Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Les froidures de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 janvier 2009 31 commentaires

Avertissement de froid intense à Québec

La Commission éteint ses lumières

Québec, le vendredi 16 janvier 2009 – Par souci d’économie d’énergie et pour répondre à l’appel de Hydro-Québec de diminuer la consommation d’électricité durant cette vague de froid intense qui sévit sur le Québec, la Commission de la capitale nationale du Québec a pris l’initiative d’éteindre les mises en lumière dont elle est responsable.

Les fortifications du Vieux-Québec, le sapin de Noël à la place de l’Assemblée-Nationale, les sapins dans les parcs de la Commission, le cap Diamant ainsi que le bâtiment de la station des Cageux sur la promenade Samuel-De Champlain sont laissés dans l’ombre afin de réduire la consommation énergétique. Cette mesure sera en vigueur jusqu’à ce que Hydro-Québec lève son avertissement, fort probablement en début de semaine prochaine.

Créée en 1995 par l’Assemblée nationale, la Commission de la capitale nationale du Québec s’acquitte d’une triple mission à l’égard de la capitale : contribuer à son aménagement et à son embellissement, en faire la promotion, par un programme varié d’activités de découverte et de commémoration, et conseiller le gouvernement du Québec sur la mise en valeur de son statut.

Source: Communiqué de la Commission de la Capitale Ntionale

Un record

Voir aussi : Météo, Québec La cité.


31 commentaires

  1. Fernand

    16 janvier 2009 à 12 h 17

    Qui parle de réchauffement climatique ???

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  2. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    16 janvier 2009 à 13 h 00

    « Qui parle de réchauffement climatique ??? »

    Décidément, c’est une obsession… Et vive le pétrole illimité, la consommation à outrance et la pensée à court terme!

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  3. Frédéric

    16 janvier 2009 à 13 h 25

    Fernand…Fernand…Fernand…

    Ce qui importe, c’est la tendance GÉNÉRALE sur une LONGUE période.

    Ls modèles actuels du réchauffement climatique ne sont pas incompatibles avec des refroidissements intenses, puisqu’ils prédisent des dérèglements.Mais la TENDANCE GÉNÉRALE demeure à la hausse.

    Prenons l’exemple d’un ascenseur d’un édifice de 10 étages. Partez du bas, puis montez 4 étages, descendez-en 3, montez-en 5, descendez-en 1, puis montez 4 étages, descendez-en 1 puis montez encore 2 étages.

    Votre argument, cher Fernand, revient à isoler la première descente, celle de 3 étages, pour ensuite affirmer que l’ascenseur ne monte pas.

    Pourtant, si vous contemplez plutôt la tendance générale, vous remarquerez que l’ascenseur vous a mené au dernier étage de l’édifice, tout en haut.

    C’est ÇA, la différence entre une tendance, et une constante.

    Le climat est un phénomène complexe. Si je puis me permettre, cessez-donc de le simplifier grossièrement pour mieux faire correspondre vos observations profanes à vos valeurs.

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  4. Thomas

    16 janvier 2009 à 15 h 05

    Environnement Canada n’a émis aucun avertissement de froid intense pour la région intense. Voilà un bel exemple de belle initiative qui arrive un peu trop tard. Le creux de température était la nuit dernière. Hydro-Québec a recommandé mercredi de réduire sa consommation aux heures de pointe jeudi et vendredi. Le retour à la normale reviendra à partir de demain.

    Cela a prit 2 jours à la commission pour agir là-dessus.

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  5. Marc-André

    16 janvier 2009 à 15 h 39

    mieux vaut en effort en retard qu’aucun effort du tout merci à la commission !!!

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  6. Fernand

    16 janvier 2009 à 16 h 08

    Je penses que vous avez cessé de suivre l’évolution du climat.

    N’en déplaise aux réchauffistes, la quantité de glace observée dans les océans arctiques a rapidement crû en 2008 pour atteindre le même niveau qu’en… 1979 !

    Je doute que Jean Lemire fasse un documentaire là-dessus…

    L’an passé record de neige et cette année record de froid. allez vous réchauffer ailleurs…

    Les gens qui ont troqué le drapeau rouge des communistes pour le drapeau vert des écolos et du Hamas n’acceptent pas mes propos et ca les dérange. Mais le discours des sceptique est impàrégné du principe de précaution qu’ils ont oublié de brandir dans ce dossier.

    Le temps montrera qui a raison…

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  7. Sebastien

    16 janvier 2009 à 16 h 14

    @Fernand

    Ne posez pas comme un sceptique. Il ne faut pas confondre sceptissisme et négationnisme.

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  8. Frédéric

    16 janvier 2009 à 16 h 28

    Fernand, encore une fois vous isolez une courte période (un an ou deux) pour dire n’importe quoi. En terme de changements climatiques, les périodes étudiées sont bien plus longues. Vous faites exprès?

    Vous continuez de prétendre que l’ascenseur descend.

    Et en piquant les communistes et pro-Hamas sans que cela n’ait rien à voir dans la conversation (je ne suis ni l’un ni l’autre soit dit en passant), vous prouvez que c’est vous qui regardez les choses à travers un prisme idéologique.

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  9. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    16 janvier 2009 à 16 h 40

    « vous prouvez que c’est vous qui regardez les choses à travers un prisme idéologique. »

    Le prisme idéologique d’extrême-droite et pro compagnies pétrolières. Il en a le droit, Fernand, mais au moins, il pourrait le dire franchement, comme moi j’exprime mon côté à gauche, communautaire, écologiste et d’ex-résidant du Plateau! ;-)

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  10. Sébastien

    16 janvier 2009 à 16 h 40

    Fernand fait partie de la classe des négationnistes qui veulent à tout pris se placer en porte-à-faux de tout ce qui est gauchiste/écolo/terroriste/souverainiste etc…

    Fernand se rend compte que son mode de vie est remis en question, et en vieux réactionnaire-ultra-conservateur qu’il est, il s’oppose et refuse de voir la réalité en face…

    Au XVième siècle Fernand aurait fait partie des curés qui voulait fermer la gueule à ceux qui affirmaient que la Terre était ronde ;-)

    Une hypothèse scientifique sur un concept aussi gros que les changements climatiques s’élabore sur des analyses s’étendant sur plusieurs dizaines ou centaines d’années Fernand… Pas sur 1 an et quelques mois…

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  11. Sebastien D

    16 janvier 2009 à 16 h 44

    Même si je partage l’avis de l’autre, je vais maintenant signer SebastienD pour éviter toute confusions.

