial», prévient le maire Marcel Corriveau. (…)

Le conseil municipal tient à rassurer les résidants du secteur en spécifiant qu’il y aura toujours une bande de 20 mètres d’espace boisé entre leur propriété et tout nouvel immeuble qu’on pourrait y construire. La marge de recul de ces cinq ou six nouveaux édifices qui pourraient s’ajouter, à long terme, sera d’une fois et demie la hauteur des édifices à construire (de quatre à huit étages ou de 4 à 12 étages, selon les secteurs). (…)

La suite. Aussi, mon reportage photo: Les grands bâtiments blancs de Saint-Augustin (1) (secteur ouest).

Désolé de revenir avec une vieille photo de l’automne dernier, je ne l’avais pas remarqué au premier regard, je l’ai découverte aujourd’hui dans mes archives…

Source : Claude Vaillancourt, Le Soleil, 18 janvier 2007

Le maire de Québec, Régis Labeaume, ne prend pas trop au sérieux les propos de son homologue de Saint-Jean de Terre-Neuve qui soutient que la capitale terre-neuvienne est la plus vieille ville au Canada et que le premier ministre Harper a donné 110 millions $ à Québec pour gagner plus de sièges dans la province.

«Je suis plus vieux que lui. C’est-tu le frère de Clyde Wells?» a lancé le maire Labeaume, faisant référence à l’ancien premier ministre terre-neuvien qui avait sabordé l’accord constitutionnel du lac Meech en refusant la tenue d’un vote dans sa province.

Comme le premier ministre du Québec, le nouveau leader politique de la capitale québécoise a indiqué qu’il allait téléphoner au maire Andy Wells. «On va rire», présume déjà le nouveau maire qui ajoute avoir l’intention d’inviter ce dernier pour les Fêtes du 400e.

«Je vais l’appeler, soyez sans crainte», a insisté le maire.

la source

Vraiment Labeaume ne s’en laisse pas imposer et de plus il est en mesure de le faire sur un ton humouristique. De plus M. le Maire a du faire face aux attaques du très coloré Gilbert Rozon dans le dossier de l’Opéra Urbain, rabrouer le président du RTC dans le dossier du tramway, pousser le dossier du train rapide et entamer les discussions dans les conventions collectives de la ville. Donc une semaine chargée pour notre magistrat nouvellement élu. Reste à voir s’il gardera le cap ou si des « craquelures » apparaitront au fil des semaines…