Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

(Québec) Le sort du Centre Durocher, planté au coeur du quartier Saint-Sauveur, est toujours entre les mains de la Commission d’urbanisme et de conservation de la Ville de Québec. Disons néanmoins que la balance penche drôlement vers une démolition imminente et complète du bâtiment de 1950, la mairie ayant déjà jugé la cause. Peu importe les persistantes critiques citoyennes.

Une quarantaine, peut-être une cinquantaine de personnes s’étaient réunies mercredi soir afin de faire le point sur le projet annoncé : démolition du legs des pères Oblats, puis érection d’un complexe de logements. On y compterait entre 55 et 80 unités, réparties sur de quatre à six étages, selon ce que la municipalité autorisera.

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Opposition citoyenne * Suzie Genest (Monsaintsauveur)

Céline Fabries
Monmontcalm

La Société des alcools du Québec (SAQ) située avenue Cartier dans le quartier Montcalm souhaite agrandir sa succursale. La Division de la gestion du territoire après avoir refusé plusieurs fois le projet d’agrandissement a émis un avis favorable sous réserve du résultat de la consultation publique qui sera tenue par le conseil de quartier de Montcalm prochainement.

La SAQ souhaite doubler sa surface qui est actuellement d’environ 507 mètres carrés. La SAQ possède un droit acquis sur la surface actuelle qui est de 300 mètres carrés dans cette zone. La Société des alcools du Québec aimerait utiliser le devant de son magasin qui est occupé par un arbre de petite taille, quelques petites plantes ainsi que deux bancs publics qui appartiennent à la Ville de Québec. Dans son projet, la SAQ conserverait l’arbre et envisagerait d’intégrer à l’architecture un banc public à la place des deux actuellement. L’autre partie de l’agrandissement se situerait au sous-sol du bâtiment où le vide sanitaire serait transformé en aire d’entreposage

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* Selon une source fiable, la conseillère du quartier s’oppose au projet

* Merci à son auteur ainsi qu’à un fidèle lecteur (Franks)

Le Carrefour de Québec

Montcalm — Le propriétaire de l’ancienne école des Saints-Marthyrs située à l’intersection de Père-Marquette et Belvédère souhaite transformer l’immeuble en logements. Une consultation publique aura lieu le 23 septembre à 19h aux Loisirs Montcalm.

Puisqu’il est difficile de louer les locaux disponibles, le propriétaire a demandé à l’Arrondissement La Cité-Limoilou de convertir le bâtiment à des fins résidentielles. Le promoteur envisage de le recycler et d’y aménager entre 45 et 50 unités d’habitation. Situé au 860-880, rue Père-Marquette, l’immeuble abrite actuellement une entreprise spécialisée en web, un architecte, l’organisme Femmes et politique de même que des écoles de danse. Presque tous les baux des locataires se terminent en mai 2015. En plus de l’usage d’habitation, on inclurait celui des services administratif

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Suivi: Le Conseil de quartier dit non

Annie Mathieu
Le Soleil

(Québec) Le Manège militaire deviendra un lieu de mémoire plutôt que de travail pour les Voltigeurs de Québec. Lorsque la reconstruction du bâtiment sera terminée, le régiment ne regagnera pas ses pénates, mais demeurera sur Pierre-Bertrand, dans l’édifice qui l’a accueilli au lendemain de l’incendie de 2008. Seuls les bureaux administratifs et de commandement du corps des réservistes témoigneront des activités militaires qui l’ont animé pendant 120 ans.

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Source : Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil (8 septembre 2014)

Démolition de deux ailes, désamiantage de toute la structure, agrandissement majeur… La CSST lance le vaste chantier de 130 millions $ qui lui permettra de rapatrier des centaines de fonctionnaires à son siège social de Québec.

Un projet d’envergure qui commencera par le curetage du vaste bâtiment de la rue Bourdages construit durant les années 70. Tous les matériaux d’origine contenant de l’amiante devront être retirés; dans plusieurs ailes de la maison-mère de la Commission de la santé et de la sécurité du travail, il ne restera que la charpente de béton.