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  12. Frédéric

    16 janvier 2009 à 16 h 52

    Fernand aurait peut-être intérêt à regarder ce tableau, qui lui permettra de faire la différence entre une augmentation constante (ce qu’il recherche et ne trouve pas, validant selon lui sa position) et une tendance à la hausse (ce que les scientifiques constatent) :

    http://climat.canalblog.com/images/figure_2.jpg

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  13. Sébastien

    16 janvier 2009 à 17 h 08

    Hé! Moi aussi c’est Sébastien D :-)

    Mais bon, je continuerai à signer uniquement Sébastien…

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  14. Philippe Tremblay

    16 janvier 2009 à 17 h 26

    « Les gens qui ont troqué le drapeau rouge des communistes pour le drapeau vert des écolos et du Hamas n’acceptent pas mes propos et ca les dérange. »

    Ayoye…

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  15. Fernand

    16 janvier 2009 à 17 h 33

    Sébastien faut pas seulement dire que le chien a la rage, faut le prouver.

    Moi je suis capable d’amener des milliers de scientifiques qui disent que cette hystérie collective qui culpabilise l’homme est une arnaque aussi grosse que le bogue de l’an 2000. Il est étrange que Al Gore politicien véreux qui ne pratique pas ce qu’il prêche et qui conme vice-président n’a pas signé Kyoto, soit le même qui est au centre de l’arnaque du bogue de l’an 2000. Il est étrange que ce m^pem Gore soit au dessous de la bulle spéciàulative du pétrole pour pousser la production d’éthanol quitte à affamer le monde. Il est étranfàge qu’il vienne à Montréal militer pour une bourse du carbone, mirroir aux alouettes des écolos, alors qu’il veut l’affilier èa la sienne de Chicago dont il est le principal actionnaire. Il est étranger qu’il ait parti une Hedge Fiund pour boursicoter sur le carbone et que via Lehman Brothers il ait incité des financiers à investir dans sa bulle sans issue. Expliquez moi que Lehman Brothers, unàe banque peut écrire que le climat ser a de x degrés en 2100 et que cette banque ne pouvait pas prévoir quel

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  16. Fernand

    16 janvier 2009 à 17 h 35

    Sébastien faut pas seulement dire que le chien a la rage, faut le prouver.

    Moi je suis capable d’amener des milliers de scientifiques qui disent que cette hystérie collective qui culpabilise l’homme est une arnaque aussi grosse que le bogue de l’an 2000. Il est étrange que Al Gore politicien véreux qui ne pratique pas ce qu’il prêche et qui conme vice-président n’a pas signé Kyoto, soit le même qui est au centre de l’arnaque du bogue de l’an 2000. Il est étrange que ce m^pem Gore soit au dessous de la bulle spéciàulative du pétrole pour pousser la production d’éthanol quitte à affamer le monde. Il est étranfàge qu’il vienne à Montréal militer pour une bourse du carbone, mirroir aux alouettes des écolos, alors qu’il veut l’affilier èa la sienne de Chicago dont il est le principal actionnaire. Il est étranger qu’il ait parti une Hedge Fiund pour boursicoter sur le carbone et que via Lehman Brothers il ait incité des financiers à investir dans sa bulle sans issue. Expliquez moi que Lehman Brothers, unàe banque peut écrire que le climat ser a de x degrés en 2100 et que cette banque ne pouvait pas prévoir quelques mois aprèes sa faillite.

    Non, vous ne vous fiez pas aux scientifiques mais à des manipulateurs professionnels.

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  17. Manu

    16 janvier 2009 à 20 h 42

    Héhé! sacré Fernand! Toujours aussi comique le vieux ringard!

    Fernand, vos pseudo-scientifiques qui se prétendent « scientifiques » n’en sont pas, malgré leurs diplômes ou quoi que ce soit qu’ils aient pu faire dans le passé… il sont avant tout des manipulateurs professionnels (ou des pantins à la solde de ces derniers). Alors, comme vous le dites si bien, vous vous ne vous fiez pas aux scientifiques mais à des manipulateurs professionnels!

    Avant de déblatérer toutes vos conneries habituelles sur les choses qui dépassent votre compréhension, allez plutôt fouiller dans les publications reconnues par la communauté scientifique (pas mal plus de gens que votre poingée de « milliers de scientifiques ») pour voir si vous y trouvez écho aux prétentions pseudo-scientifiques. Tout ce que vous trouverez probablement, dans le meilleur des cas, ce sont des citations reprises hors contexte par ces pseudos, pour monter une argumentation fallacieuse (qui n’a par conséquent pas pu se retrouver dans la littérature reconnue et acceptée). Et puisque mes paragraphes sont un peu long pour vous, je vous rappelle ce que j’ai dit au début : les diplômes et travaux antérieur de tout scientifique ou prétendu-scientifique ne sont aucunement garant de sa crédibilité actuelle.

    Sachez finalement que la plupart de vos commentaires sur QU et sur n’importe quelle autre tribune où on peut vous trouver avec Google (par exemple) tiennent plus de la désinformation que de l’opinion. Personnellement, que je sois ou non d’accord avec vous, je trouve vos commentaires pertinents lorsqu’il s’agit d’opinion, mais lorsqu’il s’agit de désinformation, cela revient au cas du spam (d’autant plus que vous aimez crier à tout vent les mêmes conneries que vous coryez peut-être, d’ailleurs, dans votre grande naïveté), et je trouve cela innacceptable. Mais bon… personne ne réussira à changer les habitudes d’un vieux grincheux.

    ———–

    Pour revenir au sujet, Hydro-Québec demande d’une part de baisser le thermostat la nuit (ce qui sous-entend le remonter le jour), mais en même temps, demande de réduire l’utilisation d’énergie en période de pointe le matin et le soir. Alors on fait quoi? est-on mieux de chauffer toute la nuit pour éviter d’avoir le « chauffage dans le piton » le matin venu pour rattraper la chaleur perdue? ou encore chauffer toute la journée pour éviter le même phénomène de « chauffage dans le piton » quand on rentre de travailler?

