Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Nathalie Normandeau au Soleil: «La banlieue est un modèle dépassé»

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 30 mai 2009 94 commentaires

François Bourque
Le Soleil

«La banlieue est un modèle dépassé», croit la ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau.

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Transport en commun : la «colonne vertébrale des villes de demain»
François Bourque
Le Soleil

Le transport en commun est la «colonne vertébrale des villes de demain» et il «faut des réseaux de transport plus efficients», croit la ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau.

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Oui aux consultations, mais aux élus de décider
François Bourque
Le Soleil

La ministre Nathalie Normandeau souhaite que les citoyens soient davantage consultés sur l’aménagement de leur ville, mais croit qu’en bout de piste, il appartient aux élus de décider.

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Voir aussi : Étalement urbain, Transport en commun.


94 commentaires

  1. Rémi

    30 mai 2009 à 09 h 46

    « La ministre Nathalie Normandeau souhaite que les citoyens soient davantage consultés sur l’aménagement de leur ville, mais croit qu’en bout de piste, il appartient aux élus de décider. »

    Après ca on se demande pourquoi il y a tant ce cynisme envers les politiciens…

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  2. Matrix

    30 mai 2009 à 10 h 07

    “La ministre Nathalie Normandeau souhaite que les citoyens soient davantage consultés sur l’aménagement de leur ville, mais croit qu’en bout de piste, il appartient aux élus de décider.”

    « … on pourrait comprendre que Mme Normandeau annonce la fin des référendums locaux qui donnent aux citoyens le pouvoir de bloquer la volonté des élus.La ministre ne veut cependant pas franchir ce pas. Pas encore. La décision n’est pas prise, dit-elle »

    « Mais «on ne peut pas permettre le développement de couronnes les unes après les autres sans mettre le pied à terre» »

    « La ministre n’est cependant «pas partisane de la coercition». Elle n’aime pas l’idée d’interdire de force la construction dans les périphéries. »

    « Permettre davantage de constructions en hauteur? La ministre ne fixera pas le nombre d’étages, mais croit qu’il «faut oser».

    Bien au fait des débats soulevés par le projet de densification de la colline parlementaire à Québec, Mme Normandeau a compris qu’il lui faut être prudente et se méfier des mots.

    Densification étant un mot trop «sensible», elle préfère parler «d’op­ti­miser le territoire» et de «l’occuper de façon plus intelligente».  »

    —————

    Ca, c’est de la belle grande « politique » à son meilleur, (et ça reflète le gouvernement Charest qui ne veut jamais déplaire à personne).

    La raison de la cote de popularité du maire Labeaume c’est qu’il prend des décisions, il finit par trancher, il va de l’avant. Mais avec des politiciens comme Nathalie Normandeau, on n’avance pas, on « souhaite » on veut « inciter », on veut décider mais pas trop, surtout pas déranger.

    Il faut arrêter l’étalement urbain, mais il faut pas densifier (oh mon dieu j’ai dit le gros mot) au centre-ville, ni à Ste-Foy, il ne faut pas détruire de boisées,… dans cette perspective, toute les raisons d’aimer le maire Labeaume sont la : il va prendre des décisions, parfois populaire, parfois impopulaire, mais au moins il va avoir une direction claire. Tout le contraire de nos politiciens habituels.

    Francois Bourque à très bien résumé le tout :

    « Difficile encore de comprendre où le gouvernement souhaite aller. »

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  3. dave deux

    30 mai 2009 à 10 h 13

    A Québec nous avons rien compris de cela. Que voulez-vous
    avec une administration qui trip banlieue. Mais c’est en plein le
    genre de débat ou l’on tourne en rond
    Ici a Québec la philosophie c’est d’augmenter l’âge des quartiers
    centraux pour pouvoir pousser les familles vers la banlieue.
    Situation paradoxale, ceux qui sont à la retraite et qui n’ont plus
    besoin d’aller travailler sont en ville et ceux qui travaillent encore
    dans le centre-ville, sont en banlieue.

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  4. dave deux

    30 mai 2009 à 10 h 19

    Finalement, avec une administration municipale (Labeaume) qui
    est incapable de trancher et désire plaire a tout le monde, la
    banlieue a encore plusieurs années de bonheur devant elle.
    Mais il y a un début de densification à Québec mais malheureuse-
    ent celle-ci est destiné a des personnes seules capables de
    cracher $300,000 pour un petit 4 1/2. Le problème avec
    Labeaume c’est qu’il crie haut et fort comme un coq, mais rien ne
    ce fait. En tout cas, cela semble plaire aux naifs le style coq de
    basse-cour.

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  5. Jeff

    30 mai 2009 à 10 h 32

    Y nous faut un train de banlieu!!

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  6. Fernand

    30 mai 2009 à 10 h 34

    L’instance décisionnelle sur l’étalement urbaib est la Conférence régionale des Élus (CRE) réunissant les MRC de ceinture et le Conseil d’agglomération de Québec.

    Quand je regarde les possibilité de loh=gements dans la seule ville de Québec, je ne suis pas trop alarmiste. Sur le système de gestion intégré d’estimation des potentiels de logements calculé selon le PDAD par les fonctionnaires du service de développement urbain, on parle de 30,000 unités de logement potentiels.

    http://www.ville.quebec.qc.ca/gens_affaires/soutien_aux_projets/docs/zones_identifiees/zones_identifiees_potentiel_logement.pdf

    Quant aux environnemetalistes qui tentent de bloquer la densification urbaine par des camoagne de sauvons nos boisés, ils devront arbitrer entre la densification et l’étalement car on ne pourra empêcher la région d’attirer de plus en plus de résidents. Le boisé Neilson est un exemple d’acharnement dogmatique. 40% du boisé sera habité et toutes les instances ont été respectées. Tout ce que je souhairte c’est que l’on ne coupe pas à blanc la zone que l’on veut construire. Mais de là, à tout vouloir stopper, il y a une marge. Si l’on ne construit pas là, on inàra construire en ceinture et l’étalement créera un trou de beigne encore une fois…

    En tout cas dans mon cas, je me préoccupe plus de l’annonce aujourd’hui du projet de l’aréna de Giffard de construire deux glaces et un centre intérieur de soccer sous un même toit. C’est une aberration urbanistique dont je développerai mes arguments sur mon blogue.
    fernandtrudel.blogspot.com/

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  7. dave deux

    30 mai 2009 à 12 h 43

    En ce qui concerne les boisés urbains, c’est une aberration
    écologique de vouloir s’en départir. Quand il n’y a plus de
    place pour loger tout le monde et bien abaissons la population
    par des mesures d’hygiène public et de salubrité démographique.

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  8. Fernand

    30 mai 2009 à 13 h 07

    @ Dave deux, il faudra arbitrer entre la sauvegarde des boisés sans compromis et l’étalement urbain. Ce que j’ai apporté comme iformation sur le PDAD risque d’avoir d’autres escarnàmouches entre les envuironnemtaux extrémistes et les développeurs.

    Je prend en exemple le boisé Neilson. On va bâtir à 40% le boisé après avoir fait toutes les consultations nécessaires. Ce n,est poas une disparition pure et simple du boisé. Il demeure des irréductibles qui se pensent en campagne en ville et qui veulent tout stopper. Tout ce que je souhaites est que le 40% bâti puisse conserver les arbres matures et que l’on ne fasse pas une coupe à blanc. Les décisions sont prises pourquoi toujours revenir en arrière ???

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  9. Réal

    30 mai 2009 à 13 h 10

    C’est le règne de la pensée magique !
    À croire que la famille banlieusarde typique va délaisser ses deux autos même si l’autobus arrête à leur porte.
    À croire que la famille banlieusarde typique va quitter son bungalow et sa piscine hors-terre pour aller vivre dans un centre-ville densifié.

    À croire surtout qu’on va stopper l’étalement urbain uniquement en densifiant le centre-ville. C’est plus une question de cette foutue mentalité accrochée au modèle américain et de ses valeurs de vie à changer qu’une question politique.

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  10. dave deux

    30 mai 2009 à 13 h 25

    @Fernand
    Tu as raison, il faut trouver un compromis.

    @Réal

    Dans mon milieu de travail, le rêve des plus jeunes (dans la
    trentaine) c’est justement la banlieue. La ville de les attirent pas
    du tout. Tu as raison de dire que la famille banlieusarde est pour
    rester en banlieue, et je les comprends…et les encourages.
    De toute façon avec les prix de fou des nouvelles constructions
    dans le centre-ville (voir a ce sujet mon prochain billet sur le
    forum sur gogos ou pigeons a condos) seul un inconscient ou
    un vieux riche pourras ce permettre de faire un trip centre-ville.
    Oui il y a une mentalité a changer…il y a aussi des prix a
    baissés.

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  11. Vincent

    30 mai 2009 à 15 h 06

    Bravo Mme Normandeau ! Enfin une qui a compris ! Il lui reste maintenant à le faire comprendre à l’administration municipale de Québec !

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  12. Fernand

    30 mai 2009 à 16 h 22

    En tout cas si on avait pas joué à la cachette avec les citoyens, le projet du Domaine du Ruisseau Rouge Inc ne serait aussi mal foutu qu’actuellement. Y a ça à envisager, il faut informer et consulter ABP)VANT

    Imaginez qu’on a démoli une maison pour ouvrir une rue à coté d’un centre d’hébergement de personnes agées sur la rue Seigneuriale à moins de 500 pieds de la lumière de l’avenue Nordique. Ce foyer sera entourré de lumières de circulation car en plus de la nouvelle rue de l’autre coté de la bâtisse il y a la piste cyclable et une belle lumière de circulation. On aura donc un cahpelet de lumières non synchronisées à moins de 500 pieds hors tout sur une rue passante comme Seigneuriale. De plus on est dans oàun coin boisé et le promoteur n’a laissé que les arbres le long de la piste cyclable.Vive le manque de transparence et de vision de la vice-présidente Lisette Lepage…

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  13. Fernand

    30 mai 2009 à 16 h 24

    AVANT de permettre au promoteur de commencer son projet. Le cheminement de ce dossier est almbiqué et peu respectueux de la démocratie…

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  14. jaco

    30 mai 2009 à 16 h 26

    pour avoir de la suite dans les idées…
    Il faudrait maintenant réaliser (ou mettre en marche) le projet de « Cité technologique  » dans St-Roch.
    Plus précisément le projet d’habitations a Pointe-aux-lievres
    http://www.saint-rochtechnoculture.com/technoculture_stroch.swf

    Ce projet répond en tout point aux « belles paroles d’intention »

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  15. Maxime

    30 mai 2009 à 17 h 56

    Merci Mme Normandeau!

    Ça fait du bien d’entendre ce genre de discours.

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  16. Gilbert

    30 mai 2009 à 22 h 00

    Fernand à dit:
    Quant aux environnemetalistes qui tentent de bloquer la densification urbaine par des camoagne de sauvons nos boisés, ils devront arbitrer entre la densification et l’étalement car on ne pourra empêcher la région d’attirer de plus en plus de résidents. Le boisé Neilson est un exemple d’acharnement dogmatique. 40% du boisé sera habité et toutes les instances ont été respectées. Tout ce que je souhairte c’est que l’on ne coupe pas à blanc la zone que l’on veut construire. Mais de là, à tout vouloir stopper, il y a une marge. Si l’on ne construit pas là, on inàra construire en ceinture et l’étalement créera un trou de beigne encore une fois…
    **************************************************
    Encore une fois Fernand tu démontre que tu n’as rien compris! (soupir)

    Les environnementalistes sont pour la plupart pour la densification du milieu urbain tout en préservant les espaces vert comme des poumons de la ville! Densification = présevation d’espaces vert!!

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  17. dave deux

    30 mai 2009 à 22 h 06

    La préservation des espaces vert passe aussi par le contrôle
    démographique. Simple logique mathémathique

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  18. Gilbert

    30 mai 2009 à 22 h 07

    Densification =un peu plus de hauteur pour les édifices!

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  19. Jeff-TVQC

    30 mai 2009 à 22 h 08

    Je demeure au centre ville direct sur St-Jean, aujourd’hui la rue est barré pour des activités quelques conque. Je travail ce soir (je suis au travail présentement) et bien le temps que je sorte de mon parking intérieur pour me rendre a la rue la plus proche pour pouvoir sortir de cette zone.

    Je me suis fait insulté 3 fois par des piétons, je me suis fait écœuré par 2 cyclistes.
    Tabarkak j’ai bien le droit de sortir de chez moi et aller travailler!!

