Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Le Terrain Esso: Une illustration juste ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 septembre 2013 43 commentaires

* Le projet

Terrain Esso

* Le tract

Terrain Esso

Un tract circule dans le quartier Montcalm avec une illustration qui ne semble pas conforme au projet d’édifice projeté car elle situe l’immeuble tout au bord de l’avenue Cartier. On croirait un rappel d’un litige qui a eu lieu pour l’Îlot Irving où une esquisse avait amené les gens devant les tribunaux.

Un billet précédent

* Mise à jour: L’auteur de l’illustration y apporte une correction

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou.


43 commentaires

  1. jfr1954 Utilisateur de Québec Urbain

    16 septembre 2013 à 20 h 35

    Certains opposants semblent en effet vouloir refaire le coup de l’illustration truquée de l’Îlot Irving…

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    • BF Luc

      18 septembre 2013 à 22 h 36

      Je viens d’analyser les photos que j’ai prises ce matin. Et d’après la photo que j’ai prise à partir du coin sud-ouest de l’intersection Fraser/Cartier avec le mêm cadrage sur l’illustration, les proportions respectent la réalité et celles de l’illustration du promoteur.

      Quelle belle tempête dans un verre d’eau! Et c’est vraiment de l’acharnement contre les opposants à la dérogation des règles actuelles.

      Si le promoteur souhaite amené les auteurs de ce tract devant les tribunaux compte tenu de la version corrigée je leur souhaite bonne chance. C’est certain que ce n’est pas de cette perspective que le promoteur pourra attirer les acheteurs par contre si le projet se réalise sous cette forme cette perspective sera ce que je verrai en revenant de chez Sillons. ;-)

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      • PAM

        19 septembre 2013 à 12 h 46

        D’abord il faut regarder la hauteur des étages de l’immeuble tel que représentée sur le croquis. Curieusement celle-ci varie d’un étage à l’autre. Plus précisément ses premiers étages s’alignent avec ceux du cinéma Cartier ainsi que ceux de l’immeuble Zone. Cependant ces derniers ont été bizarrement  »aplatis » sur leurs étages respectifs. Par contre, les trois derniers étages suivant de l’immeuble Esso sont plus élancés et du même coup plus haut que les étages inférieurs…
        D’autre part, si vous regardez le positionnement de l’immeuble avec la volumétrie de son voisin de droite, vous constaterez que celui-ci est trop avancé sur la place… Effectivement, le coin de l’immeuble s’aligne avec la verrière du cinéma ce qui n’est pas juste en réalité. Finalement, la façade donnant sur la placette devrait fuire davantage et être beaucoup moins présente que ce qui est présenté sur cette vue.
        Au total, l’ensemble de ces distorsions fait paraître l’immeuble plus haut et plus massif qu’il ne l’est en réalité.

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      • BF Luc

        19 septembre 2013 à 14 h 04

        @ PAM

        « Effectivement, le coin de l’immeuble s’aligne avec la verrière du cinéma ce qui n’est pas juste en réalité. »

        Cliquez sur l’image pour l’agrandir et vous constaterez que cette affirmation est fausse.

        Pour ce qui est de la ligne de fuite, les photos que j’ai prises avec la même perspective que l’image du promoteur et celle du tract (version corrigée) ne confirme pas votre théorie que la façade devrait être moins présente et que les étages du haut ont trop de hauteur (peut-être un peu pour le dernier étage mais c’est mineur).

