Source: Jean Pascal Lavoie, Québec Hebdo 23 mai 2006

Les préparatifs vont bon train à la Société du 400e. S’il reste encore plusieurs ficelles à attacher, les grandes lignes de la programmation sont déjà tracées et les arrondissements ne seront pas laissé de côté. Des enveloppes ont été prévues afin que chaque arrondissement puisse souligner comme il se doit cet événement.

Répondant à une demande des élus municipaux qui désiraient être mis au fait de l’avancement des préparatifs en vue des célébrations, Serge Allen, commissaire aux Fêtes, et Josée Laurence, directrice principale exécutive de la Société du 400e, ont tracé un portrait de ce qui attend la population dans deux ans. (…)

Voir autres billets. 1 2 3 4 5 Et bien d’autres encore dans les archives.
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Source: Radio-Canada Québec 20 mai 2006

Les amoureux de la rivière Saint-Charles, à Québec, ont obtenu tout un succès, samedi, en attirant plus de 500 personnes à l’occasion de la 10e édition de la traditionnelle descente de 12 kilomètres de la rivière.

Pour le 400e anniversaire de Québec, la Ville compte s’offrir une rivière toute propre avec des berges et sans béton. Les canotiers ont vécu samedi ce qui pourrait être demain une rivière urbaine accessible à ses citoyens.

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Source: Jean-François Cliche, Le Soleil 19 mai 2006

En bon Gaspésien exilé, Florian Normand rêve de bateaux. De bateaux à fond plat, pour être précis. Demain, sa vision prendra une tournure bien réelle lorsqu’une telle embarcation emmènera deux douzaines d’invités pour une promenade sur la Saint-Charles.

M. Normand caresse depuis près de quatre ans le projet d’organiser des excursions sur la rivière. « Je me disais que ça ne se pouvait pas qu’il n’y ait aucune activité sur la Saint-Charles, à part les cyclistes et les piétons sur les berges », explique-t-il.

L’enseignant de 66 ans s’est mis à y travailler sérieusement en 2003. Son plan d’affaires est maintenant prêt. L’expédition de la fin de semaine constituera un premier vrai test pour son idée, son trajet, ses moteurs électriques, etc.

Le bateau, de faible tirant d’eau, partira de la marina Saint-Roch et remontera jusqu’au pont Scott, pour ensuite retourner au parc Cartier-Brébeuf, où il prendra une courte pause avant de pousser jusqu’au barrage Samson. À son retour à la marina, environ une heure après son départ, il aura parcouru huit kilomètres.

Image croquée hier au hasard d’une marche dans les rues de mon quartier.

Voir aussi Crocus en fleurs!

Source: Élisabeth Fleury, Le Soleil 12 mai 2006

Ce n’est plus un secret pour personne, Limoilou est un quartier problématique eu égard à la présence du Wolf Pack et de gangs émergeants. Le Projet alternative gang (PAG) le sait et a choisi d’y concentrer ses activités de prévention.

Outre des ateliers de sensibilisation, le PAG organise différentes activités sportives et culturelles pour les jeunes du quartier Limoilou afin de prévenir leur adhésion à des gangs criminalisés.

« Le but, c’est de leur permettre de se valoriser et de développer leur sentiment d’appartenance en les impliquant dans quelque chose de positif », explique le directeur de Motivaction Jeunesse, Luc Richer, qui coordonne le projet PAG depuis deux ans.

Mais le PAG vise aussi à rendre les parcs du quartier Limoilou, particulièrement les parcs Ferland et Marchand, sécuritaires et accessibles à tous en invitant les usagers à s’autodiscipliner

Source: Isabelle Mathieu Le Soleil 11 mai 2006

La rénovation du pavillon de la Jeunesse coûtera près de 14 millions $, soit 6 millions de plus que l’estimation initiale. La future salle de spectacles pourra remplacer l’Agora, dit ExpoCité.

Après le Palais Montcalm, les usines de traitement d’eau et les casernes de pompiers, les citoyens de Québec commencent à avoir l’habitude des chantiers à la facture extensible.

Estimé il y a un an à 8 millions $, le « nouveau » pavillon de la Jeunesse d’ExpoCité coûtera autour de 13,8 millions $. Dans le projet original, on se contentait de rénover la glace du Petit Colisée, d’éliminer les colonnes et de retaper les aires de services ainsi que l’enveloppe extérieure du bâtiment

Source: Radio-Canada (Québec), 9 mai 2006.

À la suite de plaintes de citoyens, la police de Québec durcit le ton face aux squeegees avec un projet intitulé Respect [billet précédent], lancé il y a deux semaines. Ce projet vise l’application stricte du code municipal.

Les laveurs de pare-brise des voitures immobilisées aux feux rouges risquent désormais de faire face à des accusations criminelles. Les policiers vont comptabiliser le nombre de contraventions émises contre chaque individu. Après cinq ou six constats, ils pourraient être accusés d’avoir troublé la paix.

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Source: Jean-François Néron, Le Soleil, 8 mai 2006.

Incivilité : n.f. Caractère de ce qui est impoli. Promener son chien sans laisse. Faire des graffitis. Se baigner dans une fontaine. Jeter des déchets sur la voie publique. Faire crisser ses pneus. Le manque de savoir-vivre a un prix, et la police vous le fera connaître.

Le projet Respect est maintenant en application dans les arrondissements de la Cité et de Limoilou. Le mot d’ordre donné aux 200 patrouilleurs de ces secteurs est de redonner au plus grand nombre les espaces publics, incluant les parcs, sans avoir à subir ce que le sergent Danny Morillon appelle des incivilités. (…)

Outre le très viril et subtil « crisser ses pneus », notamment, ce projet Respect prendra-t-il aussi en compte ces autres comportements tout aussi détestables pour l' »urbain » que je suis, tels ceux des cyclistes qui confondent trottoirs avec pistes cyclables [billet] et de ces fumeurs qui en grillent une dans les abribus les jours de pluie?

La suite. Aussi – coincidence -, cette entrevue ce matin (Le civisme) avec la journaliste et conférencière Ariane Émond et le philosophe et président de l’Institut québécois d’éthique appliquée, René Villemure, à l’émission radio Indicatif Présent.

Vue sur le chantier du bassin de rétention Anse-à-Cartier qui comprend la construction d’un bassin de rétention et l’aménagement d’un parc public, le tout au coût de 6,6 M $.

Ces travaux le long de la rue Jacques-Cartier coincident avec ceux des condominiums L’Anse-St-Charles (en arrière-plan) et d’autres à venir sous peu en périphérie dans le cadre de la revitalisation des rives de la rivière [billet].

Source: Journal Droit de parole, mai 2006.

Le journal Droit de parole a été fondé en 1974 et compte ainsi 32 ans de publications à son actif. Son histoire est intimement liée à celle des groupes populaires de Québec des années 1970. Déjà, à cette époque, la presse écrite boudait ou déformait les déclarations des groupes populaires. Droit de parole servait alors principalement à combler un manque de couverture de l’actualité de quartier.
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