    Un peu contradictoires ces messages… mais bon, quelqu’un qui fait ce qu’il veut dans une maison neuve doit quand même dépenser deux fois moins d’énergie à chauffer que celui qui fait attention dans une vieille demeure. Alors il faut relativiser un peu…

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  18. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    16 janvier 2009 à 20 h 56

    Je trouve certains des propos de Fernand pertinents.

    Toutefois, le fond de ses propos très à droite est généralement coloré à l’image des Bouchard et des animateurs de « trash radio » de ce monde, à la différence qu’il méprise aussi l’auditoire cible de ces incultes: les jeunes…

    Solidairement vôtre, Jean!

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  19. Fernand

    16 janvier 2009 à 23 h 00

    Pour revenir au propos, j’ai fait ma part en faisant la vaiselle à la main au lieu du lave-vaiselle.

    Ce que je déplore est cette démonisation des gens responsables et honnêtes. On vous a donné en héritage toutes cette technique (ordi, cellulaires, I-pod, etc…) et voilà que vous nous crachez au visage pour nous remercier. Pire vous voulez détruire ce qui vous a permis de payer vos études et de vous nourrir.

    Je suis un libre penseur retraité et je n’ai aucun intérêt dans les pétrolièeres mais je sais que l’on ne fait pas sauter un système économique sans le remplacer par un autre. Et celui que vous préconisez ne marche pas car c’est du socialisme revampé ou tout le monde se fie sur l’autre…

    Quand on a comme pririté de sauver la planète pour les gens dans 100 ans au lieu de se préoccuper de la répartition de L’eau potable, ou de la faim dasns le monde attisé par l’Éthanol et la lutte des OGM, on est mal barré. Les études du GIEC ont été bâties sur de fausses prémisses faites par des ordinateurs mal programmés. Selon les observations de la NASA et d’autres scientifiques de renom, il y a des erreurs et ils disent qu’on saute trop vite aux conclusions car le système climatique a des facettes qui n’ont jamais été approfondies. Moi je penses qu’il faut pas dire trop vite que la terre est plate et que tout le monde qui ne penses pas comme nous sont des hérétiques et des dinosaures. N’oubliez pas qu’il y a trente ans les scientifiques disaient exactement le contraire. Voici des extraits de citations qui font réfléchir.

    Les ordinateurs permettent à un mauvais modèle d’être précisément faux. William Gray, spécialiste des ouragans

    Les partisans du réchauffement prédisent que celui-ci est imminent et que nos émissions sont à blâmer… Si nous ne nous sentions pas inquiets et coupables, nous pourrions ne pas leur payer leurs salaires. C’est aussi simple. Karry Mullis, prix Nobel de Chimie 1993

    Comme la majorité des gens, nous aimerons voir un monde meilleur, ce qui se implique ici que nous travaillions à réduire les risques d’un changement climatique potentiellement catastrophique. Pour cela, nous devons avoir des soutiens importants afin de frapper l’imagination du public ce qui suppose bien sûr d’avoir un maximum de couverture médiatique. Pour cela, nous devons proposer des scénarios effrayants, faire des déclarations simples et dramatiques et éviter de mentionner le moindre doute que nous pourrions avoir. Stephen Schneider, auteur-coordinateur principal du GIEC

    Il n’y a aucun lien prouvé entre réchauffement global et activités humaines. Yury Izrael, vice président du GIEC (Novosti mai 2005)

    Notre capacité à produire des prédictions basées sur les modèles semble avoir dépassé en vitesse notre capacité à utiliser ces outils informatiques avec sagesse dans les processus de décision. Roger Pielke Jr, NATURE Vol 447 le 3 Mai 2007

    Il n’est pas possible d’exclure que le changement climatique puisse être dû aux causes naturelles. Il est plausible que l’homme ne soit pas à blâmer. Antonio Zichichi, président de la Fédération Scientifique Internationale, au Vatican (27 avril 2007)

    Je ne fais pas partie du dit consensus, qui croit que la science du réchauffement climatique causé par l’homme ne se discute plus. En fait, il y a peu de vraie science dans cette histoire. Prof Reid A. Bryson, considéré comme le père de la climatologie

    J’admettrais sans peine que [au sujet du réchauffement climatique], nous avons franchi la ligne qui sépare le reportage et l’activisme. Charles Alexander, Senior Science Editor de Time Magazine

    Je pense qu’il convient de sur-représenter les faits qui montrent à quel point le [réchauffement global] est dangereux pour inciter les gens à écouter les solutions. Al Gore dans un interview en mai 2006 http://www.grist.org/news/maindish/2006/05/09/roberts/

    et en 1970 on disait:

    « Le refroidissement continuel et rapide de la terre depuis la seconde guerre mondiale est en rapport avec l’augmentation de la pollution de l’air associée à l’industrialisation, à la mécanisation, à l’urbanisation et à l’explosion de la population » (Reid Bryson, « Global Ecology ; Readings towards a Rational Strategy for Man » – 1971).

    Si la tendance actuelle continue, la planète va se refroidir de 4 degrés en 1990 et de 11 degrés en 2000. C’est à peu près le double de ce qui nous conduirait à une ère glaciaire.
    Kenneth Watt, professeur de l’écologie à l’UC Davis lors d’une conférence du Earth Day d’Avril 1970

    Nos calculs suggèrent un refroidissement global jusqu’à 3,5°C. Une telle baisse de la température moyenne terrestre, si elle se poursuivait sur quelques années, suffirait à déclencher un nouvel âge glaciaire. S. Schneider, fondateur du journal Climate Change et auteur principal du GIEC 2001, in Science-1971

    « Dans dix ans, toute vie animale importante dans les mers aura disparu. Des zones côtières importantes devront être évacuées en raison de la puanteur provenant des poissons morts » (Paul Ehrlich, « Earth Day » – 1970).