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      • PAM

        19 septembre 2013 à 16 h 41

        Bonjour BF,

        D’abord, si l’on regarde l’implantation il faudrait reculer l’immeuble d’une longueur équivalente pour un retrait total de +/- 7 mètres ce qui n’est pas le cas sur l’image. Sur cette dernière nous avons un retrait d’au plus 3,5 mètres…

        D’autre part, comme exercice, je vous demanderais de prendre une feuille de papier et de la placer au toit de l’immeuble zone et de tracer une ligne. Puis faite le même exercice avec le voisin situé à la droite du cinéma Cartier. En rejoignant les deux lignes vous allez avoir ce que l’on appel dans le jargon  »perspectiviste »: un point de fuite. En théorie tout façade parallèle ont tous le même point de fuite, c’est l’angle de fuite qui varie selon la hauteur du bâtiment. Si le bâtiment est plus haut que ces voisins, l’angle sera plus prononcé. Ici c’est le contraire qui se produit. C’est étrange parce que les façades sont parallèles entre elles…

        Finalement la volumétrie de l’immeuble est fausse. La façade principale du volume en porte-à-faux n’est pas parallèle aux trois façades précédentes. Au contraire celle-ci à un angle d’environ 4 degré par rapport aux trois autres façades discutées précédemment. Le coin droit de ce volume devrait ressortir au moins deux fois plus que ce qui est montré ici et reculer à l’autre extrémité en allant vers René-Lévesque. Cela ne se voit pas sur l’image. Les deux façades étant parallèles sur ce dessin… Bizarre…

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      • BF Luc

        19 septembre 2013 à 17 h 01

        « Sur cette dernière nous avons un retrait d’au plus 3,5 mètres… »

        De par les références que j’ai de l’intérieur du cinéma je situe la façade plus loin de 2 fois ma grandeur donc forcément plus que 3,5 mètres de la façade de l’édifice du cinéma. Je ne suis pas très motiver à pousser l’analyse plus loin. Je crois que je vais cesser de mettre des efforts à essayer de nuancer les propos des 2 camps dans ce débat. :-(

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      • PAM

        19 septembre 2013 à 17 h 23

        M.BF,

        Le retrait de +/- 3,5 mètres correspond en fait à la hauteur de la verrière.

        En perspective à deux points de fuite lorsqu’une des fuyantes est parallèle, c’est le cas des façades sud du zone et de l’immeuble Esso, les verticales et les horizontales se trouvant sur cette fuyante (qui n’en est pas une…) sont proportionnelles à leur longueur. Donc, si la hauteur de la verrière est de 4 mètres alors le retrait serait de 4 mètres aussi étant donné que les deux forment le coin d’un carré. Mais on voit bien que cela ne fait pas 7 mètres…

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      • BF Luc

        19 septembre 2013 à 18 h 24

        M. PAM,

        Pouvez-vous nous faire un croquis qui correspond à votre réalité et le publier ici? Je présume que M. Gobeil se fera un plaisir d’ajouter votre croquis afin de faire avancer la vérité dans ce dossier si vital pour la ville de Québec.

        Je pourrai ainsi comparer avec ma photo en ce qui concerne les autres bâtiments (autres que l’immeuble du promoteur).

        ;-)

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  2. humanité inc.

    16 septembre 2013 à 23 h 21

    Je vais faire mon avocat du diable, et dire que le dessin représente une vue prise de Cartier et le coin du bâtiment projeté arrive au milieu du bâtiment du Brunet, et non au coin de la rue. C’est la perspective qui est bizarre, j’en conviens, mais l’emplacement semble exacte.

    Je n’ai rien contre ce projet, mais j’en ai contre leur ligne de perspective!

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    • BF Luc

      17 septembre 2013 à 14 h 08

      Sur l’illustration du promoteur la façade ouest est plus proche du trottoir sur Cartier que la partie de la toiture du Cinéma Cartier qui n’est pas plate (en forme d’arche?). Du point de vue de l’autre illustration, la perspective amoindrie les distances.

      Où j’ai des doutes c’est quand au positionnement de la partie non plate de la toiture de l’édifice voisin (pharmacie Brunet – cinéma Cartier). Je ferai le test lors de ma prochaine visite sur Cartier.

      Si quelqu’un habitant tout près pouvait prendre une photo avec le même point de vue et la publier ça aiderait à trancher le débat de façon neutre et objective.