    Moi, je décriss en banlieue d’ici un an :s

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  20. Gilbert

    30 mai 2009 à 22 h 09

    dave deux
    La préservation des espaces vert passe aussi par le contrôle
    démographique. Simple logique mathémathique
    *************************************************

    La problématique ici ne ce pose même pas! Ici l’espace ne manque pas et le Québec a un des plus bas taux de natalité de la planète!

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  21. dave deux

    30 mai 2009 à 22 h 45

    @Gilbert
    Si la question ne se pose même pas je te charge de convaincre
    les futurs immigrants (internes et externes) qui viennent
    s’établir à Québec d’aller plutôt en région, tient en Gaspésie.
    Tu vas voir si la question ne se pose pas.

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  22. Jeff-TVQC

    30 mai 2009 à 22 h 57

    Gilbert a quoi ça sert de concentré les populations si c’est pour les écœurer avec le transport en commun et le barrage de rues principales etc..

    Se faire tanner par une gang d’habiller tout croche et mal léchés ça fait fuir les citadins et ceux qui aimeraient vivre en ville.

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  23. Olivier Amiot

    30 mai 2009 à 23 h 31

    heu, Jeff-TVQC, pourquoi tu habites dans Saint-Jean-Bapt? Je crois que tu t’es trompé de quartier. D’ailleurs, c’est vraiment pas aisé d’avoir une voiture là-bas… J’espère que je vas déménager en banlieue et y être heureux au lieu de chialer contre la vie de quartier. Mais bon, t’as peut-être une mauvaise journée!

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  24. Max

    30 mai 2009 à 23 h 40

    Et bien moi aussi j’habite sur St-Jean. Pourquoi? Parce que justement il y a de la vie! Je n’ai jamais a trouvé de parking pour aller dans un restaurent, un café, un bar, une librairie, une épicerie fine. Et oui, des fois la rue est bloquée et je dois prendre entre 3 et 7 minutes de plus (en cas majeure, genre un 3 juillet 2008) pour me déplacer avec ma tonne de tôle. Ceci soit-il dit en passant, je n’aurais jamais besoin de mon tas de tôle si le transport en commun était plus développé et si la banlieue n’allait pas aussi loin. Alors Jeff-TVQC, peut-être n’es-tu pas faite pour la ville tout simplement. Être urbain n’est pas donné à tout le monde.

    Merci, Mme Normandeau, merci! C’est quand même la première fois qu’un politicien parle de telle façon de la maudite banlieue.

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  25. Jeff-TVQC

    30 mai 2009 à 23 h 45

    j’habite St-Jean baptiste, parce que j’aime la vie de quartier et prendre des marches justement!
    Je travail aux limites de St-Foy/St-Augustin je prends mon auto pour aller travailler uniquement.

    Mais, cette histoire ma un peut échaudé les dictateurs vert et les piétons qui croient avoir le monopole de la vertu et qui deviennent fou a la seul vue d’une voiture ça deviens ridicule.Surtout, qu’ils sont au centre-ville!

    mais anyway je magasine un condo ou petite maison et je m’en vais en banlieue l’été prochain. dommages avant cette incident je voulais me prendre un petit condo au centre ville.

    Comme vous dites, probablement une mauvaise passe:)

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  26. Oralien

    31 mai 2009 à 03 h 26

    @Jeff-TCQC

    Si ton ton choix de rester en ville est émoussé par une petite fermeture de rue qui survient deux fois par annnée dans St-Jean-Baptiste, effectivement, trouve-toi un coin plus tranquille!

    Mais tu peux décider de rester à l’ouest de Turnbull, c’est jamais fermé! :-)

    Je comprends ton exaspération tout de même, c’est plate de se faire insulter quand on fait parti de ceux qui croient dans le quartier et dans ce mode de vie.

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  27. dave deux

    31 mai 2009 à 06 h 39

    Je dois hier que j’ai été témoin de ce genre d’attitude d’intolérence
    envers l’automobile. Une tite madame qui tentait tout simplement
    de déplacé sa petite Honda ce faire bloqué délibérément le passage
    par 3/4 imbéciles qui vociféraient contres les automobiles et ce
    sur…St-jean. C’est avec ce genre d’attitude que beaucoup
    rêve de la banlieue.

    La ville est une jungle, la banlieue un zoo.

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  28. Fernand

    31 mai 2009 à 09 h 21

    Gilbert tu n’as rien compris pour un arbre qui est abattu il y en a cent qui se plantent. Un arbre mature ne capte pas autant de monoxyde de carbone car comme l’humain après la cinquantaine avec l’âge les forces s’amoindrissent…

    Les environnementalistes sont des empêcheurs de tourner en rond et leur affaires finissent toujours par nous coûter un bras sans nous apporter les résultats promis.

    L’éthanol devait être écolo et par la suite on s’est aperçu que ça causait plus de tort que de bien etr affamait le tiers monde et faisait monter le prix des denrées dans les épiceries et même dans les restos.

    Ces gens ont dit « sauvons un arbre » et enlevé les sacs de papier recyclé des épiceries pour les remplacer par des sacs de plastique plus dommageables, faits avec du pétrole. Maintenant on a remplacé tout ceci par des sacs réutilisables qui transportent des microbes bactériens et sont fait « Made in China ». Résultat notre centre de tri dépense des millions sans pouvoir vendre le produit du recyclage et accumule des montagnes de papiers qui volent au vent chez les voisins. Wow, la pensée verte n’est pas aussi verte qu’elle le prétend…

    Voir ce billet d’un prof de Laval sur les sacs réutilisables.
    http://www.tqs.ca/videos/le-midi-avec-andre-arthur/2009/05/4—les-sacs-reutilisables-contaminent-les-epiceries–45331.php

    Le gros bon sens et le sens des responsabilités c’est ce qui manque à plusieurs. On est rendu comme une horde de moutons qui suivent le premier gourou qui nous chante des belles chansons. On ne prend même pas la peine de vérifier pourtant le principe de précaution est utilisé souvent par les environnementalistes comme argument. Est-ce qu’ils pratiquent ce qu’ils prêchent, permettez-moi d’être sceptique !!!

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  29. Éric

    31 mai 2009 à 09 h 23

    @Max
    Pour ce qui est du transport en commun, c’est sûr que si c’était pas un service de Q (*tousse tousse*), ça serait bien. Mais bon… avec une quinzième grève depuis 1969 (ça doit être rendu à
    ca, sérieusement…. une aux trois à quatre ans, perpétuellement), essaye de convaincre le monde que c’eet BON de prendre les étobus !
    Moi j’me sacre ben de savoir si c’est la faute du syndicat, des chauffeurs, des employés de soutien, des mécaniciens…. ce que je sais, c’est que ça coupe le service. Bref, ils écoeurent le peuple.
    En tout cas, je suis ô tellement content d’avoir mon char asteure. Depuis l’été passsé, je n’ai plus besoin d’attendre qu’un bus passe (pis ça, c’est quand il passe, pis c’est pas à l’heure prévue non plus…. vous avez remarqué que les bus qui sont en avance attendent d’être au prochain arrêt « important » pour reprendre leur temps? genre.. un Métrobus 800 qui arrive de Beauport et qui fait son attente juste à la station Université du Québec… ça veut dire que si je l’attends à l’arrêt juste avant, soit la station Du Pont, il va passer en avance, puis il va attendre plus longtemps à l’UdQ, donc moi je me fais ch… à l’attendre plus longtemps que le quinze minutes théorique. Le chauffeur a beau reprendre son temps à l’UdQ, s’il passe huit minutes en avance à la station juste avant, ça vaut d’la m…..
    En tout cas… j’ai pas de pitié pour le RTC. C’est juste plate pour le monde qui sont encore pognés pour utiliser ses services…
    Et avis aux éventuels gauchistes environnementalistes kyotistes, OUI je sais que je contribue maintenant à polluer la planète et à augmenter le trafic, et que je dépense plus d’argent grâce au faible prix des pétrolières qui ne nous exploitent pas du tout…. mais malgré tout ça, je considère que c’est un mal nécessaire pour avoir un service décent (avec mon char, c’est quand JE veux, où JE veux, pis je suis pas pogné debout dans la porte en avant avec un ti vieux qui me tousse dans la face).
    Désolé si j’ai froissé du monde avec mon présent commentaire, mais je rage chaque fois que je parle du « service » de transport commun qu’on a dans cette belle cité de Québec !

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  30. dave deux

    31 mai 2009 à 09 h 37

    Ah oui le trajet Métrobus censé être au 8 minutes en semaine.
    Parlons-en taber…Effectivement c’est aux huit minutes…mais
    un huit minutes répartie dans une moyenne journalière. Je
    m’explique. Vous attendez le 800/801 a la station belvédère,
    parfois 15/20 minutes sur l’heure du dîner ou dans le coin des
    centres-d’achats et paf les voilà en pile, un 800, un 801 et un autre 800. A t’il un répartiteur a la RTC?
    Est-il normal de prendre 1/2 heure pour faire le trajet centres
    d’achats-Cartier? Alors que le trajet Québec- Trois-rivières c’est
    une heure. Ce serait quoi de répartir les trajets de façon que nous ayons pas une pile d’autobus qui arrive en même temps dans un tapon.
    Mais mon problème est réglé, je reste en ville, j’ai un stationnement gratuit et dans deux semaines c’est une
    Land-Rover usagée. Très utile dans une ville pleines de trous.
    La brousse urbaine.

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  31. Éric

    31 mai 2009 à 09 h 52

    @Dave deux
    I agree with your commentaire. Ils passent tous en même temps ou pas pantoute.
    Ils auront beau mettre des articulés… ok, ça va aider à ce qu’on ne soit plus pognés debout dans la porte en avant, mais s’ils passent encore aux demi-heures trois de suite, le service ne s’en portera pas mieux.
    Moi ça m’est déjà arrivé plus d’une fois de péter une coche à un chauffeur de 801 qui arrive devant moi bondé jusqu’à la porte avant. C’est plate pour le chauffeur, là…. mais penses-tu que j’ai envie de lui dire « Bonjour ! :) » quand j’entre dans le bus, dans cette circonstance-là !
    Votre solution est la bonne, dave deux: un char. Usagé ou pas, il va vous être d’une utilité inestimable. Il vous restera juste à essayer de ne pas trop maugréer quand vous allez être pogné derrière un bus sur une rue à une seule voie de large. ;)
    Ceci dit, pour les trous…. faut s’y faire… il faut tout de même reconnaître que Régis a fait un bon move en augmentant considérablement les deniers alloués à l’entretien préventif et à la réparation des chaussées. À certains endroits, il y avait des nids-de-poulet gigantesques (gros de même, ce sont des nids de poulet, pas de poule, hehe :P ) et j’ai été à même de constater que plusieurs ont été réparés dernièrement.
    Il y a cependant une chose qui me désole. Dans l’arrondissement Limoilou, la Quatrième Avenue a été refaite sur un certain segment, MAIS les trous d’homme ne sont même pas à niveau avec la chaussée. Je comprends pas…. me semble que depuis les décennies que des chaussées sont pavées, il doit y avoir quelques gnégnégneurs qui savent comment faire pour que les trous d’homme soient à niveau, bâtard !

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  32. dave deux

    31 mai 2009 à 11 h 05

    De toute façon, les plus vieux a mon travail me disent tous que
    la vie est courte (ce que je me rend compte a l’approche de la
    quarantaine) et philosophiquement peut-ton ce permettre de
    perde 1H30 de trajet d’autobus par jour (pour un petit 6 kilo)
    dans notre vie. 1H30x5=6Hrs30 par semaineX4 semaines=26hrs par moisX11 mois=286Hrs par annéeX30 ans de travail=8580 hrs de transport/travail dans ta vie=357.5 jours ou tout presque un an.

    Le jour ou tu vas être sur ton lit de mort, il va être trop tard pour
    regretté cette perte de temps.

    PS demain cheké vos claques, demain c’est les grands travaux
    sur René-Lévesque

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  33. Réal

    31 mai 2009 à 11 h 55

    « Se faire tanner par une gang d’habiller tout croche et mal léchés ça fait fuir les citadins et ceux qui aimeraient vivre en ville. » dixit Jeff

    T’es pas fait assez fort pour vivre en ville mon Jeff ! Vas rejoindre les bedonnants en bermudas taille basse et en gougounes avec bas blancs, tu y seras plus à l’aise ! :-)

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  34. François

    31 mai 2009 à 12 h 10

    Sans avoir lu tous les commentaires ici, parce qu’en bout de ligne on arrive toujours au même résultat. Surtout en ce qui concerne notre ami Fernand, toujours à taper sur les gens ou groupes qui défendent des milieux naturels, dont une bonne part n’est pas contre le développement, mais contre un type de développement auxquelles je m’identifie.

