Stevens LeBlanc
Journal de Québec

La Ville de Québec vient d’accorder deux subventions totalisant 180 000 dollars à GM Développement pour la mise en œuvre de projets d’agrandissement, de transformation et de restauration de trois bâtiments dans le quartier Saint-Roch.

Deux des bâtiments sont situés sur la rue Saint-Joseph Est et le troisième sur la rue Monseigneur-Gauvreau.

Annie Germain, de GM Développement, a expliqué au Journal qu’il s’agit, dans le cas du 802, rue Saint-Joseph Est, de transformer la bâtisse, actuellement vacante, en immeuble de deux étages. Le premier serait commercial et le second est encore à déterminer. Dans le cas du 835-849, Saint-Joseph, il y aurait un édifice en verre de trois niveaux. Le premier serait commercial et les deux autres seraient des bureaux.

À la Ville, Paul-Christian Nolin, porte-parole du maire Labeaume, a fait savoir que les 180 000 $ correspondaient aux «sommes résiduaires à la suite de la fermeture de la SOMHADEC, le bras immobilier de la Ville. Une de ses missions était de relancer Saint-Roch, on trouvait que c’était normal d’utiliser ces montants pour des projets dans Saint-Roch».

C’est devant un auditoire clairsemé (20 personnes dont 3 représentant la SAQ) que s’est tenue cette consultation publique. Peu d’interventions au micro (4) dont une seule manifestait son désaccord (un permis de construction refusé par la Commission d’urbanisme). Aucune intervention du conseiller Bussières. Quant à la conseillère Guérette, elle est manifestement d’accord même si sa position finale sera connue au conseil d’arrondissement. Le conseil de quartier s’est prononcé favorable sans aucune dissention. D’ailleurs le président a déclaré que l’acceptation sociale du projet était évidente vu l’assistance peu nombreuse.

Le projet gardera (dans une autre forme) les bancs actuels, l’arbre, et une terrasse située sur l’agrandissement permettra aux occupants de l’immeuble (condos) de relaxer. Le vide sanitaire sous l’immeuble a grand besoin d’être aménagé en sous-sol car sa situation actuelle laisse à désirer (humidité, etc).

A noter que le consentement donné (plus de 300 mètres carrés) ne l’est que pour ce projet.

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Québec, le 13 novembre 2014. – La ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Protection et de la Promotion de la langue française, Mme Hélène David, annonce aujourd’hui le classement de l’église de Saint-Dominique et de ses biens mobiliers en vertu de la Loi sur le patrimoine culturel.

« Notre gouvernement a à cœur la protection et la mise en valeur des trésors inscrits dans notre héritage religieux. Je suis très heureuse d’annoncer le classement de l’église de Saint-Dominique, qui présente un intérêt patrimonial pour ses valeurs historique, architecturale et artistique », a déclaré la ministre David.

Située sur la Grande Allée à Québec, l’église de Saint-Dominique témoigne de la présence des Dominicains, une communauté religieuse importante qui s’est installée au Québec en 1873, puis dans la ville de Québec en 1900. De style néogothique anglais, elle a été construite entre 1929 et 1930 selon les plans de l’architecte Joseph-Albert LaRue. Le décor intérieur, sculpté sur une période de 14 ans par l’artiste Lauréat Vallière, constitue l’un des plus grands ensembles sculptés en bois au Québec

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Conseil de quartier Montcalm

L’ordre du jour de l’assemblée du JEUDI 13 novembre 2014 est maintenant en ligne sur la page internet du conseil de quartier.

Durant cette assemblée, il y aura une consultation publique ayant trait à deux modifications à la réglementation de zonage concernant la succursale de la Société des alcools du Québec du 1059, avenue Cartier. Pour connaître toute l’information sur cette consultation, consultez la page Internet du conseil de quartier.

Le texte des modifications demandées et des illustrations du projet

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* Photo: Merci à un fidèle lecteur (Léonce Naud)

Camille B. Vincent
Le Soleil

(Québec) La rue du Petit-Champlain vient d’être déclarée plus belle rue piétonne au pays par le concours Au Canada, c’est ma place !, organisé par l’Institut canadien des urbanistes. Et c’est sans équivoque, car l’artère a gagné à la fois le prix du jury et celui du public.

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Jean-Michel Genois-Gagnon
Le Soleil
Sasmedi 8 novembre 2014

Industrielle Alliance a rencontré au cours des derniers mois trois organismes au sujet de son développement pour Place Québec.

Le conseil d’arrondissement de La Cité-Limoilou, le conseil de quartier de Saint-Jean-Baptiste et la Société de développement commercial du Faubourg Saint-Jean ont tous eu une rencontre à huis clos avec la société d’assurances.

Aucune décision ne serait cependant définitive sur l’avenir de l’endroit, a assuré hier su Soleil Pierre Picard, porte-parole d’Industrielle Alliance. « Nous voulons redonner les lettres de noblesse à l’édifice, lui redonner une place de choix dans la ville de Québec. Nous y allons étape par étape. La première était de rencontrer des organismes du milieu afin de connaître leurs attentes. Nous avons écouté leurs idées. Aujourd’hui, la balle est dans notre camp. »

Plusieurs options sont toujours sur la table. L’édifice de quatre étages appartiens aussi à 50% au Fonds immobilier FTQ, pourrait devenir une tour de 15 étages pour accueillir du condo ou de l’espace à bureaux. Aussi, la possibilité d’intégrer un espace commercial dans l’immeuble est envisagée.

Aux dires de M. Picard, l’option la plus intéressante pour l’Industrielle Alliance serait d’avoir de l’espace à bureaux. « On analyse nos possibilités et éventuellement on va présenter un projet de revitalisation. […] Avoir de l’espace à bureaux est quelque chose de prioritaire pour nous. Ce qui est important, comme assureur, c’est d’avoir des placements immobiliers à long terme. L’espace à bureau est très bien à ce niveau. »

Les travaux d’agrandissement représenteraient un investissement aux alentours de 150 millions $. La société possède déjà tous les permis nécessaires pour entamer la construction.

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Place Québec s’allie avec Industrielle Alliance * Pierre Couture (Le Soleil)

Magazine Prestige
Jean-Marie Lebel (historien)

Notre passante rue Saint-Louis fut longtemps la rue résidentielle la plus prestigieuse du Vieux-Québec. On y voit d’ailleurs encore un bon nombre de distinguées maisons bourgeoises d’influence britannique, qui y furent érigées entre les années 1810 et 1850. Elles ont succédé à de vieilles maisons de la Nouvelle-France. Et l’une de ces dernières, la maison Arnoux, chargée d’histoire, est malheureusement tombée sous le pic des démolisseurs en 1893. Il ne subsiste qu’une seule photographie pour la garder vivante dans nos mémoires. Située du côté sud de la rue Saint-Louis, cette maison, au toit très pentu percé de lucarnes, faisait face à la rue du Parloir.

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Le Monastère des Augustines

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* Coût global des travaux: 8 2000 000 $ (Gouvernement fédéral)
* Citation du jour: « Les automobilistes ont gagné la nouvelle bataille des Plaines d’Abraham » (Le Maire de Québec)
* Coût d’entretien annuel assumé par la Ville de Québec: 100 000 $
* Temps épargné par les automobilistes dans le trafic (selon la mairie): 10 à 15 minutes
* Les automobilistes ne pourront, rendus en haut de la côte, tourner à droite vers le Musée national des Beaux-Arts (voir photos: seule une signalisation veut empêcher les gens de tourner à droite)
* Les feux de signalisation (coin avenue Montcalm/Grande Allée) ont une nouvelle programmation afin d’éviter l’engorgement