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      • BF Luc

        18 septembre 2013 à 22 h 39

        Les photos que j’ai prises ce matin m’auront donner tort en ce qui concerne le doute que j’avais. Entre ce que nos souvenirs nous disent et la réalité il y a une différence.

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  3. paradiso Utilisateur de Québec Urbain

    17 septembre 2013 à 00 h 28

    Les opposants aux projet ont tenté de faire avec les «moyens du bord», n’ayant pas accès aux infographies du promoteur.

    Il est vrai qu’on voit toujours ce projet sous ses deux angles les plus intéressants (depuis René-Lévesque, et depuis la rue Cartier près de l’intersection RL).

    Si les personnes en faveur de ce chef-d’œuvre – véritable monument d’audace architecturale – veulent bien diffuser une infographie depuis la rue Cartier à l’angle Fraser, ça va aider tout le monde à prendre une décision plus éclairée.

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    • simval

      17 septembre 2013 à 13 h 23

      À quoi ça sert de s’accrocher comme ça au « caractère » du quartier? Les quartiers tout comme les villes doivent évoluer, on ne devrait pas essayer de conserver ceux-ci dans le formaldéhyde. Si nos ancêtres avaient fait la même chose, il y aurait encore des fermes dans la majorité de la ville de Québec, dont Limoilou et Montcalm.

      Pourquoi est-ce que la forme ACTUELLE du quartier doit être maintenue à tout prix… pourquoi est-ce que les formes antérieures du quartier ne le devaient pas? Je comprends que les gens ont peur du changement (et c’est pourquoi changer le zonage serait excessivement difficile), mais à un moment donné, revenez-en! Parlez plutôt pour essayer de mieux intégrer le changement, plutôt que de simplement vous y opposer.

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      • Pierre-André

        17 septembre 2013 à 22 h 00

        Je répondrais simplement qu’il faut faire progresser les secteurs de la ville qui en ont bien besoin, par exemple les zones en friches ou les mers d’asphalte, mais on doit agir plus discrètement dans les quartiers dont la forme urbaine apparaît plus achevée. Montcalm possède cette unité du cadre bâti qui, à mon avis, invite à la prudence…

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  4. davedeux

    17 septembre 2013 à 06 h 37

    Je suis pour ce projet, mais je ne vois pas grand différence entre
    les deux plans.

    Ceci dit, ce sujet commence à devenir redondant. Cela ne sert à rien
    d’ouvrir un fil au moindre changement de clou dans ce projet.
    Je ne sais pas pourquoi on « badtripe » sur ce coin de rue en
    particulier. Si c’est un manque de sujet et voici un bon, l’îlot
    St-Vincent-de-Paul. Je vous suggère même un titre: « Une « dump »
    dans le centre-ville de Québec depuis 2007″.
    Je vous encourage.

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      17 septembre 2013 à 14 h 35

      Quant à ce dossier, un rappel: nous vivons dans une société de droit et actuellement, le propriétaire des lieux n’aurait aucune obligation légale de construire quoi que ce soit. Pour le terrain Esso, ce cas est fort symbolique de la dynamique actuelle quant à la densification et Québec Urbain va continuer à couvrir tous les évènements jusqu’à dénouement final.

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      • BF Luc

        17 septembre 2013 à 15 h 13

        Je dois admettre que davedeux marque un point concernant l’îlot
        St-Vincent-de-Paul.

        À chaque fois que je vois des touristes circuler dans ce secteur qui est autrement plus fréquenter par les touristes que le terrain Esso j’éprouve une grande honte.

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        17 septembre 2013 à 18 h 25

        Les touristes empruntent la côte d’Abraham pour aller en basse-ville ?