    Parce qu’il est là le coeur du problème : on ne fait pas de développement, on ne perpétue qu’une croissance d’un habitat qui suppose la destruction des milieux, faire table rase des caractéristiques d’un site, pour en plaquer un autre aseptisé. Tous ces « développements » domiciliaires sans âme, livrés à l’appétit des promoteurs. Par exemple, ce qui se trame du côté du secteur de boulevard Neilson à la pointe Sainte-Foy. On pourrait construire une densification intelligente faite d’îlots d’habitats de type tours, de jumelés, unifamiliales, bref mixte à l’intérieur des milieux boisés. Par contre, ça demande une ville qui démontre du leadership, de l’audace. Ce ne sont pas les promoteurs qui le feront : voulant maximiser leur profit – c’est leur objectif bien normal, je n’en connais pas beaucoup qui veuillent marier profit et développement durable – et c’est donc à la ville d’émettre des conditions.

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  35. Max

    31 mai 2009 à 12 h 38

    Dave deux, ton commentaire sur la perte de temps dans les autobus manque de nuances.

    Dans le monde occidental au 21e siècle, le transport en commun est beaucoup plus développé qu’à Québec pour les villes de taille comparable.
    Le confort était VRAIMENT plus élevé, tu peux prendre le temps de consulter ton BlackBerry, ton Nintendo DS, le journal, jaser avec des gens, lire un livre, frencher ta blonde, etc.

    Québec sera comme ça un jour, horizon 2030 ou 2040 je prédirais. Lorsqu’on lit les journaux et les interventions des politiciens, comme Nathalie Normandeau, on voit que les choses prennent la bonne direction.

    Mais pour l’instant en 2009, on a une ville avec un territoire 4 fois gros comme la ville de Paris intra-muros (454 km carrés contre 105 pour Paris) avec le quart de la population intra muros (500,000 vs 2,100,000). On prend donc 4 fois plus d’espace pour mettre 4 fois moins de monde!!

    Québec a malheureusement prospérée dans la seconde moitié du 20e siècle et a donc opté par la périurbanisation, la banlieue. C’est tellement encré dans nos modes de vie que lorsqu’on dit à quelqu’un que l’on veut élever notre famille en ville dans un quartier tel SJB ou Limoulou on passe pour des débiles!

    Bien c’est avec des choix comme ça qu’aujourd’hui on se retrouve avec quelques express dans des bus de vieille génération aux heures de pointes traditionnelle (et seulement banlieue vers le centre, jamais le contraire). J’habite SJB parce que j’aime le mode de vie que le quartier m’offre. Cependant, je dois travailler dans des écoles situées à Beauport et Charlesbourg. Pour Charlesbourg, c’était 50 minutes de déplacement, ceci comprenant 20 minutes de marche. En voiture, 12 minutes. Qu’est-ce que vous pensez que j’ai choisi comme option?

    Je suis extrêmement en faveur du transport en commun et je préfère grandement ce moyen de transport que la voiture (lorsque le TC est efficace!). Je suis déjà un convaincu, et je prend quand même ma voiture! Parce que c’est extrêmement plus vite et moins cher. Oui, moins cher. Les fameux calculs que ça te coûte moins cher prendre l’autobus que rouler en voiture ça marche juste si je vend mon char pour de bon. En attendant, était dans la vingtaine mes assurances me coûtent une forture et ayant une Civic ca me coûte 50 ou 60$ par mois d’essence. Avec un tarif à 76$ pour la passe mensuelle, le RTC n’est pas du tout compétitif. Comme j’ai pas le choix de payer mes assurances et mes immatriculations pour l’année, tu te retrouve devant le dilemne suivant: Payer mon gas à $50 ou une passe à $75 pour un semblant de service.

    En tk, moi ça pèse énormément dans mon choix de quitter Québec, malheureusement. J’adore la beauté de la ville, la nature à proximité, les Plaines, les restos et les commerces mais… la ville est pas fonctionnelle pour le transport. C’est un trop gros morceau qui manque. See you in 2040, Québec. En attend je vais aller m’exiler à Lyon avec ma femme immigrante dans la vingtaine et française « techie ». Désolé, Labeaume. On a le profil que tu recherches mais il manque quelque chose que d’important au produit et au cadre de vie que tu nous offres.

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  36. dave deux

    31 mai 2009 à 13 h 26

    @max

    Ma prise de position était plus philosophique que pratique.
    Mais rien que du côté pratique, des fois je me dit pourquoi
    perde son temps a cotoyés des gens demi-civilisés (une minorité
    quand même) a chaque jour de ma courte vie. Tout ceux qui
    prennent le métrobus 800-801 songeront à:
    1/La madame qui pue le parfum a 5 sous
    2/Le bonhomme qui pue le swing
    3/Les mauvaises haleines
    4/La tite vieille qui parle tout seule…une incontournable.
    5/Les bizounneux avec leurs cells.
    6/Les vieux pervers
    7/Ceux qui dorment sur le banc
    8/Ceux qui pètent
    9/Les péteux de broue
    10/Les sacs a dos qui bloque la libre circulation
    11/Les imbéciles qui bloque l’allée (mes préférés car je fonce
    dessus)
    12/Ceux ou celles qui prennent deux banquettes.
    13/Les arrêts secs du conducteur, idéal quand tu es debout.
    14/Les puants en général.

    PS LandRover 2006 86000 kilo…$5400…pour enfin avoir enfin
    la cristie de paix et prendre 1/2 de plus le matin.

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  37. dave deux

    31 mai 2009 à 13 h 29

    Ah oui, voici mon opinion de Labeaume:
    En politique, l’opportunisme conduit à des changements fréquents de programmes ou de positions afin d’attirer un maximum de votes lors des élections. Cette adaptation aux circonstances s’effectue au détriment des principes doctrinaux.

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  38. Philippe Tremblay

    31 mai 2009 à 13 h 44

    @ Jeff-TVQC

    Je te propose une solution qui aurait pu régler ton problème. Dis moi si ca a du sens. La rue St-Jean est fermé deux fois par année. C’est toujours annoncé à l’avance. Puisque c’est la fin de semaine, tu peux te stationner n’importe où dans le quartier sans vignette. De plus ca arrive l’été donc pas besoin de déneiger. Ayant toutes ces informations en main, n’aurait t-il pas été plus sage de parker ton char ailleurs que sur St-Jean genre vendredi soir afin de t’éviter d’avoir à traverser la rue St-Jean en auto?

    Pour avoir été à plusieurs évènements où des rues sont fermés (St-Jean-Baptiste, Crashed Ice, etc), aucun groupe (piétons/automobiliste) peut revendiquer le monopole des comportements de côlons. J’ai vu un automobiliste à la dernière St-Jean passer sur St-Louis et pogner les nerfs parce que ca n’avancait pas assez vite tout en collant avec son bumper le cul des piétons d’une manière assez aggressive. Évidemment, il a eu ce qu’il méritait.

    @ Fernand

    J’ai pris l’habitude de ne plus lire vos commentaires car ils sont souvent assez décousus. Par contre, j’ai lu un petit sur l’éthanol. Ce ne sont pas tant les environnementalistes qui ont poussé cela mais bien les agriculteurs afin de faire augmenter la demande de grains. Et à voir combien coûte un pain aujourd’hui, ils ont réussi. Quand une mesure (% minimum d’éthanol dans l’essence) est adoptée à la maison blanche par un président républicain, dites vous que ce n’est surement pas Greenpeace qui est derrière l’idée.

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  39. Fernand

    31 mai 2009 à 15 h 48

    Philippe Tremblay ne lis pas ceci.

    Le livre vert du gouvernement du Québec écrit par Béchard et conseillé par Steven Guilbault alors de Greenpeace, consacre un chapitre sur l’éthanol. C’est pas les agriculteurs qui l’ont écrit.

    De décider d’investir dans une usine d’Éthanol à Varennes de 200 millions qui ne marche pas et que le gouvernement a installé près des champs de maïs de la vallée du Richelieu. C’est pas les agriculteurs qui ont exigé ça…

    Que les amis de Gore, le pape du réchauffement climatique aient décidé d’investir des millions dans des fermes du centre des USA, est-ce qu’on peut blâmer les fermiers de récolter un pont d’or de leur terres offert par ces spéculateurs de l’industrie verte.

    Au fait Richard Branson de Virgin, associé de Gore dans son Hedge Fund a investi 400 millions pour fabriquer de l’éthanol à partir de canne à sucre. Gore n’est-ce pas celui que les écolos ont adulé et suivi comme des disciples ???

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  40. Jeff-TVQC

    31 mai 2009 à 16 h 41

    Oralien: les rues barrées ne me dérangent pas au contraire je suis le premier à aller marcher lors de ces activités le midi. Ce qui me dérange c’est que mon stationnement est intérieur et quand je sors en auto pour aller travailler je me fais écœuré par des impolies qui croient détenir le monopole de la vertu.

    C’est toto obsédé par leur haine devaient croire que j’avais passé la clôture au début de st-jean pour le fun et que j’avais décidé sans raison d’aller me promener parmi les piétons et risquer de prendre un ticket.Trop cave pour se questionner, trop cave pour penser que je vis directement dans le secteur ou c’est bouché!

    Philippe Tremblay: j’ai une voiture sport qui vaut assez cher, ma voiture d’hiver est présentement sur lockwell et je me suis fait déjà vandaliser 3 fois en 4 ans (un poque sur le coté, un vitre pété une stéréo volée et une antenne de radio arrachée et j’oubliais un miroir arraché)donc vos comprendrez ma réticence de stationné une voiture antique qui attire l’attention dans la rue.

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  41. Gilles

    31 mai 2009 à 18 h 26

    Pourquoi tant de mépris entre nous….

    Chacun à droit à son opinion……

    La mienne…..augmenter la densité, mais aussi augmenter les espaces vers….

    Ex : Sur la même surface ou il y a présentement une dixène d’immeuble de 3 étages de trois logements (30 logements) à trois milles pieds carrés par immeuble (30 000 pc). On contruit 40 ou 50 logements (10 ou 15 étages) qui occupe plus ou moins 10 000 pc au sol. Le reste de 20 000 pieds carrés on aménage ca en parc….

    Donc un peu plus de densité mais plus d’expaces vers….

    Comme ca tout le monde est contant….une ville plus dense et plus verte….

    .

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  42. Gilbert

    31 mai 2009 à 18 h 27

    Fernand à dit(encore…soupir):
    Gilbert tu n’as rien compris pour un arbre qui est abattu il y en a cent qui se plantent. Un arbre mature ne capte pas autant de monoxyde de carbone car comme l’humain après la cinquantaine avec l’âge les forces s’amoindrissent…
    **************************************************

    Fernand ce que tu énonce ici « est de la pure démagogie »! Mais je comprend ici que ce que tu dis c’est que « tu souffres d’une ignorance volontaire »! Mon intervention ici vise les personnes qui pourrais être tenté de croire aux fantasmes de Fernand!

    S.V.P. prenez simplement la peine de vérifier toute informations soumises ici sur ce site! Vérifier auprès des autorités officiel et crédible!

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  43. Fernand

    31 mai 2009 à 20 h 36

    Gilbert, j’ai acheté un champ ou l’on cultivait de la patate et je me suis bâti dessus et j’ai aménagé mon terrain. J’ai planté une dizaine d’arbres et je suis fier de mon aménagement. je me suis même permis d’envoyer des photos à Gérald Gobeil.

    J’ai été conseiller municipal et pour diminuer le volume dirigé au site d’enfouissement, on a décidé de recycler le papier et de ramasser l’herbe. Aujourd’hui on gère tout croche ces idées avant-gardistes et je ne peux m’en plaindre!!! Il y a quinze jours, j’ai demandé en plein conseil de Ville combien avait coûté les ratés du centre de tri et j’attends encore la réponse. On nous demande de recycler et bientôt de séparer nos restes de tables (putrescibles) alors qu’on n’a même pas un client pour le papier recyclé par notre centre de tri. On entrepose maintenant dans trois grandes bâtisses tout ce stock invendu. Ça coûte un bras entreposer des matières inflamables dans un entrepôt car les assurances obligent de gardienner 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Tout ça parce que qu’un plan mal foutu a été adopté dans le cadre d’une course pour « sauver la planète » et ça n’a aucun rapport. On vit actuellement la même chose que le bogue de l’an 2000 ou tous les ordis s’éteignaient en même temps. On a fait accroire des choses et le monde a paniqué. C’est ça que je dénonce, on a même pas pris la peine de vérifier si c’était vrai ce que disait Gore, l’arnaqueur…

    Je vous cite une phrase qu’il a prononcé et je vous donne la source car vous dites que je parle à travers mon chapeau. Je n’agi jamais sans preuve, moi !!!