    Les avocats de la cause humaine du réchauffement ignorent le fait que ce sont l’ONU elle-même et des hommes comme Ted Turner, ardent défenseur des causes humaines du réchauffement, et partisan d’une réduction draconienne de la population mondiale, qui ont financé l’étude de l’IPCC pou GIEC. Ted Turner, ami de Gore et qui a financé son film, a même fait don d’un milliard de dollars à l’ONU à cet effet. N’est-ce pas faire preuve de partialité ? N’est-ce pas la preuve que des scientifiques ont été grassement payés pour produire des « preuves » permettant d’étayer une opinion préconçue ? Une « taxe carbone » imposée par la crainte du changement climatique ira directement dans les caisses d’organisations dépendant des Nations Unies. N’est-ce pas la preuve que l’ONU joue un rôle majeur pour faire croire que le réchauffement global est causé par des facteurs humains ? Prouvez -moi le contraire maintenant…

    ! Lowell Ponte avait écrit en 1976: « C’est une évidence brute : le refroidissement global de la planète représente pour l’humanité le défi le plus important qu’elle ait dû relever depuis dix mille ans, sur les plans social, politique et adaptatif. Votre engagement en faveur des décisions que nous allons prendre concernant ce problème est d’une importance vitale. Il s’agit de notre survie, et de la survie de nos enfants comme de toute l’espèce humaine. »

    Le discours est passé à l’opposé en quelques décennies. On a changé le mot « refroidissement » par le mot « réchauffement » par la suite par le mot « changement ». On a changé trois fois de position et il faut croire ces gens comme si c’était la bible ??? Je comprends pourquoi mes propos dérangent les gens de la pensée unique qui n’ont aucun autre argument car pour eux c’est un fait indiscutable…

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  20. Fernand

    16 janvier 2009 à 23 h 05

    La pensée unique a empĉhé des sdcientifiques de parler publiquement à Bali. Alors ils ont écrits une lettre ouverte au secrétaire de l’ONU. Lisez-la et regardez qui la signe. Plusieurs ont été membre du GIEC et en sont sortis parce qu’ils ne peuvent pas continuer à contribuer à un processus qui leur semble motivé par des idées préconçues, et qui n’est pas scientifiquement fondé.

    Le 13 décembre 2007

    Re : La conférence des Nations Unies sur le climat conduit le monde dans une très mauvaise direction

    Cher Monsieur le Secrétaire général,

    Il n’est pas possible d’arrêter le changement climatique, phénomène naturel qui a affecté l’humanité au fil des ans depuis très longtemps. L’histoire géologique, archéologique, orale et écrite, atteste des défis profonds qu’ont du relever les sociétés du passé lorsqu’elles ont été confrontées à des changements non anticipés de température, de précipitations, de vents, et d’autres paramètres climatiques. Il faut que les pays du monde se donnent les moyens de mieux résister à tout l’éventail des phénomènes naturels en favorisant la croissance économique et la création de richesses.

    Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a divulgué des conclusions toujours plus alarmantes concernant l’influence sur le climat de dioxyde de carbone (CO2) produit par les hommes, un gaz non polluant qui est essentiel pour la photosynthèse végétale. Nous avons observé les données qui ont conduit les experts à considérer les émissions de CO2 comme nocives, et nous disons que les conclusions du GIEC ne peuvent justifier la mise en œuvre de politiques qui réduiront nettement la prospérité future. En particulier, il n’est pas établi qu’il soit possible de changer significativement le climat global en réduisant les émissions humaines de gaz à effet de serre. De surcroît, parce que les tentatives de réduire les émissions ralentiront le développement, l’approche des Nations Unies en matière de réduction du CO2 est à même d’accroître, et non de diminuer la souffrance humaine qui résultera des futurs changements climatiques.

    Les résumés à l’intention des décideurs sont, parmi les textes du GIEC, ceux qui sont les plus lus par les politiciens et les non scientifiques, et ils sont la base de la formulation de la plupart des propositions politiques en matière de changement climatique. Ces résumés, néanmoins, sont rédigés par une équipe relativement restreinte, et leur texte final est approuvé au mot près par les représentants des gouvernements. La majorité des contributeurs du GIEC, et les dizaines de milliers d’autres scientifiques qui ont qualité pour commenter ces sujets, ne sont pas impliqués dans leur rédaction. Et les résumés ne peuvent être considérés, en ces conditions, comme le reflet d’un consensus parmi les experts.

    Contrairement aux impressions données par les derniers résumés :

    -Les observations récentes de phénomènes tels que le retrait des glaciers, la montée du niveau des mers et les migrations d’espèces sensibles aux températures ne signalent pas de changements climatiques anormaux, car aucune des fluctuations constatées ne se situe à l’extérieur des limites de la variabilité naturelle connue.
    -Le taux de réchauffement moyen (0,1 à 0,2 degrés Celsius par décennie) enregistré par les satellites au cours de la dernière partie du vingtième siècle se situe dans les limites du réchauffement et du refroidissement naturels tels que constatés au cours des 10 000 dernières années.
    -Les principales autorités scientifiques, y compris des membres éminents du GIEC, reconnaissent que les modèles informatiques utilisés aujourd’hui ne peuvent permettre de prédire le climat. En dépit des prédictions informatiques de hausses de température, et en conformité avec ce que nous venons d’écrire, il n’y a pas eu de réchauffement global depuis 1998. Que les températures actuelles se stabilisent après une période de réchauffement à la fin du vingtième siècle correspond à la continuation aujourd’hui de cycles climatiques multi décennaux et millénaires.

    En contraste brut avec l’affirmation souvent répétée selon laquelle la science du climat a établi les faits de façon irréfutable, des recherches récentes et très sérieuses ont mis en doute davantage encore que ce n’était le cas l’hypothèse d’un réchauffement climatique global dangereux causé par les hommes (voir http://ipcc-wg1.ucar.edu/wg1/docs/ wg1_timetable_2006-08-14.pdf). Mais parce que les groupes de travail du GIEC ont reçu la consigne de ne prendre en compte que les travaux publiés avant mai 2005, les découvertes importantes issues de ces recherches n’ont pas été prises en compte : le dernier rapport du GIEC est, en ces conditions, d’ores et déjà concrètement périmé.