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      • BF Luc

        17 septembre 2013 à 19 h 29

        « Les touristes empruntent la côte d’Abraham pour aller en basse-ville ?  »

        En fin de semaine j’ai vu une touriste à bord du métrobus qui prenait une photo avec l’îlot St-Vincent-de-Paul en « background ». Il m’arrive d’en croiser qui empruntent l’escalier tout près et d’autres qui se dirigent vers le parc en bas. Il y a aussi l’hôtel Palace Royal sur Honoré-Mercier, je présume que certaines chambres ont une vue magnifique sur la « dump ».

        Avant que la façade soit détruite je voyais souvent des touristes la prendre en photo au moment du coucher du soleil.

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        17 septembre 2013 à 19 h 58

        Merci pour les infos. Le terrain St-Vincent-de-Paul est une illustration parfaite quant à l’obligation de la Ville de Québec d’avoir un outil légal pour obliger de tels propriétaires à ne pas laisser ainsi de tels terrains abandonnés. Le propriétaire actuel (Les hôtels Jaro) a les moyens d’y construire mais il semble qu’un bras de fer entre ce dernier et la ville va plutôt se dérouler. A date, le pouvoir public s’exprime à tous les jours sur de tels dossiers mais jamais sur ce dernier. Ne nous reste qu’à espérer qu’un média d’importance y accorde de l’importance, campagne électorale étant.

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      • Vincent

        18 septembre 2013 à 13 h 24

        Si les terrains vacants étaient taxés au même niveau que s’ils étaient bâtis, les propriétaires se dépêcheraient d’y construire quelque chose, amha.

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      • simval

        19 septembre 2013 à 13 h 03

        Vincent, vous avez parfaitement raison!

        C’est pourquoi en Pennsylvanie, les taxes sur la propriété ont été réduites dans plusieurs villes, et remplacées partiellement par des taxes sur la valeur des terrains à la place. Ainsi, les terrains vacants coûtent presque aussi cher que le milieu bâti autour. Donc un terrain vacant entouré de gratte-ciels coûte presque autant au propriétaire que les gratte-ciels coûtent en taxes à leurs propriétaires. Ça décourage très fortement la spéculation sur les terrains, qui implique de conserver un terrain sous-développé pendant des années en attendant que la valeur du terrain augmente, ce qui est possible seulement si les taxes sont inférieures à la croissance de la valeur du terrain.

        Taxer la valeur des terrains plutôt que des propriétés a créé une renaissance dans les centre-villes de plusieurs villes de Pennsylvanie, comme Pittsburgh, Philadelphie et Harrisbourg. Le cas d’Harrisbourg est très intéressant car il s’agit d’une ville de taille moyenne, 380 000 personnes dans sa zone urbaine et 520 000 dans sa zone métropolitaine. Avant de passer à la taxe sur la valeur des terrains, la ville centre était parsemée de bâtiments désaffectés, plus de 4 200 en tout. 10 ans plus tard, ce nombre avait été ramené à moins de 500. Le centre-ville est né de ses cendres et est devenu un moteur de la région. Pourtant, on parle du Rust Belt ici. La taxe sur les terrains a forcé les propriétaires de terrains vacants et de bâtiments abandonnés à vendre à des promoteurs en vitesse, des promoteurs qui ont fourni résidences, commerces et bureaux pour dynamiser la ville.

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  5. Pour Ladensification

    17 septembre 2013 à 12 h 01

    Cessons de nous opposer systématiquement à tout projet de densification en hauteur, pour l’avenir de notre belle ville, la venue de plusieurs immeubles en hauteur enrichie de facon importante les finances de notre ville, avec cet apport de nouvelles taxes, plusieurs services de plus en plus couteux seront payés: entretient de nos infrastructures, aménagement de parcs… pour un budget équilibré et équitable pour tous les citoyens de Québec, pensons-y!

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  6. anne guérette

    17 septembre 2013 à 13 h 15

    De mon côté, je vois que le bâtiment est reculé par-rapport à l’alignement des autres bâtiments voisins, ce qui est conforme à la réalité. Oui il y aura un recul et non, le bâtiment n’est pas tout au bord de l’avenue Cartier.