    « Je pense qu’il convient de sur-représenter les faits qui montrent à quel point le [réchauffement global] est dangereux pour inciter les gens à écouter les solutions.  » Al Gore dans un interview en mai 2006 http://www.grist.org/news/maindish/2006/05/09/roberts/

    Et les solutions passent par sa poche. Seulement son film lui a rapporté 200 millions. Pourtant un jugement de la cour britannique mentionne qu’il y a 12 assertions non fondées scientifiquement. L’industrie verte c’est lui qui empoche avec ses amis. Nous on est l;es caves qui se privent et payent des nouvelles taxes. La pensée unique et verte est née et à chaque jour on gaspille des milliards pour rien par cette hystérie créée par nos dirigeants de l’ONU et Gore pour nous taxer davantage…

    Pendant ce temps des gens meurent. Je partage la pensée du consensus de Copenhague dont le leader est un ancien de GREENPEACE : Bjørn Lomborg, directeur du Consensus de Copenhague, professeur adjoint à la Copenhagen Business School et auteur de deux livres, « Cool It: The Skeptical Environmentalist’s Guide to Global Warming » et « The Skeptical Environmentalist ».

    VOICI LE SITE: http://www.copenhagenconsensus.com/CCC%20Home%20Page.aspx

    J’ai des amis scientifiques qui eux ne se sont pas laissés bernés par l’ONU et son GIEC…

    Certains ont signé le manifeste d’Heiligenroth,

    le voici: http://www.klimamanifest-von-heiligenroth.de/klimaman-f.html

    L’environnement est une nouvelle science qui est arrivé grâce aux ordinateurs de plus en plus performants permettant des calculs complexes pour faciliter la recherche et grâce aux nouvelles technologies que la NASA a développé au cours des ans. Venez surtout pas me dire que l’environnement a toutes les réponses aux nombreuses questions que chaque nouvelle étude apporte. On est aux premiers balbutiements d’un univers qu’on connait à peine. Pourquoi faudrait-il sauter aux conclusions hâtivement ???

    Naturellement ils y a des alarmistes et des extrémistes qui manifestent. Moi aussi je soupire de voir ces gens omnibulés par la religion verte. C’est ce que je dénonce et je ne suis pas seul à le penser, ne vous en déplaise…

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  44. Julien

    1er juin 2009 à 08 h 31

    @Gilles
    « Comme ca tout le monde est contant….une ville plus dense et plus verte…. »

    Construire en hauteur ne rend pas les voisins contents… Plus d’ombre, plus de circulation, etc…

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  45. Louis.L.

    1er juin 2009 à 09 h 30

    Tant de commentaire et pourtant on oublie quelque chose. Pour la grande majorité des gens des banlieux, le centre ville n’a rien attirant…en fait le centre-ville est un endroit à éviter. Personnelement je plains ceux qui doivent s’y rendre pour travailler. Pour ceux qu’y y vivent, alors j’imagine que c’est un choix. C’est un hasard si les villes doivent se battre pour garder le monde dans les centre-ville..!!!. La qualité de vie de famille en banlieux ne se rentrouve pas en ville.

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  46. Lo

    1er juin 2009 à 10 h 03

    @Louis.L.

    Je suppose que c’est aussi un hasard si le prix des logements a tellement augmenté dans les quartiers centraux… Sûrement pas un indice que c’est un produit en demande!

    Personnellement, juste dans mon cercle proche, je compte au moins 5 jeunes familles qui dans les deux dernières années ont renoncé à acheter en centre-ville en raison du prix. Elles se sont rabattues soit sur les couronnes plus éloignées (Lac-Beauport etc.), soit sur des quartiers moins bien desservis, mais ce qu’elles cherchaient, c’était un quartier type centre-ville:
    – un quartier avec une diversité d’activités et de population (familles, jeunes, vieux);
    – avec des services accessibles à pied;
    – bien desservi en transport collectif (Métrobus);
    – à proximité du centre-ville et de ses nombreuses activités (spectacles, parcs, évènements majeurs).

    Le problème, c’est qu’il y a tellement peu de quartiers de ce style à Québec que s’y loger est devenu très cher. En fait, le centre-ville attire beaucoup plus de monde que ceux qui peuvent réellement y habiter, étant donné le peu d’offre disponible!

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  47. Louis.L.

    1er juin 2009 à 10 h 16

    Tout porte à croire que nous avons des cercles d’amis différents l’un de l’autre. Pour les loyers, une précision s’impose. Pour un prix X tu as 25% plus grand en banlieux et 40 ans plus jeune…c’est pas à négliger.

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  48. Erick

    1er juin 2009 à 11 h 28

    C’est pas le concept de « banlieue » qui est dépassé mais le « modèle actuel et d’hier » de banlieue qui est dépassé. Cet nuance semble échapper à bien du monde.

    La « banlieue dépassée » c’est celle où on ne fait qu’aller dormir pour ensuite retourner travailler en ville le lendemain. Celle où on est obligé de voyager sur des grandes distances parce qu’on y interdit les développements générateurs d’emploi à proximité. Celle dont on dit qu’il n’y a pas de vie de quartier ni de commerces de proximité, alors que toute tentative d’y développer cette vie de quartier est systématiquement bloquée par ceux-mêmes eux mêmes qui disent qu’il n’y a pas de vie de quartier.

    La banlieue « dépassée » c’est aussi celle qui est quadrillée d’autoroutes et où l’automobile y est reine. Celle où l’on se fait carrément refuser le transport en commun sous de faux prétextes, rendant la banlieue encore plus dépendante des autos.

    La banlieue « dépassée » c’est aussi celle qui ramasse tout ce que le centre-ville ne veut pas avoir dans sa cour, les garages, entrepôts, industries, sites d’enfouissement, etc, tout ce qui la rend « laide ». Vu sur ce point, c’est peut-être la « ville d’ajourd’hui » qui est dépassée vue qu’elle est incapable de s’auto-assumer.

    La nuance que certains gens de la ville ne comprennent pas, c’est que c’est pas tout le monde qui a envie de demeurer dans des condos. Une des raisons pourquoi certaines gens préfèrent les bungalows c’est pour être le plus loin possible des voisins, car on trouve toujours dans notre voisinage un certain pourcentage de « bougons », alors plus on prend d’espace, moins on de chance d’avoir l’un de ces bougons à « portée de tir ». En sens inverse plus on se colle sur nos voisins, plus on a de chance d’être emmerdé par un de ces parasites.

    Une autre raison de vivre en banlieue est la recherche de l’indépendance juridique face au voisinage. Autrement dit « être maître chez soi ». Le bungalow c’est la version la plus indépendante possible. Tout ce que vous partagez avec le voisin c’est la clotûre, et même encore rien ne vous empêche de construire votre clôture à 3 pouces à l’intérieur de vos lignes pour avoir la paix. Le jumelé c’est le compromis où vous n’avez affaire au voisin que si vous devez refaire le toit ou le drain agricole. Avec des maisons en rangée (super-jumelés de 3 unités et plus) c’est le même principe, chacun chez soi, mais un peu plus compliqué dès que vous touchez aux rares infrastructures communes.

    A partir du moment où vous parlez de copropriétés, condos, etc, vous parlez de conseil d’administration etc. Vous n’êtes plus roi chez vous. Plus moyen de mettre la musique forte à l’intérieur, rarement le droit de posséder un chien (quoi que si ce n’était que de moi ce serait aussi interdit dans les quartiers résidentiels), etc.

    Si ça fait l’affaire de certains, ces contraintes sont un désagrément majeur pour bien d’autres…

    Des types de propriétés comme des bungalows et jumelés, on ne les retrouve que très rarement en « ville », et lorsqu’on en trouve (Montcalm, Haut-Limoilou, etc), on est dans l’erreur d’appeler ces quartiers « ville » plutôt que banlieue.

    La banlieue « dépassé » c’est celle d’hier et d’aujourd’hui. Et si au lieu de combattre la banlieue elle-même, on songeait plutôt à la « banlieue de demain »?

    La banlieue de demain…

    Je respecte les gens qui préfèrent vivre au centre-ville, mais j’aimerais bien que ceux-ci respectent les gens qui font un autre choix.

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  49. Réal

    1er juin 2009 à 11 h 33

    « Pour un prix X tu as 25% plus grand en banlieux et 40 ans plus jeune…c’est pas à négliger. »

    Bien possible d’avoir plus grand en banlieue mais souvent ce 25% supplémentaire, c’est le sous-sol du plain-pied où c’est la tradition d’y faire une chambre ou deux pour y loger ses ados.

    J’habite une maison qui a 125 d’âge au centre-ville; je doute qu’une maison construite y a 20 ans dans un développement en périphérie puisse durer aussi longtemps et nécessiter moins d’entretien ou de rénovation que la mienne si on tient compte de la qualité de construction qui prévalait à l’époque.

    Le prix X peut séduire mais il faut aussi prendre en compte le coût Y qu’il faut y additionner lorsqu’il faut se doter de deux voitures, d’une tondeuse, d’une souffleuse, etc sans oublier le cabanon pour mettre tout ça.

    Tout ça pour dire que je doute personnellement des avantages strictement économiques d’acheter en banlieue plutôt que dans le centre-ville.

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  50. Erick

    1er juin 2009 à 11 h 57

    @Réal

    Les maisons modernes sont peut-être faites plus « cheap », mais bénéficient de toutes les technologies modernes en matière d’isolation, de matériaux sans entretien, de chauffage, etc.

    On a pu voir l’automne dernier comment il y en a qui se sont mit à paniquer avec leurs systèmes de chauffage à l’huile. Et si jamais vous n’avez pas remarqué, le prix de l’essence est repartit à la hausse selon une courbe équivalente à l’été dernier…

    Je peux vous dire que c’était un de me points les plus importants quand j’ai magasiné. Quand on achète moindrement vieux, faut faire attention de ne pas se faire aveugler par le prix, car parfois il y a plusieurs dizaines de milliers de dollars à investir à court terme. Pour ma part ce que j’ai acheté n’avait que 5 ans alors je me suis évité l’histoire de finir le terrain et autres. Evidemment que j’ai eu à me préoccuper de la tondeuse (140$), un cabanon (750$), mais j’avais déjà ma souffleuse. Mais ca fait partie de la « game ».

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  51. dave deux

    1er juin 2009 à 12 h 47

    En ce qui concerne la chèreté des prix de l’habitation en dans le
    centre-ville celle-ci est dû uniquement à la rapacité des proprio- promoteurs qui ce servent de cette rareté pour escroqué le gogo. C’est vrais que habitation est plus rare dans le centre-ville, mais logiquement que tu habites un shack a Val-Belair ou un petit condos a St-Roch le prix de l’électricité et de l’huile est le même. Quand aux taxes, pour des services équivalents c’est illogiquement plus couteux en ville pour deux fois moins. seul la rapacité des vautours de l’immobilier explique les prix du centre- ville. Comme j’ai toujours dit, la présence des vautours dans le centre-ville est un fort incitatif à la banlieurisation de Québec.

    En ce qui concerne le prix de l’essence, c’est proportionnellement plus cher aujourd’hui que le prix de 2007
    par rapport au m^me prix du baril de pétrole. L’augmentation
    a suivis une courbe disproportionné par apport a l’augmentation
    du baril au cour des trois dernières années et cette courbe n’a
    pas connu la même baisse proportionnelle en fonction de la
    chute du baril. Autrement dit un baril a $145.00 donnait l’an
    passé et plus un litre d’essence a $1.71, le même baril à $145.00 en 2010 (bientôt) devrait donné un litre d’essence
    a $2.24 en suivant les courbes de prix depuis un mois.
    Ici le consommateur ne ce fait pas baisé mais carrément enculé.

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  52. Manu

    1er juin 2009 à 13 h 20

    Et le « but » (pou ainsi dire, car c’est plutôt flou) de toute cette histoire n’est pas d’abord de changer le mode de vie des gens d’aujourd’hui, mais de préparer celui de ceux qui viendront après.