    La conférence des Nations Unies sur le climat à Bali a été conçue aux fins de conduire le monde vers des restrictions drastiques d’émissions de CO2, sans que soient tirées les leçons de l’échec du protocole de Kyoto, de la nature chaotique du marché européen du CO2, et de l’inefficacité d’autres initiatives coûteuses destinées à diminuer les émissions de gaz à effet de serre. Les analyses basées sur un calcul avantage/coûts ne viennent pas justifier l’introduction de mesures globales destinées à limiter et à réduire la consommation d’énergie aux fins de réduire les émissions de CO2 . Il est, qui plus est, irrationnel de recourir au « principe de précaution » dès lors que la plupart des scientifiques reconnaissent que le réchauffement, aussi bien que refroidissement, sont des possibilités réalistes dans le moyen terme
    La focalisation actuelle de l’ONU sur le « combat contre le changement climatique », illustrée par le communiqué de lancement du Rapport sur le développement humain par l’ONU le 27 novembre dernier distrait les gouvernements et les conduit à ne pas envisager une adaptation aux menaces des changements climatiques naturels inévitables et divers. Une anticipation nationale et internationale de ces changements est nécessaire, et doit être centrée sur les moyens à même de permettre aux êtres humains les plus vulnérables de s’adapter aux conditions futures. Les tentatives de prévenir le changement climatique global sont essentiellement futiles et constituent un gaspillage de ressources qui seraient mieux dépensées si elles étaient utilisées pour répondre aux problèmes réels et pressants auxquels l’humanité est confrontée.

    Bien sincèrement.

    Don Aitkin, PhD, Professeur, chercheur, ancien Président, Université de Canberra, Australie

    William J.R. Alexander, PhD, Professeur émérite, Département.d’Ingéniérie des biosystèmes, Université de Pretoria, Afrique du Sud; membre du comité scientifique et technique des Nations Unies sur les désastres naturels, 1994-2000.

    Bjarne Andresen, PhD, physicien, Professeur, Niels Bohr Institute, Université de Copenhague, Danemark.

    Geoff L. Austin, PhD, Professeur, Département de physique, Université d’Auckland, Nouvelle Zélande

    Timothy F. Ball, PhD, consultant en environnement, ancien Professeur de climatologie, Université de Winnipeg, Canada.

    Ernst-Georg Beck, Biologiste, Merian-Schule, Fribourg, Allemagne.

    Sonja A. Boehmer-Christiansen, PhD, Enseignante au Département de Géographie, Hull University, Rédactrice en chef, Energy & Environment journal, Royaume Uni.

    Chris C. Borel, PhD, scientifique, Etats-Unis.

    Reid A. Bryson, PhD, DSc, DEngr, ancien chercheur au Center for Climatic Research, Professeur émérite de météorologie, de géographie, et d’études environnementales, Université du Wisconsin, Etats-Unis.

    Dan Carruthers, M.Sc., biologiste, consultant, spécialiste de l’écologie animale dans les régions Arctiques et Subarctiques, Alberta, Canada.

    R.M. Carter, PhD, Professeur, Laboratoire de géophysique marine, James Cook University, Townsville, Australie.

    Ian D. Clark, PhD, Professeur d’hydrogéologie et de paléoclimatologie, Département. de sciences de la terre, Université d’Ottawa, Canada.

    Richard S. Courtney, PhD, consultant en sciences du climat et de l’atmosphère, expert au GIEC, Royaume-Uni.

    Willem de Lange, PhD, Département des sciences de la terre et de l’océan, School of Science and Engineering, Université Waikato, Nouvelle Zélande.

    David Deming, PhD (Géophysique), Professeur, College of Arts and Sciences, Université d’Oklahoma, Etats-Unis.

    Freeman J. Dyson, PhD, Professeur émérite de physique, Institute for Advanced Studies, Princeton, New Jersey, Etats-Unis.

    Don J. Easterbrook, PhD, Professeur émérite de géologie, Western Washington University, Etats-Unis.

    Lance Endersbee, Professeur émérite, ancien doyen du Département d’ingéniérie, Monasy University, Australie.

    Hans Erren, géophysicien et spécialiste du climat, Sittard, Pays-Bas.

    Robert H. Essenhigh, PhD, E.G. Bailey Professor of Energy Conversion, Département d’ingéniérie mécanique, Ohio State University, Etats-Unis.

    Christopher Essex, PhD, Professeur de mathématiques appliquées, Directeur adjoint du programme de physique théorique, University of Western Ontario, Canada.

    David Evans, PhD, mathématicien, ingénieur en informatique, Directeur de « Science Speak », Australie.

    William Evans, PhD, éditeur, Naturaliste, Département de sciences biologiques, University of Notre Dame, Etats-Unis.

    Stewart Franks, PhD, Professeur, Hydroclimatologue, Université de Newcastle, Australie.

    R. W. Gauldie, PhD, Professeur, Hawai’i Institut de géophysique et de planétologie, Ecole des sciences et technologies de l’océan, Université de Hawai’i à Manoa

    Lee C. Gerhard, PhD, Scientifique émérite, Université du Kansas; ancien Directeur, Kansas Geological Survey, Etats-Unis.

    Gerhard Gerlich, Professeur de physique mathématique et théorique, Institut fur Mathematische Physik der TU Braunschweig, Allemagne.

    Albrecht Glatzle, PhD, Agro-Biologiste et Gerente ejecutivo, INTTAS, Paraguay

    Fred Goldberg, PhD, Professeur, Institut Royal de Technologie et d’Ingéniérie mécanique, Stockholm, Suède.

    Vincent Gray, PhD, expert au GIEC, auteur de The Greenhouse Delusion: A Critique of « Climate Change 2001 »,Wellington, Nouvelle Zélande.

    William M. Gray, Professeur émérite, Département. de sciences de l’atmosphère, Colorado State University, directeur du Tropical Meteorology Project, Etats-Unis.

    Howard Hayden, PhD, Professeur émérite de Physique, University of Connecticut, Etats-Unis.

    Louis Hissink MSc, M.A.I.G., éditeur, AIG News, consultant en géologie, Perth, Australie.

    Craig D. Idso, PhD, Président, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Arizona, Etats-Unis.

    Sherwood B. Idso, PhD, Président, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Arizona, Etats-Unis.