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    • BF Luc

      17 septembre 2013 à 13 h 47

      Est-ce vraiment un commentaire d’Anne Guérette? ;-)

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    • Langis

      18 septembre 2013 à 21 h 59

      Et alors, cet immeuble projeté est MAGNIFIQUE, j’espère de tout mon coeur qu’il sera construit.
      On ne répétera pas le cas du coin de l’ilôt Irving sur Philippe Dorval, qui a été bloqué par un millionaire habitant juste au dessus de Chez Victor, qui a financé les tracts erronés et démagogiques qui ont bloqué le projet parce que monsieur ne voulait pas perdre sa vue sur les montagnes.
      Pitoyable. Encore plus pitoyable lorsque ces gens là font aller leurs connexions politiques pour faire passer leurs caprices et ainsi castrer le développement intelligent (les 2 immeubles dans les 2 cas ont très bonne allure et répondent à un besoin commercial-résidentiel du centre ville) de notre superbe ville.

      L’opinion des citoyens informés vaut autant que celle du monsieur qui ne veut pas perdre sa vue ou qui aime entretenir une illusion.

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      • BF Luc

        18 septembre 2013 à 22 h 50

        Insinuez-vous que l’illustration est trompeuse?

        Insinuez-vous que l’on peut prouver que le promoteur n’a pas de connexions politiques?

        Insinuez-vous que ceux qui s’opposent qu contournement des lois et règlements sont des citoyens mal informés?

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  7. «Le» lecteur assidu

    17 septembre 2013 à 16 h 22

    Au point où s’en est rendu, j’en conclue que chacun a déjà fait son choix, et ce malgré quelqu’argument additionnel que l’on pourrait amener.

    Prenant pour acquis que les opposants seront assez mobilisés pour justifier la tenue d’un référendum ( bien que je me souhaite d’être dans l’erreur ), il ne me reste qu’un ultime regret : ne pas être éligible à éventuellement voter pour la réalisation de ce projet, vu mon lieu de résidence !

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    • BF Luc

      17 septembre 2013 à 19 h 35

      « il ne me reste qu’un ultime regret : ne pas être éligible à éventuellement voter pour la réalisation de ce projet, vu mon lieu de résidence ! »

      Un lieu où il se fait de la densification? ;-P

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  8. Jeff M

    17 septembre 2013 à 18 h 57

    Au début je jetais mon venin sur les opposants de ce projet.
    Cependant, y’a une p’tite voie à l’intérieure qui me rappel qu’on se chamaille pour seulement deux étages de plus. On peut dire que s’opposer pour deux étages c’est soûlant. On peut aussi dire que monter toute cette opération pour deux étages est presque une forme d’acharnement thérapeutique. Après tout, il s’en fait de la densification. Pas autant que tous le voudrait, mais l’enjeu ici est surtout symbolique.
    L’enjeu est important seulement si on accorde de l’importance au symbole.

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    • BF Luc

      17 septembre 2013 à 19 h 41

      « Après tout, il s’en fait de la densification. Pas autant que tous le voudrait, mais l’enjeu ici est surtout symbolique. »

      En effet, d’ailleurs bien d’autres secteurs ne peuvent se vanter d’en faire autant.

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      17 septembre 2013 à 20 h 00

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    • Langis

      18 septembre 2013 à 22 h 04

      Il n’y a pas que ce cas ci. Une certaine conseillère a bloqué pas moins de dix projets de la sorte, dont le fameux bâtiment en face de la gare du palais en proposant qu’on y fasse un parc à la place (juste en face du parc en avant de la gare du palais finalement) parce que certains propriétaires, encore, essayaient d’imposer leur volonté qu’il ne s’y construise rien parce qu’ils voulaient garder leur  »vue ».
      Finalement, une chance qu’il s’est construit cet immeuble. Il est très bien et complète à merveille ce trou béant qu’il y avait sur Charest en face de la gare.