    Mais peu importe ce qu’on mettra en oeuvre comme mesures pour atteindre le but, je doute qu’on puisse réellement lutter contre ce qui me semble être la nature humaine : l’être humain est un animal grégaire mais territorial. C’est de même. Rares sont ceux qui ne désirent pas d’espace vital, mais nombreaux sont ceux qui prendraient plus d’espace qu’ils en ont si on leur offrait.

    Quelle est à la proportion de gens qui souhaitent vraiment vivre « assez entassé » aux autres, sans ce que soit par obligation ni temporaire (i.e. excluant ceux qui se disent que c’est seulement en « attendant », pour 5 à 10 ans). J’ai même l’impression que la proportion n’était pas plus haute il y a 50, 100 ou 500 ans. La décision de vivre sur plus ou moins d’espace me semble avant tout une question de compromis entre les obligations (naturelles ou humaines comme la collecte de nourriture, travail à l’extérieur de la maison, proximité de soins médicaux, etc.) et les moyens d’y répondre (notamment par le transport, mais aussi le « niveau de vie »).

    De ce point de vue, toute amélioration à la mobilité des gens leur a permis de vivre de moins en moins entassé. Que ce soit un véhicule personnel, le transport en commun, à propulsion humaine, animale, mécanique, etc. ça ne change rien. Si on nous offre la possiblité, on va la prendre. Comme il y a fort à parier que la mobilité des gens ira en s’améliorant avec le temps (comme cela a toujours été, toutes formes de mobilités confondues, à part peut-être pour la fluidité du traffic qui se dégrade dans les villes, mais qui est négligeable par rapport aux améliorations, du moins à Québec), il y a aussi fort à parier que tous ceux qui s’entassaient par obligation vont se détasser un peu.

    Quant au « niveau de vie », il ne suivra évidemment pas sa lancée des 100 dernières années, et encore moins celle des 60 dernières, mais je doute qu’il s’érode substantiellement dans le siècle à venir. Autrement dit, la densité dans les quartiers centraux (incluant les anciens centres de villages aujourd’hui en banlieue) est déjà passée de « famille avec 4 enfants dans un petit 5 1/2 » à « tout seul ou à deux dans un grand logement de 1000 pieds carrés », grâce en autres à la hausse du niveau de vie (et aussi à tous ceux qui ont fait de la place en quittant les quartiers centraux pour la banlieue, étant « moins obligé »). Mais à moins de détruire des logements, je doute que cela continue en ce sens, étant donné que déjà, une grande partie des « ménages » en ville ne comprennent qu’une seule personne.

    Bref, il n’y a vraiment pas que les considérations pratiques d’aménagement du terroitoire ou de mesures fiscales qui font partie de cette question du « modèle de la banlieue », mais aussi la nature humaine. En ce sens, et si on résume ce que la ministre a mentionné, ce n’est pas la banlieue le problème mais plutôt le « modèle de ville » actuel qui fait défaut, sinon la banlieue n’attirerait pas autant de gens.

    Sans démarrer un autre sujet, c’est aussi la question de « milieu de vie aux dimensions humaines » qui se pose. Certains croient que ça se limite à un quartier où la plupart des services sont accessible à pied, alors que d’autre diront plutôt que d’avoir son propre « territoire » comme nous le demande notre nature. Je considère plutôt qu’il s’agit d’un milieu de vie ou on trouve ce que l’on cherche avec les moyens (mobilité notamment) à notre disposition.

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  53. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    1er juin 2009 à 13 h 59

    « Al Gore!, « Greenpeace »… – Fernand

    Et si l’on parlait de ce que je pense des Conservat…, à propos de « radotage pas rapport »???

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  54. Louis. L.

    1er juin 2009 à 15 h 39

    Erick et Davedeux, je partage vos point de vue. Merci pour ces nuances qui manque souvent dans tous ce que l’ont peut lire.

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  55. Max

    1er juin 2009 à 19 h 48

    Erik, je ne pense cependant pas qu’on peut se permettre de perdre encore plus d’hectares de nature pour que des gens qui aiment la banlieue puisse se construire de nouveaux bungalows.

    À mon avis, de nouveaux quartiers centraux doivent être créés dans Vanier, Sillery, St-Malo, la friche industrielle obsolète près du port, d’Estimauville, Lairet, sur de Charlesbourg.

    Il faut augmenter l’offre d’un mode de vie de ville à Québec. L’offre de mode de vie de banlieue est bien suffisant!

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  56. Fernand

    1er juin 2009 à 23 h 36

    Je crois plutôt qu’il faut décongestionner le centre-ville en créant des pôles secondaires. Ainsi on enverrait dans la périphérie les édifices à bureaux ce qui permettrait de raccourcir les trajets et peut-être inciter certains à se rendre à pied ou en vélo à leur travail devenu plus près. Tout ça part d,une hystérie au réchauffemnent climatique. Or, les alarmistes ont oubliés de dire que le réchauffement n’est pas global et que quatre cinquièmes de la Terre ont échappé au fameux « réchauffement global » dans les deux dernières décennies du XXe siècle dont le Canada. Cette assertion est basée sur une études à l’aide de 5159 stations météorologiques, réparties dans des grilles de 5°x5° de côté en latitude et longitude. Voir réf: Jones P.D., A. Moberg (2003), Hemispheric and large-scale surface air temperature variations: an extensive revision and update to 2001, J. Clim., 16, 201-223.

    Déjà on part avec de fausses prémisses et l,on débat dans le vide…

    Je lisait aussi une étude sur le phénomène chinois de densification et l’influence que ça occasionne sur la chaleur. On appelle ça les Ilots de chaleur urbain (ICU) que l’on représente assez souvent par le smog urbain des grandes villes ou des fortes concentrations. Le titre du reportage de cette étude : Chine échaudée, Chine urbanisée…

    http://climat-sceptique.over-blog.com/article-5943013.html

    ùpour ceuxc qui ne prendront pas la peine de consulter ce lien, je vous donne quelques extraits pertinents.

    L’îlot de chaleur urbain (ICU) désigne l’influence de l’urbanisation sur les températures de surface et de basse couche de l’atmosphère. Il n’est pas rare que les villes et leurs alentours immédiats soient plus chauds de quelques degrés par rapport aux campagnes environnantes. Cette urbanisation s’inscrit dans le cadre général des forçages liés aux usages du sol. Une étude chinoise suggère qu’elle représente une part prépondérante dans le réchauffement récent constaté sur des stations de référence du réseau météorologique national.

    Dans son dernier rapport 2007, le GIEC assure que « les effets des ICU sont réels, mais locaux, et ont une influence négligeable sur les valeurs [de hausse] (moins de 0,006°C par décennie sur les terres et zéro sur les océans ». Cet avis sur le rôle négligeable des ICU ne semble cependant pas partagé par G.Y. Ren et ses trois collaborateurs appartenant tous à l’administration météorologique de la République de Chine populaire. Ces auteurs publient dans la dernière livraison des GRL une analyse des tendances de températures enregistrées dans deux stations urbaines (Pékin et Wuhan), comparées à des stations rurales alentour, pour la période 1961-2000 et 1981-2000.

    Leur conclusion : « Le réchauffement annuel et saisonnier induit par l’urbanisation est significatif pour les deux périodes dans les stations de Pékin et Wuhan, le réchauffement annuel urbain représentant 65-80% de l’ensemble du réchauffement 1961-2000 et 40-61% de l’ensemble du réchauffement 1981-2000. Ce résultat, s’ajoutant à de précédentes recherches, indique la nécessité de prêter une attention accrue aux biais induits par l’urbanisation existant probablement dans les données actuelles de température de surface des stations de référence nationales ».

    Référence
    Ren, G.Y. et al. (2007), Implications of temporal change in urban heat island intensity observed at Beijing and Wuhan stations, Geophys. Res. Lett., 34, L05711.

    Il y a eu plusieurs études sur le sujet et permettez-moi de citer quelques références.

    Sur cette question des îlots de chaleur urbain en Chine, S. McIntyre se livre à d’intéressantes analyses du Climate Audit, en essayant (sans succès) d’obtenir les données de l’étude séminale de Jones 1990 ayant servi à l’AR3 (et encore à l’AR4) du GIEC pour asseoir l’absence d’effet urbain dans les biais de mesure. C’est courant que le GIEC cache ses études pour éviter qu’elels ne soient analysées et commentées.

    Jones P.D. et al. (1990), Assessment of urbanization effects in time series of surface air temperatures over land, Nature, 347, 169-172.
    Wang W.C. et al. (1990), Urban Heat Islands in China, Geophys. Res. Lett., 2377-2380
    Zhou L. et al. (2004), Evidence for a significant urbanization effect on climate in China, PNAS, 101, 9540-9544.

    D’autres villes ont été l’objet d’études sur ce phénomèene des ICU, Ainsi Barrow en Alaska. Voici la référence : Hinkel K.M. et al. (2003), The urban heat island in winter at Barrow, Alaska, International Journal of Climatology, 23, 1889-1905.

    Plusieurs autres études sur plusieurs pooints de la terre ont été publiés. En voici quelques unes:

    Références

    Calnay E., M. Cai (2003), Impact of urbanization and land-use change on climate, Nature, 423, 528-331.

    Fujibe F. (1995), Temperature rising trends at Japanese cities during the last hundred years and their relationships with population, population increasing rate and daily temperature ranges, Papers in Meteorology and Geophysics, 46, 2, 35-55.

    Gallo K.P. et al. (1999), Temperature trends in the US historical climatology network based on staellite designated land-use land-cover, Journal of Climate, 12, 5, 1344-1348

    Gonzalez J.E. et al. (2005), Urban heat islands developping in coastal tropical cities, Eos, 86, 42, 397-403
    Hansen J. et al. (2001), A closer look at United States and global surface temperature change, J. Geophys. Res., 106, 23947-23963.
    Higane L.S. (1996), Is a signature of socio-economic impact written on the climate ?; Climatic Change, 22, 1, 91-162.
    Ichinose T. (2001), Regional warming relaated with land use change during past 135 years in Japan, in T. Matsumo, H. Kida, Present and Future of Modeling Global Environmental Change: Toward Integrated Modeling, 433-440, Terrapub.
    Jin M. et al. (2005), The footprint of urban areas on global climate as characterized by MODIS, Journal of Climate, 18, 1551-1565.
    Jones P.D., A. Moberg (2003), Hemispheric and large-scale surface and temperature variations, an extensive révision and an update to 2001, Journal of Climate, 16, 206-223.
    Oke T.R. (1976) City size and the urban heat island, Atmos. Environ., 7, 769-79.
    Oke T.R. (1982), The energetic basis of an urban heat island, Quart. J. Roy. Meteor. Soc.,108, 1-24
    Parker D.E. (2004), Large-scale warming is not urban, Nature, 432, 18, 290.
    Peterson T.C. (2003), Assessment of urban versus rural in situ temperatures in the contiguous United States: No difference found, Journal of Climate, 16, 2941-2959
    Pielke R.A. (2002), The influence of land-use change and lanscape dynamics on the climate system: relevance to climate-change policy betond radiative effect of grennhouse gases, Phil. Trans. Res. Soc. Lond. A, 360, 1705-1719
    Pielke R.A., T. Matsui (2005), Should light wind and windy nights have the same temperature trends at individual levels even if boundary mayer averaged heat content change is the same ?, Geophysical Research Lettters, 32, 21, doi:10.1029/2005GL024407
    Streutker D. (2003), Satellite-measured growth of the urban heat islnd of Houston, Texas, Remote Sensing of Environment, 85, 3, 2595-2608
    Torok S.J. et al. (2001), Urban heat island features of southeast Australian towns, Aust. Met. Mag., 50 1-13

    Tout ça pour dire que la densification est une mauvaise avenue…

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  57. Manu

    2 juin 2009 à 01 h 26

    Sérieusement, avec le climat qui prévaut à Québec, je me demande si les îlots de chaleurs sont un avantage ou un désavantage (et c’est difficile de comparer avec d’auters villes, à part au Canada et peut-être en Russie… car même les pays scandinaves ont des hivers beaucoup plus doux qu’ici).

