Voici quelques extraits de la chronique de François Bourque publiée ce matin et intitulé La campagne en ville, en lien avec l’important projet immobilier du promoteur Marc Simard [billet]…
Décidément, M. Bourque m’enlève les mots de la bouche dans son « cri du coeur »! ;-)
Source: Le Soleil, 23 septembre 2006.
(…) C’est là, devant le fleuve, derrière les arbres, que le promoteur veut construire des condos. Ce serait un sacrilège. Un sacrilège de laisser en jachère un si beau terrain, si près de la ville, à une époque où l’on peste contre l’étalement urbain.
Le pré appartenait aux soeurs Notre-Dame d’Afrique. Perdu derrière un boisé, entre le Collège Jésus-Marie et la maison Michel Sarrazin. Invisible. Inutile. Il n’a jamais été accessible au public.
Si la ville de Québec l’autorise, on y construira 120 condos et la bordure de la falaise deviendra une promenade publique.
Les immeubles projetés n’auront pas de voisins immédiats, n’obstrueront aucune vue, ne feront d’ombre à personne. On les remarquera à peine en roulant sur le chemin Saint-Louis.