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    • simval

      19 septembre 2013 à 12 h 51

      Deux étages, c’est beaucoup pour le promoteur et ceux qui les achèteraient. Il faut comprendre que les promoteurs qui arrivent et font du renouvellement à partir de terrains comme ça ont beaucoup de coûts fixes, il faut acheter le terrain, démolir ce qui est déjà sur place et décontaminer au besoin avant de pouvoir commencer à construire. Le problème, c’est que tout ça coûte cher, et ce sera aux futures résidents de payer la note pour ça.

      Avoir 5 étages résidentiels (le rez-de-chaussée est commercial) permet de répartir ce coût sur plus de logements que s’il n’y avait que 3 étages résidentiels. Ce surcoût sera donc 40% moins cher avec 6 étages qu’avec 4. Limiter la hauteur du bâtiment va donc faire en sorte que les condos seront plus chers, voir trop chers pour tous sauf pour la classe moyenne supérieure ou les riches. Les limites de hauteur (comme les minimums de stationnement hors-rue) créent donc une forte pression à la hausse de la valeur des logements et finit par repousser les pauvres et la classe moyenne en banlieue, car les habitations en ville deviennent hors de prix.

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  9. davedeux

    17 septembre 2013 à 21 h 26

    De la densification avec ce projet…faut pas exagérer. Devant le
    nombre de jeunes familles qui ce dirige vers une banlieue de
    plus en plus en éloigné, le projet de l’ave Cartier ne contribue
    qu’à 0.00002% à la densification.

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    • Pierre-André

      17 septembre 2013 à 22 h 06

      Effectivement, il y a plusieurs autres projets qui sont en cours actuellement dont on parle très peu, donc pourquoi toujours s’acharner sur les rares projets qui sont bloqués?

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        17 septembre 2013 à 22 h 37

        Des suggestions ? Merci

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      • BF Luc

        18 septembre 2013 à 11 h 24

        J’ai fait l’exercice de partir du terrain Esso et de faire une tournée à la marche de quelques projets complétés ou en cours de l’être à la Haute-Ville et à la Basse-Ville. Projets de type commercial et résidentiel autant en réhabilitation qu’en construction nouvelle.

        1- Premier arrêt à 0,406 km de distance à l’intersection Turnbull/Grande-Allée.

        2- 0,110 km plus loin Claire-Fontaine/Grande-Allée

        3- 0,450 km De Lorne/René-Lévesque

        4- 0,350 km Saint-Gabriel/Saint-Joachim/Sainte-Geneviève

        5- 0,380 km D’Aiguillon/Honoré-Mercier

        6- 1,250 km Saint-Anselme/Charest-Est

        7- 0.740 km Prince-Édouard/Dorchester

        8- 0,570 km Daulac/De La reine

        Ayant complété mes achats j’ai pris la direction de la maison. Tout ça avec une marche de 4,54 km. Qui peut en dire autant dans le secteur où il vit?

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      • julien

        19 septembre 2013 à 12 h 42

        « Qui peut en dire autant dans le secteur où il vit? »

        Allez prendre une marche dans un rayon de deux kilomètres de l’intersection Robert-Bourassa Chauveau…Il y a l’embarras du choix des projets..

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      • BF Luc

        19 septembre 2013 à 16 h 51

        Moins de 6 étages (c.-à-d. 4 étages) ça ne compte pas. ;-)

        Plus sérieusement on pourra s’entendre que la densité dans ce secteur n’était pas très élevée. Dans St-Jean-Baptiste et Montcalm les champs de la dimension de ce que l’on avait au coin de Chauveau/Robert-Bourassa c’est une espèce menacée depuis fort longtemps. Devrait-on faire du développement 6 étages et + sur les Plaines? ;-)

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    • «Le» lecteur assidu

      17 septembre 2013 à 22 h 07

      * « De la densification avec ce projet…faut pas exagérer. »

      Je partage votre point de vue.

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