    Andrei Illarionov, PhD, Chercheur, Center for Global Liberty and Prosperity; fondateur et Directeur de l’Institute of Economic Analysis, Etats-Unis.

    Zbigniew Jaworowski, PhD, physicien, Président du Conseil scientifique du Laboratoire central de protection radiologique, Varsovie, Pologne.

    Jon Jenkins, PhD, MD, computer modelling -virology, Australie.

    Wibjorn Karlen, PhD, Professeur émérite, Département. de géographie physique et de géologie, Université de Stockholm, Suède.

    Olavi Karner, Ph.D., Chercheur associé, Département de physique atmosphérique, Institut d’astrophysique et de physique de l’atmosphère, Toravere, Estonie

    Joel M. Kauffman, PhD, Professeur émérite de chimie, University of the Sciences, Philadelphie, Etats-Unis.

    David Kear, PhD, géologue, ancien Directeur Général, Department. of Scientific & Industrial Research, Nouvelle Zélande.

    Madhav Khandekar, PhD, ancien chercheur à Environment Canada; Rédacteur en chef, Climate Research (2003-05); membre du bureau de Natural Hazards; expert au GIEC, 2007, Canada.

    William Kininmonth M.Sc., ancien chef de l’Australia National Climate Centre, consultant pour la Commission de climatologie de l’Organisation météorologique mondiale, Australie.

    Jan J.H. Kop, MSc, Professeur émérite d’ingéniérie en santé publique, Université technique de Delft, Pays-Bas.

    R.W.J. Kouffeld, Professeur émérite, Conversion de l’énergie, Université technique de Delft, Pays-Bas.

    Salomon Kroonenberg, PhD, Professeur, Département de géotechnologie, Université technique de Delft, Pays-Bas.

    Hans H.J. Labohm, PhD, économiste, ancien conseiller au Clingendael Institute, Pays-Bas.

    Lord Lawson of Blaby, économiste; Président du Central Europe Trust; ancien Chancellor of the Exchequer, Royaume-Uni.

    Douglas Leahey, PhD, météorologue et consultant en qualité de l’air, Calgary, Canada.

    David R. Legates, PhD, Directeur, Center for Climatic Research, University of Delaware, Etats-Unis.

    Marcel Leroux, PhD, Professeur émérite de climatologie, Université de Lyon, ancien directeur du Laboratoire de climatologie et de risques environnementaux au CNRS, France.

    Bryan Leyland, International Climate Science Coalition, consultant et ingénieur en énergie, Auckland, Nouvelle Zélande.

    William Lindqvist, PhD, consultant en géologie, Californie, Etats-Unis.

    Richard S. Lindzen, PhD, Alfred P. Sloan Professor of Meteorology, Département des Sciences de la terre et de l’atmosphère, Massachusetts Institute of Technology, Etats-Unis.

    A.J. Tom van Loon, PhD, Professeur de géologie, Université Adam Mickiewicz, Poznan, ancien président de l’European Association of Science Editors, Pologne.

    Anthony R. Lupo, PhD, Professeur de sciences de l’atmosphère, Department. of Soil, Environmental, and Atmospheric Science, Université du Missouri, Etats-Unis.

    Richard Mackey, PhD, Statisticien, Australie.

    Horst Malberg, PhD, Professeur de météorologie et de climatologie, Institut fur Meteorologie, Berlin, Allemagne.

    John Maunder, PhD, Climatologue, ancien Président de la Commission for Climatology de la World Meteorological Organization (89-97), Nouvelle-Zélande.

    Alister McFarquhar, PhD, économie internationale, Downing College, Cambridge, Royaume-Uni.

    Ross McKitrick, PhD, Professeur, Département d’économie, University of Guelph, Ontario, Canada.

    John McLean, PhD, analyste de données climatologiques, chercheur en informatique, Australie.

    Owen McShane, PhD, économiste, directeur de l’International Climate Science Coalition, Directeur, Centre for Resource Management Studies, Nouvelle Zélande.

    Fred Michel, PhD, Directeur, Institute of Environmental Sciences, Professeur de sciences de la terre, Carleton University, Canada.

    Frank Milne, PhD, Professeur, Département d’économie, Queen’s University, Canada.

    Asmunn Moene, PhD, ancien Directeur du Centre de prévision, Institut de Météorologie, Norvège.

    Alan Moran, PhD, Economiste en énergie, Directeur de la IPA’s Deregulation Unit, Australie.

    Nils-Axel Morner, PhD, Professeur émérite Paléogéophysique et Géodynamique, Université de Stockholm, Suède.

    Lubos Motl, PhD, Physicien, Université Charles, Prague, République tchèque.

    John Nicol, PhD, Professeur émérite de physique, James Cook University, Australie.

    David Nowell, M.Sc., Chercheur à la Royal Meteorological Society, ancien président du Groupe météorologique de l’OTAN, Ottawa, Canada.

    James J. O’Brien, PhD, Professeur émérite, météorologie et océanographie, Florida State University, Etats-Unis.

    Cliff Ollier, PhD, Professeur émérite (Géologie), Research Fellow, University of Western Australia, Australie.

    Garth W. Paltridge, PhD, physique de l’atmosphère, Professeur émérite, ancien Directeur de l’Institute of Antarctic and Southern Ocean Studies, University of Tasmania, Australie.

    R. Timothy Patterson, PhD, Professeur, Département. de Sciences de la terre (paléoclimatologie), Carleton University, Canada.

    Al Pekarek, PhD, Professeur de géologie, Département de sciences de la terre et de l’atmosphère, St. Cloud State University, Minnesota, Etats-Unis.

    Ian Plimer, PhD, Professeur de géologie, School of Earth and Environmental Sciences, Université d’Adelaide, Professeur émérite de Sciences de la terre, Université de Melbourne, Australie.

    Brian Pratt, PhD, Professeur de géologie et de sédimentologie, Université du Saskatchewan, Canada.

    Harry N.A. Priem, PhD, Professeur émérite de géologie planétaire et de géophysique, Université d’Utrecht, ancien Directeur de l’Institut de Géosciences, Pays-Bas.

    Alex Robson, PhD, Economiste, Australian National University, Australie.

