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Vision 2024-2034 des corridors Vélo cité : 150 km en 10 ans

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 février 2024 5 commentaires

Québec, le 6 février 2024 – La Ville de Québec dévoile aujourd’hui sa vision sur dix ans pour les corridors Vélo, un réseau sécuritaire et confortable favorisant la mobilité active. Les différents corridors viendront combler les principaux axes en mobilité de la ville en connectant les secteurs périphériques tout comme le centre-ville. En 2034, il est visé que le territoire sera relié par un réseau cyclable structurant totalisant 150 km.

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La conférence de presse

Voir aussi : 0 - Revue de presse, Transport, Vélo.


5 commentaires

  1. paradiso Utilisateur de Québec Urbain

    6 février 2024 à 12 h 52

    Aucun transport en commun digne de ce nom, mais on va avoir une belle «nanane» pour les 5 % de cyclistes qui ont pris le contrôle de l’asile.

    J’ai vraiment hâte d’aller à l’aéroport en vélo avec mes bagages dans le trailer.

    Pardonnez mon cynisme, je crois qu’il est nécessaire de mieux connecter les quartiers périphériques entre eux, aménager des structures pour franchir les autoroutes etc.

    Mais le véritable réseau structurant, le véritable outil de développement économique de la région vient d’être torpillé par la CAQ et une grande partie de l’opinion publique, sans solution de rechange.

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    • Michel

      6 février 2024 à 15 h 22

      Vous faites les choses en grand vous à Québec lol

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      • PPDaoust

        6 février 2024 à 21 h 21

        Dans la mesure où l’écrasante majorité des déplacements de 5km et moins se font en voiture, il n’y a aucun doute sur le fait qu’il y a beaucoup de potentiel d’amélioration.

        Avec ce que la ville a fait ces dernières années en matière d’aménagements cyclables, en plus du très bon service Àvélo, la croissance de l’utilisation de la bicyclette dans nos rues est spectaculaire. Qui plus est, elle est constatée sur un territoire qui dépasse déjà les limites des quartiers centraux. Je vous épargne des statistiques qui, années après années, confondent indiscutablement les sceptiques.

        En somme, un nombre croissant d’usagers, correspondant à un certain profil j’en convient, découvrent que le vélo, hors des mois d’hiver, est souvent beaucoup plus rapide (et agréable) que le transport en commun et souvent aussi rapide et pratique que l’utilisation leur auto individuelle.

        Alors. Est-ce qu’on fait les chose en grand?

        Je sais bien que ce n’est pas aussi visuel et symbolique que le Tramway, mais pour la très raisonnable somme à débourser pour réaliser ce projet, disons que c’est un « move » aussi intelligent qu’avisé, ce qui en augmente substantiellement sa valeur objective.

        Je suis bien fier de ma ville sur ce coup-là.

        Bonne journée Michel.

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    • Yannick

      7 février 2024 à 13 h 21

      Le projet de réseau structurant et le déploiement des corridors vélocité ne sont pas liés. Si la CAQ n’avait pas retourné sa veste sur le tramway, on aurait quand eu droit à la même annonce sur l’objectif de 150 km de voies cyclables express sur 10 ans. C’était un engagement électoral de QFF. Ici l’équipe Marchand n’est pas tributaire des sautes d’humeur de députés de la CAQ de la région de Québec pour faire avancer ce projet. Voir cela comme un «prix de consolation» c’est faire fausse route.

      Pour une fois qu’une administration de la ville a une vision ambitieuse et à long terme, on ne crachera pas dans la soupe.

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  2. Che

    9 février 2024 à 14 h 24

    Pas certain de parler d’une « nanane ». L’été, la piste cyclable sur chemin Ste-Foy est pratiquement déjà à saturation tellement c’est un succès. Dans le cas du vélo, « build it and they will come ». Surtout que les coûts de construction sont très bas comparé à agrandir des routes pour les voitures.

    Pour ce qui est des TEC, c’est deux projets complémentaires. Le transport actif vient appuyer les TEC et vice-versa.

    Pour ce qui est de l’aéroport, les gens y vont aussi pour travailler. Il y a aussi beaucoup de commerces et d’industries dans le secteur. Pourquoi ne pas offrir aux gens qui habitent aux alentours d’avoir une option rapide et abordable de transport ?

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