    Mais ce que Fernand oublie, c’est que les îlots de chaleurs viennent généralement avec la concentration d’asphalte et de béton. Alors il suffirait de mettre des toits verts partout dans ces « nouveaux développements », mettre les stationnemetn sous-terrain et on se retrouve avec autant de surperficie « verte » qu’un parc, bien que moins qu’une forêt bien sûr. (pour votre information, sur un sujet connexe j’ai parcouru le nouveau règlement d’urbanisme, et pour ceux qui connaissent les condos à 4-6 étages développés le long de Robert-Bourassa, le zonage spécifie qu’au moins 70% de la surface de stationnement doit être sous-terrain)

    De plus, des bâtiments très « éco-énergétiques » n’utilisent que très peu de source d’énergie externe (Hydro-Québec) comparativement à d’autres bâtiment, ce qui fait qu’ils irradient très peu de chaleur.

    Cela étant dit, j’aurais aussi bien pu dire que tout ce qui a été dit par Fernand n’est pas très crédible puisqu’on ne peut pas comparer Pékin à Québec… mais j’ai préféré donner les solutions concrètes à un problème qui n’en est même pas vraiment un par ici.

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  58. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    2 juin 2009 à 07 h 06

    Fernand: on pourrait commenter longuement sur les îlots de chaleur créés par les mers d’asphaltes qu’on étale tout partout dans les champs de patates, comme dans le secteur de Lebourgneuf et le secteur de Duplessis, à Sainte-Foy!! Et que dire du déboisement…

    Les études sont nombreuses; je n’ai pas de temps à perdre à les citer.

    Votre mauvaise foi devient agaçante: accuser les écolos de mentir, d’être payé pour le faire, de dire à tort qu’ils dont la promotion de l’éthanol… Aucune nuance et toujours les mêmes radotages!!

    À croire que vous faites la promotion des industries pétrolière et du parti Conservateur!!

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  59. Carol

    2 juin 2009 à 11 h 05

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  60. Manu

    2 juin 2009 à 11 h 26

    En fait, Fernand s’imagine que la densification elle-même cause les îlots de chaleur, alors que c’est la densification d’éléments « réchauffant » qui est le problème. Il n’y a pas de problème si on suit les suggestions que j’ai énumérées précédemment.

    Le raisonnement de Fernand est le même que le suivant : on a des voitures, et des études démontrent que quiconque roule à contresens sur un boulevard achalandé met la vie de plusieurs personnes en danger. Par conséquent, les voitures sont dangereuses et sont une mauvaise avenue pour le transport de personnes.

    Sacré Fernand…

    @Jean : même en supposant qu’un stationnement de power center puisse créer un îlot de chaleur, il n’y a personne qui ne demeure là, alors au pire, ça demande un peu plus de climatisation en été pour les commerces (pour le petit coin sur le bord de la porte…), mais cela est bien plus que compensé par le chauffage sauvé en hiver. Même si on considère le vent (car il y en a pratiquement toujours à Québec, principalement sur ces grandes surfaces ouvertes), le pire qui peut arriver c’est que cela permette à des résidents aux alentours de sauver 5$ par année en chauffage (et peut-être payer 50 cents de plus en climatisation pour ceux qui climatisent).

    Même en ville, c’est ce qui permet d’ouvrir les terrasses avant le mois de juin (comme à Montréal, dès avril… sauf que là-bas il y a moins de vent qu’à Québec pour dissiper la pollution faite sur place, et comme les îlots de chaleur empêchent une partie de la rosée de se condenser et d’entraîner des particules, ils contribuent quelque peu au smog).

    Bref, les îlots de chaleur concernent principalement des développements denses avec beaucoup d’activité, i.e. où il y a beaucoup plus d’énergie qui entre qu’il n’en sort. Les quartiers résidentiels « denses » comme on a à Québec sont loin de ressembler à un centre-ville de quelques millions d’habitants, et il suffit d’un développement résidentiel assez éco-énergétique, même très dense, pour que le problème des îlots de chaleurs ne se pose plus.

    Alors peut-on passer à autre chose que ce non-problème?

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  61. Carol

    2 juin 2009 à 15 h 47

    « Alors peut-on passer à autre chose que ce non-problème? »

    ????

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  62. Gilbert

    2 juin 2009 à 20 h 02

    Fernand à dit: (encore … soupir)
    Fernand
    1er juin 2009 à 23 h 36

    Je crois plutôt qu’il faut décongestionner le centre-ville en créant des pôles secondaires. Ainsi on enverrait dans la périphérie les édifices à bureaux ce qui permettrait de raccourcir les trajets et peut-être inciter certains à se rendre à pied ou en vélo à leur travail devenu plus près. Tout ça part d,une hystérie au réchauffemnent climatique. Or, les alarmistes ont oubliés de dire … .

    Bla bla bla bla bla bla …. .

    *************************************

    Fernand j’ai de l’empatie face à ton ignorance volontaire! C’est triste, triste, triste jusqu’ou le dénie puisse sévir chez certains individus!

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  63. Gilbert

    2 juin 2009 à 20 h 12

    @Jean Cazes
    Jean connais tu un remède pour soigné l’impatience qui montes en moi après la lecture des commentaires de certains de nos concitoyens!

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  64. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    2 juin 2009 à 20 h 53

    Gilbert: certains font carrière en exprimant sur les ondes des âneries à longueur de jours. Ça fait des années que je dénonce cette médiocrité, une vieille spécialité, à Québec. Et le pire, ils sont grassement payés pour le faire, et souvent en le faisant sur le dos des gens les plus vulnérables de notre société!

    Toujours des âneries? Non! Soyons objectif: il y a parfois de « petites perles de lucidité » qui méritent réflexion. Un bel exemple: André Arthur, à Bons baisers de France, qui a déclaré récemment que la radio, ça « devient une affaire de filles qui rient ». Dans le contexte des coupures à l’information qui se dessine à la RC, en fidèle « radio-canadien » (et comme je connais personnellement plusieurs de ces artisans), je l’avoue, j’ai constamment à l’esprit cette savoureuse citation!

    Et pour revenir à Québec Urbain, il arrive parfois que Fernand nous sort, lui aussi, une p’tite perle. Et c’est peut-être pour ça qu’on le tolère; qu’on le trouve même attachant! ;-)

    Cela dit, veuillez me pardonner mon radotage: fallait que ça sorte…

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  65. Gilbert

    2 juin 2009 à 21 h 17

    @ Jean Cazes
    Non ça vas Jean il n’y a ici aucuns radotage pardonner moi plûtot ce moment d’impatience de ma part! La tolérance est une vertue qui ouvres l’esprit et nous fais envisager la vie sous de nouvelles perpectives pour nous faire grandir un peu plus à chaque jours qui passe!

    «Les arbres aux racines
    profondes sont ceux
    qui montent haut.»
    FRÉDÉRIC MISTRAL

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  66. Fernand

    2 juin 2009 à 21 h 31

    La concentration d’édifice en hauteur crée des ilots de chaleurs. On oublie que la climatisation des édifices comme le complexe G est fait à l’aide de tour à eau. Or, l’évaporation de l’eau autant des océans que des toits des édifices est responsable de la majeure partie des GES. Vous oubliez les toits plats avec des couvertures en goudron. Ça attire la chaleur et fait évaporer l’eau de pluie qui s’y ramasse y compris la neige qui s’y accumule. C’est pour ça que plusieurs envisagent les toits végétaux. Si vous avez le moyen de vous en payer une pourquoi pas. Moi ma participation est que le bardeau de mon toit n’est pas noir ce qui attire moins les rayons du soleil. Je remarque que mon idée est suivie de plus en plus…

    Les autos ne rejettent pas du CO2 mais du CO (monoxyde de carbone) qui a besoin d’une particule d’oxygène produit par les végétaux pour devenir le CO2. C’est pourquoi il est nocif pour l’homme car enfermé avec des émanations de monoxyde de carbone, il nous enlève l’oxygène dont on a besoin pour vivre… Mais un coup qu’il est de venu du CO2, il est neutralisé. Saviez-vous qu’on se sert du CO2 dans des produits alimentaires ou de la glace sèche ???

    Le CO2, ce monstre décrié par les suppôts de l’ONU: Le GIEC, a beaucoup d’utilisations, dont :

    1)l’extinction des feux : beaucoup de datacenters (salles de serveurs d’ordinateurs) ou de salles des archives sont équipées d’un système qui, en cas d’incendie, remplit la salle de CO2 ce qui a pour effet d’éteindre le feu ;
    2) composant pétillant dans les boissons gazeuses ;
    3) en aquariophilie et culture sous serre pour une meilleure croissance des plantes ;
    4) en emballages à atmosphère contrôlée comme élément neutralisant ;
    5) en distribution d’eau potable, associé au carbonate, pour relever la dureté de l’eau (TH) des eaux trop agressives ;
    6) solubilisation du calcaire dans les eaux dures (TH > 25°F) ;
    7) les pompes à bière. En étant en contact avec la surface de la bière, il évite son oxydation et prolonge sa conservation, contrairement à un compresseur utilisant de l’air (ambiant) ;
    8) on se sert aussi parfois du CO2 dans les grands abattoirs de porcs afin de les insensibiliser avant de les saigner.
    (source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Neige_carbonique )

    vOILÀ ENCORE UNE FOIS LES GRANDES PEURS DES ALARMISTES DÉSOUFFLÉES COMME DES BALLONS

    Jean Cazes tes insinuations sont partisanes et non scientifiques…

    Gilbert lit ce qu’il veut lire

    C’est vrai que je dis la VÉRITÉ QUI DÉRANGE, c’est pour ça qu’on m’affuble de tous les noms…

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  67. Fernand

    2 juin 2009 à 21 h 32

    La concentration d’édifice en hauteur crée des ilots de chaleurs. On oublie que la climatisation des édifices comme le complexe G est fait à l’aide de tour à eau. Or, l’évaporation de l’eau autant des océans que des toits des édifices est responsable de la majeure partie des GES. Vous oubliez les toits plats avec des couvertures en goudron. Ça attire la chaleur et fait évaporer l’eau de pluie qui s’y ramasse y compris la neige qui s’y accumule. C’est pour ça que plusieurs envisagent les toits végétaux. Si vous avez le moyen de vous en payer une pourquoi pas. Moi ma participation est que le bardeau de mon toit n’est pas noir ce qui attire moins les rayons du soleil. Je remarque que mon idée est suivie de plus en plus…

    Les autos ne rejettent pas du CO2 mais du CO (monoxyde de carbone) qui a besoin d’une particule d’oxygène produit par les végétaux pour devenir le CO2. C’est pourquoi il est nocif pour l’homme car enfermé avec des émanations de monoxyde de carbone, il nous enlève l’oxygène dont on a besoin pour vivre… Mais un coup qu’il est de venu du CO2, il est neutralisé. Saviez-vous qu’on se sert du CO2 dans des produits alimentaires ou de la glace sèche ???

    Le CO2, ce monstre décrié par les suppôts de l’ONU: Le GIEC, a beaucoup d’utilisations, dont :

    1)l’extinction des feux : beaucoup de datacenters (salles de serveurs d’ordinateurs) ou de salles des archives sont équipées d’un système qui, en cas d’incendie, remplit la salle de CO2 ce qui a pour effet d’éteindre le feu ;
    2) composant pétillant dans les boissons gazeuses ;
    3) en aquariophilie et culture sous serre pour une meilleure croissance des plantes ;
    4) en emballages à atmosphère contrôlée comme élément neutralisant ;
    5) en distribution d’eau potable, associé au carbonate, pour relever la dureté de l’eau (TH) des eaux trop agressives ;
    6) solubilisation du calcaire dans les eaux dures (TH > 25°F) ;
    7) les pompes à bière. En étant en contact avec la surface de la bière, il évite son oxydation et prolonge sa conservation, contrairement à un compresseur utilisant de l’air (ambiant) ;
    8) on se sert aussi parfois du CO2 dans les grands abattoirs de porcs afin de les insensibiliser avant de les saigner.
    (source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Neige_carbonique )

    VILÀ ENCORE UNE FOIS LES GRANDES PEURS DES ALARMISTES DÉSOUFFLÉES COMME DES BALLONS

    Jean Cazes tes insinuations sont partisanes et non scientifiques…

    Gilbert lit ce qu’il veut lire

    C’est vrai que je dis la VÉRITÉ QUI DÉRANGE, c’est pour ça qu’on m’affuble de tous les noms…

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  68. Fernand

    2 juin 2009 à 21 h 42

    Manu je sais que Québec n’est pas Pékin et c’est tant mieux. Ici on respire, alors pourquoi densifier si au bout du compte on se ramasse avec les mêmes problèmes que les grandes villes. Déjç Montréal a ce problème au centre-ville…

    Et puis je n’ai pas seulement cité Pékin. Que penser de Barrow en Alaska. C’est plus petit que Québec et on a pu observer le même phénomène de chaleur urbaine…

    L’objet de l’article de Mmme Normandeau est justement de chercher à densifier dans le centre-ville et faire la même erreur de toutes les grandes villes. Je préfère l’air de la banlieue…

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  69. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    2 juin 2009 à 21 h 45

    « (…) Je préfère l’air de la banlieue… »

    Fuite en avant, manque d’éthique, croyance que les ressources de la planète sont illimitées…

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  70. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    2 juin 2009 à 22 h 12

    « Jean Cazes tes insinuations sont partisanes et non scientifiques… » – Fernand

    Une étude scientifique (et elles sont nombreuses), trouvée par hasard sur le web… et sûrement pas financée à coût de millions par (et au profit) des pétrolières et des gouvernements de droite:

    http://www.notre-planete.info/actualites/actu_1134_etalement_urbain_Europe_defi_environnement.php

     » (…) L’étalement des zones urbaines nécessite un accroissement de l’approvisionnement en énergie et s’assortit inévitablement du développement d’infrastructures, principalement de transport, et de l’utilisation de surfaces plus importantes. Ces évolutions nuisent à l’environnement naturel et augmentent les émissions de gaz à effet de serre – ce qui favorise le changement climatique – et entraîne par ailleurs des pollutions atmosphériques et sonore accrues. Par conséquent, l’étalement urbain a un impact direct sur la qualité de vie des personnes vivant dans et à proximité des zones urbaines. (…) »

    Pas besoin d’un doctorat pour comprendre le gros bon sens… sans tomber forcément dans l’écoterrorisme que je condamne en passant!!