    Colonel F.P.M. Rombouts, Responsable de la sûreté et de la qualité de l’environnement, Royal Netherland Air Force, Pays-Bas.

    R.G. Roper, PhD, Professeur émérite de sciences de l’atmosphère, Georgia Institute of Technology, Etats-Unis.

    Arthur Rorsch, PhD, Professeur émérite, Génétique moléculaire, Leiden University, Pays-Bas.

    Rob Scagel, M.Sc., spécialiste des microclimats, consultant, Pacific Phytometric Consultants, Canada.

    Tom V. Segalstad, PhD, (Géologie/Géochimie), directeur du Musée de géologie, Professeur de géologie environnementale, Université d’Oslo, Norvège.

    Gary D. Sharp, PhD, Center for Climate/Ocean Resources Study, Salinas, Californie, Etats-Unis.

    S. Fred Singer, PhD, Professeur émérite de sciences de l’environnement, University of Virginia ; ancien directeur du Weather Satellite Service, Etats-Unis.

    L. Graham Smith, PhD, Professeur, Département. of géographie, University of Western Ontario, Canada.

    Roy W. Spencer, PhD, climatologiste, chercheur, Earth System Science Center, University of Alabama, Huntsville, Etats-Unis.

    Peter Stilbs, TeknD, Professeur de chimie physique, Ecole de sciences chimiques, KTH (Institut royal de Technologie), Stockholm, Suède.

    Hendrik Tennekes, PhD, ancien Directeur de recherche, Royal Netherlands Meteorological Institute, Pays-Bas.

    Dick Thoenes, PhD, Professeur émérite d’ingéniérie physique, Eindhoven University of Technology, Pays-Bas

    Brian G Valentine, PhD, PE (Chem.), Technology Manager -Industrial Energy Efficiency, Department of Energy, Washington, DC, Professeur de sciences, University of Maryland at College Park, Etats-Unis.

    Gerrit J. van der Lingen, PhD, géologue et paléoclimatologue, consultant en changement climatique, Geoscience Research and Investigations, Nouvelle-Zélande.

    Len Walker, PhD, Ingénieur en énergie, Australie.

    Edward J. Wegman, PhD, Department of Computational and Data Sciences, George Mason University, Virginie, Etats-Unis.

    Stephan Wilksch, PhD, Professeur de gestion et de technologies de l’innovation, Université de technologie et d’économie, Berlin, Allemagne.

    Boris Winterhalter, PhD, ancien chercheur, Geological Survey of Finland, ancien professeur de géologie marine, Université d’Helsinki, Finlande.

    David E. Wojick, PhD, P.Eng., consultant en énergie, Etats-Unis.

    Virginia Raphael Wust, PhD, chercheuse, Sédimentologie et géologie marine, James Cook University, Australie

    A. Zichichi, PhD, Président de la Fédération mondiale des Scientifiques, Genève, Suisse, Professeur émérite de Physique, Université de Bologne, Italie.

    (Copie transmise aux chefs d’Etat des pays dont les signataires sont citoyens).

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  21. Jacques T

    17 janvier 2009 à 00 h 49

    @Fernand

    Al Gore … qui est au centre de l’arnaque du bogue de l’an 2000

    Si le bogue de l’an 2000 n’a pas eu lieu, c’est dû
    au bon travail de milliers d’informaticiens qui ont modifier des milliers de systêmes de par le monde pour qu’ils puissent accepter les dates à 8 chiffres plutôt que celles à 6 chiffres. J’étais un de ceux-là et je n’ai pas reçu d’ordre de Al Gore. On ne parle pas de ce que l’on ne connais pas.

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  22. Jacques T

    17 janvier 2009 à 00 h 52

    @Fernand

    Al Gore … qui est au centre de l’arnaque du bogue de l’an 2000

    Si le bogue de l’an 2000 n’a pas eu lieu, c’est dû au bon travail de milliers d’informaticiens qui ont modifier des milliers de systèmes de par le monde pour qu’ils puissent accepter les dates à 8 chiffres plutôt que celles à 6 chiffres. J’étais un de ceux-là et je n’ai pas reçu d’ordre de Al Gore. On ne parle pas de ce que l’on ne connait pas.

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  23. Paul Bienvenue

    17 janvier 2009 à 08 h 28

    On ne peut pas nier que la communauté scientifique est de plus en plus divisée sur la question.

    Prudence et ouverture d’esprit doivent être de rigueur, et ce des 2 cotés.

    Je ne comprends pas pourquoi certains débats prennent une telle tournure quasi-religieuse. Ça bloque toute évolution, d’un coté comme de l’autre. (La radio est un autre exemple…)

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  24. arr4ws

    17 janvier 2009 à 11 h 28

    moi je crois en les variations climatique… aille! ya plusieurs millions d’année c’était pas l’époque glaciaire?

    et apres les fameuses peinture d’europe avec les rivières gelée…

    variation climatique oui… et la on est en période de réchauffement …

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  25. Gérald Gobeil

    17 janvier 2009 à 12 h 10

    @ Paul Bienvenue

    « Je ne comprends pas pourquoi certains débats prennent une telle tournure quasi-religieuse. Ça bloque toute évolution, d’un coté comme de l’autre. (La radio est un autre exemple…) »

    Tout à fait d’accord.

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  26. Maude G

    17 janvier 2009 à 12 h 24

    Croire aux variations climatiques ou non, voilà la grande question, on croirait des croisades religieuses.

    Venons-en aux faits simples. Les ressources ne sont pas infinies, la population augmente. La science nous a permis, jusqu’à aujourd’hui, d’augmenter considérablement notre niveau de production, et de consommation, mais ce, toujours en sabrant dans les ressources disponibles de plus en plus.

    Je crois que nous sommes rendus à un autre niveau, où des solutions doivent être proposées pour conserver notre niveau de vie tout en diminuant notre consommation des ressources, ce sont les défis de notre siècle.