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Québec, le 15 septembre 2014 – La Ville de Québec a dévoilé aujourd’hui les résultats de l’étude d’impacts portant sur la fermeture de l’hôtel Loews Le Concorde. Les conclusions de cette étude démontrent que Le Concorde a été, depuis plusieurs décennies, un acteur de tout premier plan dans l’offre touristique de Québec. L’étude souligne également qu’un réinvestissement dans la qualité de ses chambres et de ses infrastructures est requis.

« Le Concorde a participé à bâtir l’image de Québec et à devenir une destination touristique internationale, a mentionné le maire de Québec, M. Régis Labeaume. La perte d’un tel hôtel dans le cœur de Québec serait très néfaste dans le contexte touristique mondial. »

En plus d’occuper une place stratégique dans l’offre hôtelière régionale dans le lucratif, mais très compétitif domaine du tourisme d’affaires, rappelons que Le Concorde, avec ses 406 chambres, est le troisième plus grand hôtel de la région de Québec. En 2012, l’établissement a enregistré 100 000 nuitées pour un taux d’occupation moyen de 67,5 %.

La fermeture totale du Concorde, avec la quasi-totalité de ses chambres offrant une vue sur le fleuve, son restaurant rotatif panoramique et son positionnement dans le cœur touristique de Québec, aurait un impact notable sur le tourisme à Québec. Une fermeture partielle aurait certes moins d’impacts économiques, mais diminuerait quand même la capacité de l’établissement hôtelier à participer pleinement à l’offre de congrès et la mise en marché de la région, conclut l’étude menée par Zins Beauchesne et associés. Celle-ci avait pour but de quantifier et de qualifier les impacts du changement de vocation, complet ou partiel, de l’hôtel Le Concorde, incluant restaurants et salles de réception.

L’étude

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Annie Mathieu
Le Soleil

(Québec) «Je l’ai achetée pour la sauver», jure Constance Brown. Pourtant, sa propriété située au 47, avenue Sainte-Geneviève n’a cessé de se détériorer depuis que le chic restaurant qui l’habitait, À la Bastille, Chez Bahuaud, a fermé ses portes il y a près de 10 ans. Mais l’ancienne résidence du recteur de Quebec High School datant de 1899 retrouvera sa fière allure d’époque, promet l’avocate de Boston.

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* Québec Urbain a publié un billet sur cette résidence en juin 2014

En novembre 2012, le gouvernement du Canada a présenté le concept pour la reconstruction du Manège militaire. TPSGC sera le maître d’œuvre de sa reconstruction, de sa réhabilitation et de sa restauration.

On s’attend à ce que les plans architecturaux soient terminés d’ici la fin 2014. À la suite du lancement d’un appel d’offres afin de choisir l’entreprise à qui seront confiés les travaux de reconstruction, ceux-ci devraient débuter en 2015, pour une livraison en 2017.

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Le quartier Saint-Jean-Baptiste, avec son comité de citoyennes et de citoyens, ses coopératives d’habitation et ses nombreuses initiatives communautaire, fait souvent figure de village gaulois. Dans mon quartier permet à des citoyennes et des citoyens engagés dans la vie du Faubourg de présenter leur quartier: son histoire, ses luttes, ses problèmes et leurs solutions. Au fil du documentaire, on découvre ou redécouvre, grâce à des séquences d’archives, les luttes sur la rue Saint-Gabriel et sur l’îlot Berthelot. On est plongé au cœur d’une bataille très actuelle contre la circulation de transit et on touche du doigt l’utopie d’une ville où il ferait vraiment bon vivre.

Véritable portrait de l’engagement citoyen, le documentaire d’une durée de 29 minutes, a été réalisé à l’occasion du 30ème anniversaire du Comité populaire Saint-Jean-Baptiste.

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