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  71. Manu

    2 juin 2009 à 23 h 54

    Fernand : vous nous avez déjà sorti cette idiotie sur le CO et le CO2. Je vous ai déjà répondu là-dessus. C’est carrément n’importe quoi ce que vous dites. Allez faire des cours de chimie du secondaire…

    C’est curieux qu’à votre âge vous n’ayez toujours pas compris que quand on comprend rien à quelque chose et qu’on n’y connaît rien non plus, il vaut mieux se taire que de montrer notre stupidité.

    Et les climatiseurs qui font des GES avec leur vapeur d’eau? Franchement… là-dessus je vous ai aussi répondu que c’était n’importe quoi, explications à l’appui.

    Maintenant, laissez parler ceux qui s’y connaissent et cessez d’emmerder tout le monde avec vos conneries enfantines. VOUS NE SAVEZ PAS E QUOI VOUS PARLEZ! Comment dois-je vous l’expliquer?

    Et je le répète, si on densifie intelligement, par exemple la cité verte, on ne risque pas de créer d’îlôt de chaleur plus que dans votre cour avant. Ce n’est pas la densification le problème, mais ce qu’on y met. Alors trouvez moi des études qui parlent d’îlot de chaleur dans des quartiers « verts » et on en reparlera.

    À Barrow, en Alaska, à force de chauffer leurs cabanes, ils finissent par chauffer le dehors aussi… dans leur cas, le problème n’est pas la chaleur (ils peuvent passer de -30 à -25 par exemple… wow!) mais plutôt l’énergie gaspillée.

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  72. Manu

    2 juin 2009 à 23 h 57

    @Carol : je parlais des îlots de chaleurs qui ne sont pas un problème si on développe sur le sens du monde…

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  73. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    3 juin 2009 à 09 h 10

    Parlant de rigueur dans l’information, ce billet, que je viens de rédiger:

    http://blog.monlimoilou.com/index.php/2009/coupes-dans-linformation-locale-a-radio-canada-une-petition-en-ligne

    ;-)

    Jean cazes
    MonLimoilou.com

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  74. Carol

    3 juin 2009 à 09 h 32

    Allez vite Fernand arrêter de respirer vous produisez trop de Gaz carbonique… ;-D
    (petite « joke » en passant)

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  75. Fernand

    3 juin 2009 à 12 h 48

    Jean Cazes tu manques carrément d’argument pour dire n’importe quoi. Voici ce que le Docteur Richard Lindzen qui a quiité le GIEC par principe dit de vos insu=inuations que ce q.

    Tu t’appuie sur des données fausses puiblicisées par le GIEC qui lui est grassement payé par le don d’un milliard de dollars US fourni par un ami de Gore, Ted Turner grand patron de CNN.

    http://www.un.org/News/fr-press/docs/2006/DEV2594.doc.htm

    D’ailleurs Ted Turner est le président de cette « fondation » des Nations Unies.

    Et toi tu te laisse embarquer dans leur jeu qui est de créer un gouvernement mondial. C’est pire que le fédéral à endurer pour un séparatiste comme toi Jean…

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  76. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    3 juin 2009 à 12 h 53

    « C’est pire que le fédéral à endurer pour un séparatiste comme toi Jean… » – Fernand

    J’ai voté « Non » au deux référendums, Fernand; même que je suis « radio-canadien »! ;-)

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  77. Fernand

    3 juin 2009 à 13 h 48

    Jean cazes rtu manque d’argument pour me sortir que tout ce qui heurte la théorie du GIEC est achetée par les pétrolières. C’est faux c’est le contraire.

    Je t’invites à lire ce communiqué de l’ONU qui montre comment le GIEC est financé par un don d’un milliard US d’un ami de Gore, Ted Turner, grand patron de CNN.

    http://www.un.org/News/fr-press/docs/2006/DEV2594.doc.htm

    N Maintenant explique-moi d’ou provient l’argent des budgets de 105 millions annuellement de Greeapeace. les hommes de main de l’ONU qui ont droit de siéger officiellement aux rencontres du GIEC. À Bali, les groupes envrionnementaux avaient 400 sièges officiels dans l’assemblée dite scientifique.

    Quant à la lutte québécoise aux sables bitumineux, je rétorque ces communiqués qui parlent par eux-mêmes et ce n’est pas le discours qu’on entend habituellement au risque de me faire taxer de conservateur encore une fois. Mais ici, on a un goutrou, Gilles Duceppe qui mène ses ouailles à la terre promise…

    http://www.nrcan.gc.ca/media/newcom/2007/200718-fra.php

    http://www.nrcan.gc.ca/media/newcom/2008/200808-fra.php

    C’est drôle mais l’INRS québécoise est associé aux pétrolières et aux gouvernements dans le projet I-CAN pour la capture du carbone sous la direction de l’Alberta Research Council.

    Le Centre I-CAN pour la conversion du dioxyde de carbone (CO2) permettra de mettre au point des réseaux de microalgues qui auraient la capacité de capter jusqu’à 100 millions de tonnes de CO2 provenant des industries, telles que les usines alimentées au charbon et les projets d’exploitation des sables bitumineux. L’algue, une source précieuse de biomasse, pourra ainsi être transformée en une gamme de produits industriels et de sous-produits comme le gaz naturel renouvelable, l’hydrogène et les biocombustibles.

    Dire que les pétrolièeres ne font rien est un discours usé et biaisé. Jean va visiter les sites de ces compagnies. Tu vas t’apercevoir que ces compagnies investissent dans des énergies alternatives car elle sont conscientes que le pétrole est non renouvelable comme tout le monde. Mais ils ne partent pas en peur et investissent dans la recherche pour se repositionner.

    Déjà Shell a une filiale dans l’hydrogène, et est en train d’organiser la distriburion en Europe de même qu’Air Liquide Canada. BP investi dans les capteurs solaires et Gaz de France a une filiale dans l’Éolien. Faut arrêter de lancer des faussetés et nourrir des légendes urbaines anticapitalistes…

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  78. Carol

    3 juin 2009 à 15 h 55

    « Déjà Shell a une filiale dans l’hydrogène, et est en train d’organiser la distriburion en Europe de même qu’Air Liquide Canada. »

    Oublie l’hydrogène, comme carburant primaire pour le transport.

    voici ce que Pierre Langlois auteur de rouler sans pétrole partageait comme info dernièrement:

    « l’administration Obama n’y va pas avec le dos
    de la cuillère en ce qui concerne les véhicules
    routiers de demain. Dans le budget 2010, les
    subventions pour la recherche dans le domaine
    des piles à combustible et de l’hydrogène sont
    coupées de 100 millions de dollars (M$) par
    rapport au budget de 169 M$ de 2009, une coupure
    de 60%.

    Rappelons que le budget avait déjà été coupé en
    2009 par l’administration Obama par rapport à
    2008, où le budget était de 212 M$. Le budget ne
    sera plus que de 69 M$ en 2010, et sera alloué
    aux recherches sur les piles à combustible
    stationnaires pour produire de l’électricité et
    de la chaleur (cogénération). Plus de
    subventions pour le développement des piles à
    combustible dans le transport.

    L’administration Obama concentre la recherche
    sur les solutions plus réalistes à court et
    moyen terme, soit les véhicules hybrides
    branchables et les biocarburants de 2e
    génération.

    Bref…

    « Le Centre I-CAN pour la conversion du dioxyde de carbone (CO2) permettra de mettre au point des réseaux de microalgues qui auraient la capacité de capter jusqu’à 100 millions de tonnes de CO2 provenant des industries, »

    Un gros « pansement » sur une jambe de bois, car on ne règle point le problème à la source. On ne change point les façon de faire polluante … Juste une solution temporaire de transition, ou peut-être tous simplement rester dans une sorte statut-quo sans vouloir changer quoi que ce soit !

    C’est à y voir !

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  79. Erick

    3 juin 2009 à 17 h 03

    Le fameux véhicule électrique développé à coup de milliards va régler un problème environnemental, l’émission de CO2, mais va en créer un autre aussi désastreux: la disposition des batteries. Et encore, ici au Québec on produit de l’électricité propre, dans la majorité des pays cette électricité est produite à partir du charbon (très polluant), du pétrole (on tourne en rond), du nucléaire (le plus « clean » après l’hydro-électricité, malgré le risque de catastrophe et le problème des déchets), et plusieurs dont les USA s’enlignent maintenant vers un faux espoir, l’éolienne (une structure gigantesque a peine capable d’allumer une ampoule électrique).

    Et au niveau urbain, le réseau routier pour l’automobile individuelle a une limite qui s’atteint rapidement. On peut pas élargir les autoroutes indéfiniment. En fait tous les modes de transport finissent par saturer. Il y a même un RER (train de banlieue qui se transforme en métro-express sous le centre-ville) à Paris qui sature.

    Faut se rendre à l’évidence: ca fait 100 ans que les gouvernements engloutissent des milliers de milliards autour de l’automobile. Un mauvais choix de société magistral qu’il sera très long à corriger, vu qu’on a pas de véritable remplacement. Les transports en communs de toutes sortes permettent de palier à une partie du problème, mais seulement une partie du problème, car si ca fait 100 ans qu’on développe l’automobile proprement dite, le développement des chemins qu’elles utilisent datent presque de la préhistoire.

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  80. Fernand

    3 juin 2009 à 17 h 47

    Carol ne me parle pas d’Obama qui est en train de mettre tous les États-Unis en faillite tellement il englouti des sommes astronomiques partout. Il vient d’étatiser GM en devenant proprio à 60%. L’État n’a jamais été un bon gestionnaire de nos avoirs et moins l’État va venir me régenter ou fouiller dans mes poches, mieux je me sentirai…

    Je suis le dossier de l’hydrogène depuis mon voyage à la Baie de James en 1983. J’y avait remarqué une petite bâtisse sur le barrage. C’était une compagnie américaine, Stuart Energy. qui produisait à l’échelle expérimentale de l’hydrogène liquide par électrolyse et alimentait 4 avions cargo à Mirabel. En jasant avec les ingénieurs de la compagnie, j’ai réalisé qu’elle était inscrite en bourse et avait un site internet. Je me suis abonné à leurs nouvelles et suivi leur évolution. Il y a eu fusion avec une compagnie de l’Ontario Hydrogenics. Je t’invite consulter leur site, ça va t’ouvrir les yeux.

    http://www.hydrogenics.com/default.asp

    Quant aux sables bitumineux qui peuvent fournir de façon autonome toute l’Amérique du nord pour les prochains 250 ans, c’est un gros pansement et une source de richesse qui nous permet de passer à travers la crise finanicèere mieux que tous les autres pays industrialisés. Pourtant Vivian Song,la journaliste écolo a publié un reportage élogigieux sur I-CAN et tu l’as sûrement pas lu. Moi j’ai conservé l’aricle…

    Cette semaine Exxon annonce son projet d’investir 8 milliards dans de nouvelles exploitations albertaines. (Réf: La Presse Affaires). Tant que le niveau du prix du baril de pétrole se maintiendra au dessus du 50$ US, cette exploutation sera rentable. La baisse récente avait créé un arrêt des chantiers qui reprennent tranquillement avec la hausse récente du baril…

    Je viens de lire un article sur les panneaux solaires. Ils ne sont pas aussi verts qu’on le penses…

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  81. Gilbert

    3 juin 2009 à 18 h 42

    Fernand toujours en train de Fernandiser!! Hey! Hey! Hey! Triste, triste, triste de voir un homme de votre âge se ridiculiser ainsi!

