Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Le tramway aura une division communication

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 juillet 2019 4 commentaires

Stéphanie Martin
Journal de Québec

La Ville de Québec crée une «unité spécialisée de communication» pour le projet de réseau structurant, composée de neuf personnes et dotée d’une enveloppe salariale maximale de 826 000 $.

Après le départ de François Giroux, qui a fait un passage éphémère comme directeur des communications du réseau structurant et qui relevait du bureau de projet, la Ville a décidé de rapatrier les services de communication qui se consacreront à gérer et transmettre l’information sur le mégaprojet de 3,3 milliards $. Ainsi, elle crée une quatrième division dans son service central des communications.

«La stratégie derrière ça, c’est de s’assurer de la cohérence des actions de la Ville et du bureau de projet. Ça va nous donner une erre d’aller pour nous permettre de bien communiquer avec la population et nous assurer, à tous les moments, surtout durant la construction, d’être très proactif en matière de communication», a indiqué la directrice du service des communications, Marie-Christine Magnan.

Neuf personnes

La division de communication du réseau structurant de transport en commun sera composée de neuf personnes, soit une directrice, six professionnels, un technicien en multimédia et un agent de secrétariat.

Au maximum de l’échelle salariale, le salaire de la directrice de division se situe à 124 000 $, soit moins que les 150 000 $ qui avaient été consentis à M. Giroux et qui avaient soulevé l’ire de l’opposition. Au dernier échelon, les professionnels en communication gagnent 96 000 $, le technicien, 70 000 $, et l’agent de secrétariat, autour de 56 000 $. Cela fait grimper l’enveloppe budgétaire à 826 000 $. L’argent provient du budget du bureau de projet.

Besoins temporaires

Les besoins sont temporaires, explique Mme Magnan. Les employés sont engagés pour un contrat de trois ans, avec possibilité de prolongation.

«En théorie, si ça fonctionne bien, ces gens-là vont être là jusqu’à la fin du projet, en 2026, et peut-être 2027, pour fermer les livres.»

En ce moment, trois professionnels sont en place, notamment en communication numérique et en relation avec les citoyens. La Ville a récemment affiché trois autres postes, soit des emplois de conseillers en communications générales, en relation avec les médias et les parties prenantes, et en relation avec la communauté

La suite

Le site internet du projet de réseau structurant

Voir aussi : Projet - Tramway.


4 commentaires

  1. Jean-Christophe Utilisateur de Québec Urbain

    19 juillet 2019 à 14 h 24

    C’est une bonne nouvelle selon moi. Malgré toute l’information facilement accessible sur le projet, plusieurs citoyens sont encore très mal informés. Beaucoup de travail sur la planche pour ceux et celles qui seront choisis!

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  2. jeand Utilisateur de Québec Urbain

    27 juillet 2019 à 12 h 05

    Parce qu’il faut absolument que Normand arrête de parler:
    http://www.journaldequebec.com/2019/07/26/remy-normand-invite-les-commercant-de-la-route-de-leglise-a-reflechir-a-lavenir-de-leur-commerce#cxrecs_s

    C’est pas juste le Shack et le Portofino sur de l’Eglise qui capotent

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      28 juillet 2019 à 17 h 31

      Et peut-on savoir, si la chose est possible, votre proposition ? Votre solution ? De tels travaux, d’une si grande ampleur, dans une artère commerciale, causent évidemment des dommages parfois irréparables, pouvant mener jusqu’à la fermeture de commerces. Et on peut s’imaginer les difficultés pour le projet de tramway. Alors ? La Ville paie la facture ?

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      • realiste Utilisateur de Québec Urbain

        3 août 2019 à 10 h 13

        M. Gobeil, Pour le projet du tramway la VQ devrait adopter le même concept que lors de l’estimation préliminaire (2013-14) du projet du tramway/SRB Québec-Lévis. Des montants avait été provisionnés pour les pertes de revenus des commerçants. Soit, 1% basé sur les pratiques françaises. Il devrait en être de même pour le futur projet.

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