    Conserver notre niveau de vie ne veut toutefois pas dire de prôner une stagnation dans notre mode de vie, reconnu invivables à long terme (surconsommation des ressources). Nous pouvons tranquillement ÉVOLUER vers des modes de vies aussi riches et intéressants, mais plus avancés. Il faut voir vers l’avant. Des exemples clairs se voient dans le quotidien, qui dit qu’aller travailler en vélo est moins évolué qu’aller travailler en auto, que le soccer est un loisir moins évolué que le magasinage et que d’avoir un cafetière qui brise après 1 an est plus évolué qu’un bon bodum ?

    L’évolution doit avoir lieu dans toutes les sphères pour produire des solutions d’énergies et d’alimentation viables à long terme, tout autant que des proposition de système économique, de loisir et d’aménagement urbains et ruraux qui améliorent notre qualité de vie présente, sans compromettre le futur.

    Tout ce débat sur le j’y crois j’y crois pas aux changements climatique ne fait que nous diviser et nous éloigner du vrai point. On est pas arrivé au point « final » de notre évolution où on veut rester pour toujours, et ceux qui pensent que c’est le cas manquent vraiment d’éducation, de vision et/ou de connaissance historiques. Alors, partant de l’idée, simple qu’on évolue, il faut se demander vers où on veut aller et s’unir pour trouver des solutions viables qui améliore notre qualité de vie mais qui demandent, évidemment d’accepter de changer notre quotidien… pour aller vers mieux.

    En bref, faut sortir de notre caverne, aller bucher et se faire une maison. C’est forçant, mais valorisant et bien plus confortable après coup. Alors fonçons, nos vieux nous ont laissé beaucoup de savoir, investissons le aux bons endroits !!!

    Go go go gang

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  27. Fernand

    17 janvier 2009 à 16 h 59

    Maude G enfin des oparoles censées. Ce uqe je reproche aux écolos de service en mission pour nous abrutir c’est justement de dévier la idscussion. Je vient sàde lire sur Shyfall que le deuxièeme débat a été remporté par les sceptiques. Voici le lien internet pour savoir de quoi je parle :

    http://skyfal.free.fr/?p=306

    Les réserves des ressources non renouvelables enpétrole sont pour le pétrole de 60 ans et pour le gaz naturel de plus de 100 ans. Voilà le vrai défi. Survivre aux changements de température en trouvant suffisamment d’énergie pour tous les humains. J’ai émis des idées constructive dans le débat sur l’électricité au Québec et j’en ai eu aucun écho…

    La WWF vient de déclarer qu’il faudrait 30% moins d’humain pour régler le problème. Pour des Nobels de la Paix, un génocide c’est pas très honorant pour caux-ci. Faudra t’il remettre enquestion cette nomination pas très à propos dans cette chasse aux sorcières … À propos sur le même site, un débat scientifique a eu lieu au Japon l’aricle s’intitule : « Un rapport japonaise questionne la cause humaine du réchauffement climatique »
    http://skyfal.free.fr/?p=306

    En passant ceux qui m’accusent d’être à la solde des pétrolièeres devraient regarder les interview de Jean Pelletier sur le TGV. Pétro-Canada ca nous appartient. Pelletier voulait vendre des actions de la pétrolièere pour payer la construction du TGV. Enfin, Hugo Chavez, le leader vénézuélien tente de convaincre les pétrolières Chevron, Royal Dutch/Shell et Total de revenir s’installer dans son paradis socialiste en leur promettant un accès exclusif à ses champs pétroliers les plus prolifiques. Chavez n’a plus le choix: le Venezuela n’a plus les moyens de ses ambitions et son gouvernement a besoin de capitaux étrangers. Pourtant il avait tout nationalisé comme le prof lauzon le prêche ad nauséam…

    source: http://www.antagoniste.net/?p=4839

    Si nous voulons adopter des stratégies sensées, il est nécessaire de se baser sur des faits avérés. Il n’est pas tout d’être écolo, il faut savoir comment l’être et ca, il n’y a pas de recettes miracles. Il n’y a que le cerveau humain capable d’innover et la recherche basée sur des hypothèses éprouvées…

    Je comprends l’impatience des jeunes mais il ne faut pas sauter les étapes car on se retrouve dans des cul-de-sac coûteux pour l’avenir comme pour nos poches. Les difficultés des centres de tri devraient vous appeler à la prudence…

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  28. Carol

    18 janvier 2009 à 09 h 23

    « Décidément, c’est une obsession… Et vive le pétrole illimité, la consommation à outrance et la pensée à court terme! »

    Euh Jean tu as oublié la pensé unique hi hi hi (clin d’œil a Fernand)

    @ Maude G

    AAaa que c’est rafraichissant de lire vos propos, en souhaitant que bon nombre de gens dans la société auront cette prise de conscience.

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  29. Manu

    19 janvier 2009 à 23 h 05

    Fernand : à travers toutes vos références loufoques et bidon (non mais vraiment, citer quelqu’un d’un « autorité scientifique » du Vatican, il faut le faire!), vous avez glissé un mot sur ce que votre génération a supposément légué aux suivantes. Eh bien, sachez, homme de taxes et défendant du principe d’utilisateur payeur (un bon principe à la base quand même), que si votre génération avait réellement payé pour tout ce qu’elle a reçu, il n’y aurait pas de dette publique. C’est simple non?

    Les générations plus jeunes doivent non seulement payer pour ce que la vôtre leur a « donné », mais aussi payer pour vos conneries (néanmoins souvent faites de bonne foi par ignorance).

    Lâchez pas la patate!

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  30. Manu

    19 janvier 2009 à 23 h 07

    Fernand : à travers toutes vos références loufoques et bidon (non mais vraiment, citer quelqu’un d’un “autorité scientifique” du Vatican, il faut le faire!), vous avez glissé un mot sur ce que votre génération a supposément légué aux suivantes. Eh bien, sachez, homme de taxes et défendant du principe d’utilisateur payeur (un bon principe à la base quand même), que si votre génération avait réellement payé pour tout ce qu’elle a reçu, il n’y aurait pas de dette publique. C’est simple non?

    Les générations plus jeunes doivent non seulement payer pour ce que la vôtre leur a “donné”, mais aussi payer pour vos conneries (néanmoins souvent faites de bonne foi par ignorance).

    Lâchez pas la patate!

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  31. Manu

    19 janvier 2009 à 23 h 07

    Excusez l’étrange doublon…

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