    Vos actions en bourse mon cher Fernand risque d’en prendre un coup à la baisse quand les voitures roulerons à l’électricité d’ici quelques années et que la classe moyenne n’auras plus les moyens de se payer une automobile! D’ailleurs les États-Unis se prépare à faire la transition tandis que votre Premier Ministre Harper commence à comprendre qu’il ferais mieu lui aussi de se préparer à faire la transition pour le Canada!

    Vous voyez Fernand vous de plus en plus seul avec les Exxon de ce monde dans votre camps des loosers de ce monde!

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  82. Carol

    3 juin 2009 à 18 h 57

    « Fernand toujours en train de Fernandiser!! »

    Plier en deux |D

    J’avoue que c’Est une des meilleures expressions lues sur ce site. sans rancune !

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  83. Max

    3 juin 2009 à 21 h 31

    Québec Urbain devient de plus en plus insuportable. Le ton est souvent négatif, confrontateur pour rien. Les blogs urbains des autres villes ne sont pas comme ça, en tout cas ceux qui m’intéressent. Fernand Trudel, vous avez un blog maintenant. SVP, ceux qui aiment vous lire migreront vers celui-ci. Arrêtez de monopoliser ce blog à longueur de journée. Ou du moins réduisez le nombre de commentaires et essayer de rester dans le sujet. Kyoto, Al Gore, envrionmenteurs sur n’importe lequel sujet, que ce soit la Fontaine de Tourny ou une photo d’un banc de parc des Plaines…ça suffit!

    Participant à Québec Urbain depuis 2006, je demande à un modérateur de s’imposer svp.

    ——
    Pour en revenir au sujet.
    « Je préfère l’air de la banlieue… »
    Peut-être à Québec, qui demeure aux yeux de monde une aglomération respectable mais relativement petite. Le meilleur exemple de sur-périurbanisation est, à ma connaissance, Los Angeles. L’air y est exécrable et la Ville doit investir des milliards pour améliorer les choses. La pollution est directement reliée à la surutilisation de l’automobile et la faible densité.

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  84. Fernand

    3 juin 2009 à 22 h 32

    Gilbert tu va rire jaune en regardant ces sites

    infrastrutures routières construites

    http://hydrogenhighway.ca.gov/

    http://www.hydrogencarsnow.com/hydrogen-highway.htm

    http://www.hydrogenhighway.ca/code/navigate.asp?Id=265

    http://www.usnews.com/usnews/biztech/articles/051201/1commerce.htm

    http://www.scandinavianhydrogen.org/

    http://www.hydrogencarsnow.com/eu-hydrogen-highway.htm

    http://www.roadtraffic-technology.com/projects/hydrogenhighway/

    Maintenant du coté des autos:

    En Californie voici els autos qui circulent sur son Highway

    http://www.cafcp.org/progress/vehicles

    HONDA FCX CLARITY 2009
    At a press conference hosted by the New York International Auto Show and Mobil 1 at the Jacob Javits Center in, New York, the Honda FCX Clarity was named the 2009 World Green Car. The FCX Clarity was chosen from an initial entry list of 22 contenders nominated by 59 World Car jurors from 25 countries worldwide.

    « The FCX Clarity is a symbol of the progress we have made with fuel cell vehicles and our commitment to developing vehicles that promote renewable energy supplies and zero-emissions transportation, » said Steve Center, vice president, national Marketing Operations for American Honda.

    The FCX Clarity, a sleekly styled hydrogen fuel cell-powered sedan currently available on a limited lease-basis, is propelled by an electric motor that runs on electricity generated by an on-board fuel cell stack. The vehicle’s only emission is water, and its fuel efficiency is up to three times that of a modern gasoline-powered automobile and two times that of a gasoline-powered hybrid vehicle.

    Mazda Premacy Hydrogen RE Hybrid au Japon

    Mazda Motor Corporation today commenced commercial leasing of the Mazda Premacy Hydrogen RE Hybrid, a hydrogen hybrid vehicle that offers substantially improved performance thanks to the addition of a hybrid system. Mazda is the world’s first automobile manufacturer to begin commercial leasing of a hydrogen hybrid vehicle ; the first units will be delivered to local government authorities and energy-related companies during 2009.

    Nissan X-TRAIL à pile à combultible

    Travaillant d’arrache-pied à l’avenir commercial de la pile à combustible, Nissan teste des véhicules équipés de cette nouvelle technologie depuis fin 2008 et a entamé en février de cette année un programme de tests « grand froid » dans son centre d’essai de Hokkaido.

    Mais je dois dire que la découverte du MIT des nanotubes de carbone révolutionnera le marché de l’automobile.

    http://www.clean-auto.com/Les-nanotubes-de-carbone-pour-des-piles-a-combustible-moins-cheres-et-plus-performantes?5235.html

    Stokage de l’Hydrogène

    France – jeudi 27 novembre 2008
    Un réservoir à hydrogène satisfait les critères européens pour le stockage

    Parmi les différentes technologies de stockage embarqué étudiées (stockage solide, cryogénique et hyperbare), les experts de la Commission européenne et les représentants des 40 partenaires européens (industriels et académiques) du projet ont fait le point sur 54 mois de développements focalisés sur les technologies de stockage de l’hydrogène.

    Ces réservoirs, développés en partenariat avec le fabricant Ullit, stockent l’hydrogène sous forme gazeuse. La partie interne du réservoir (le liner), assurant l’étanchéité de l’hydrogène, est réalisée en polymère selon un procédé innovant de synthèse et transformation simultanées. _ Cette technologie a fait l’objet de brevets par le CEA et AIR LIQUIDE et est licenciée à la société ULLIT pour son industrialisation.

    L’utilisation de 3 réservoirs compacts du même format que celui présenté à StorHy, soit 3 fois 34 litres de volume interne, permet d’embarquer environ 4,5 kg d’hydrogène. Cette configuration permet d’envisager avec les technologies actuelles une autonomie d’environ 500 km pour une voiture familiale équipée d’une pile à combustible PEMFC de 70 à 80 kW.

    Le CEA poursuit ses recherches au sein de l’ANR, d’OSEO et de la ‘Joint Technology Initiative’ européenne sur l’hydrogène. Ces recherches visent à accélérer la maturité industrielle de ce type de réservoirs et faciliter leur intégration dans un véhicule : optimisation des densités d’énergies stockées, mise en place de la connectique et des capteurs pour la maintenance ; adaptabilité de la forme du réservoir au véhicule ; intégration dans un système complet PAC et surtout réduction des coûts.

    ( source : http://www.storhy.net/ )

    La technologie est prête et dans 10 ans, on se reparlera…

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  85. Fernand

    4 juin 2009 à 09 h 40

    Jean Cazes tu es en train accréditer la thèse des ilots de chaleur urbain vérifié scientifiquement des centaines de fois car je n’ai cité que quelques études qunad tu dis : « L’étalement des zones urbaines nécessite un accroissement de l’approvisionnement en énergie et s’assortit inévitablement du développement d’infrastructures, principalement de transport, et de l’utilisation de surfaces plus importantes. Ces évolutions nuisent à l’environnement naturel et augmentent les émissions de gaz à effet de serre – ce qui favorise le changement climatique – et entraîne par ailleurs des pollutions atmosphériques et sonore accrues. »

    Or, qu,en penses le GIEC, la bible des alarmistes qui veulent sauver la planète ?

    Dans son dernier rapport 2007, le GIEC assure que « les effets des ICU sont réels, mais locaux, et ont une influence négligeable sur les valeurs [de hausse] (moins de 0,006°C par décennie sur les terres et zéro sur les océans ». Le chiffrage est remarquablement précis : six millièmes de degré par décennie, six centièmes par siècle.

    On sait tous l=q

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  86. Fernand

    4 juin 2009 à 09 h 49

    Jean Cazes qu’est-ce que le référendum fait dans ce débat ??? J’ai voté OUI deux fois et la dernière fois Parizeau a sorti l’argent de la Caisse de dépôt pour couvrir les tumultes qui s’en suivraient et que Mme Marois a évalué à 5 ans. Après avoir perdu 40 milliards récemment, je crois que le prochain référendum engloutira le reste de nos épargnes et nous n’aurons plus de marge de manoeuvre…

    Mais ici on parle de densifier davantage la ville, je répond que c’est augmenter le niveau de l’ilot de chaleur urbain. C’est clair c’est un mauvais choix…

    Demandez vous pourquoi des gens en moyen à la retraite achètent des fermes en campagne. Ils veulent fuir la vie trépidante de la ville et la chaleur que ça occasionne…

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  87. Manu

    4 juin 2009 à 12 h 14

    Je me demande aussi pourquoi une bien plus grande quantité des gens en moyen à la retraite passent des semaines quand c’est pas des mois par année « dans le sud »…

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  88. Max

    4 juin 2009 à 15 h 22

    M. Trudel, svp….!!!!!

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  89. Gilbert

    5 juin 2009 à 13 h 09

    Fernand
    Gilbert tu va rire jaune en regardant ces sites
    infrastrutures routières construites …
    ****************************************

    Les chiens aboient mais la caravane passe!

    «Vos pensées ont fait de vous ce
    que vous êtes, et elles feront de
    vous ce que vous deviendrez à
    partir d’aujourd’hui.»
    CATHERINE PONDER

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  90. Simon

    5 juin 2009 à 15 h 13

    « Demandez vous pourquoi des gens en moyen à la retraite achètent des fermes en campagne. Ils veulent fuir la vie trépidante de la ville et la chaleur que ça occasionne… »

    C’est bizarre, à regarder mon quartier, j’ai plus l’impression qu’ils vendent leurs maisons et quittent les banlieux pour s’installer dans de coûteux condos plus près du centre.

    En tous cas, argumenter contre Fernand c’est un peu comme crier au feu dans une maison pour sourd.

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  91. Marc-Olivier Labrecque

    6 juin 2009 à 10 h 19

    Le principe de conservation des écosystèmes est de la garder intacte et intègre. Si le boisé Nelson est développer à 40%, je ne crois plus qu’il restera intacte. L’activité d’origine humaine va se rapprocher(et surement dégarder plus encore le site), dissuadant les espèces plus craintive nécéssitant de l’espace. Diminué, isolé, le boisé va devenir comme le petit parc à coté de chez vous rempli d’écureuils.

    Je comprends aussi les considération de Fernand à propos de l’étalement urbain dans la couronne nord surtout. Il faut que cela diminue mais les écosystèmes nordique sont mieux protégés que ceux du sud. La sapinière à bouleau jaune de Stoneham est vraiment pas en danger. Les forêts d’essence noble comme le chêne, la pruche et le caryer se font de plus en plus rare à Québec et au Québec. Pour tout dire, c’est beaucoup plus facil de protéger des territoires nordiques, publiques, que ceux du sud appartenant à des privés. Aille mais le boisé Neilson c’est publique ca l’appartient à la ville. Pourquoi alors c’est difficile de le protéger? On veut densifier dit-on…ok…wow

    Ca fait un boutte que j’ai pas fait un tour sur le blog. Salut à tout le monde!

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  92. Marc-Olivier Labrecque

    6 juin 2009 à 10 h 24

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  93. Carol

    6 juin 2009 à 13 h 27

    Effectivement comme tu dis Marc-Olivier, c’Est une question d’équilibre. Souvent on a beaucoup fait d’excès sans tenir compte de l’équilibre de tous écosystème et souvent par sentiment de supériorité face à toutes autres formes de vies.

    Après on paye pour ces erreurs. :(

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  94. Gilbert

    7 juin 2009 à 00 h 24

    Simon tu as dit
     » … . En tous cas, argumenter contre Fernand c’est un peu comme crier au feu dans une maison pour sourd. »

    Simon tu as bien saisie la personnalitée de Fernand! En même temps que je ris, je reste sincèrement triste de voir Fernand ainsi … .

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