Et selon un lecteur, ce ne serait pas un graffiti mais un tag …
Mise à jour (29 septembre 2018): les « tags » ont disparu
Et selon un lecteur, ce ne serait pas un graffiti mais un tag …
Mise à jour (29 septembre 2018): les « tags » ont disparu
Voir aussi : Art urbain.
Québec, le 22 août 2018 – La Ville de Québec et Les Habitations Durocher viennent d’inaugurer une œuvre d’art murale dans le quartier Saint-Sauveur. Intitulée Arbre-Phénix, la création de l’artiste Dan Brault est peinte sur l’immeuble situé au 300, rue Raoul-Jobin. Elle a été conçue en collaboration avec les artistes belges NEAN, ORKEZ et TREVOR du collectif PROPAGANZA.
« Ces quatre artistes ont travaillé ensemble sur la murale Des fleurs pour Namur en Belgique il y a quelques années, a souligné Mme Alicia Despins, membre du comité exécutif responsable de la culture, de la technoculture et des grands événements. Leur chimie est encore une fois palpable dans cette nouvelle murale d’art urbain composée d’un joyeux mélange de formes festives et divertissantes. »
« Arbre-Phénix est située à proximité de la nouvelle bibliothèque de Saint-Sauveur et du parc Durocher, a mentionné M. Pierre-Luc Lachance, conseiller du district Saint-Roch–Saint-Sauveur. L’œuvre va assurément susciter la curiosité et l’intérêt des nombreux citoyens et visiteurs quotidiens. Il s’agit d’une peinture forte, marquante, qui ajoute une touche colorée à cette vie de quartier déjà enivrante. »
Dan Brault possède plusieurs pièces dans la collection du Musée national des beaux-arts du Québec. Il fait également partie des 100 peintres les plus prometteurs du marché mondial de l’art, selon le galeriste londonien Kurt Beers.
L’œuvre est financée en parts égales par la Ville de Québec et Les Habitations Durocher, au coût de 38 600 $. Sa dimension est de 4,3 m x 13,5 m.
Voir aussi : Art urbain.
EXMURO arts publics est heureux d’annoncer la venue d’un nouveau projet d’exposition sur la côte de la Pente-Douce à Québec. L’artiste Cyrielle Tremblay a été choisie pour réaliser une murale de grande envergure sur la paroi de béton qui s’étend sur une longueur de plus de 300 mètres liant la Haute-ville et la Basse-ville de Québec. Le projet, qui sera présenté de septembre 2018 à septembre 2020, prendra graduellement place au cours du mois d’août.
EXMURO avait déjà présenté des projets d’expositions en art actuel et en graffiti sur cet immense mur de béton en 2011 et 2014. Pour cette année, l’organisme a voulu lancer le défi à un seul artiste de réaliser une intervention picturale en occupant toute la surface murale disponible.
C’est à l’issue d’un appel de projets que la proposition artistique de Cyrielle Tremblay a été retenue. Elle réalisera une murale monumentale aux formes abstraites et évocatrices qui fera écho au lieu où elle se trouve et aux mouvements qui font de la côte de la Pente-Douce un lieu vivant.
Les citoyens et le public auront le plaisir de voir l’œuvre de Cyrielle Tremblay prendre place et évoluer sur le mur de la côte de la Pente-Douce tout au long du mois d’août. La murale sera inaugurée au mois de septembre prochain et elle sera présentée jusqu’à l’automne 2020.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Art urbain.
Charles d’Amboise
Radio-Canada
L’asphalte de l’ancien stationnement a disparu, un coin de verdure est apparu et de nouvelles terrasses de bois étagées ont été aménagées. Résultat : le Passage Olympia, un nouvel espace qui fait résolument tourner les têtes des passants de la rue Saint-Jean, à Québec.
Le projet, qui a été mis sur pied en moins de quatre mois, a été créé à la mémoire du Cinéma Olympia, qui avait auparavant pignon sur rue à cet endroit, au début des années 1900.
« L’idée était de recréer un bâtiment fantôme avec les couleurs blanches, vaporeuses qui sont illuminées le soir », indique l’architecte et concepteur du projet François Courville.
Ainsi, un long tapis rouge de macadam traverse l’espace qui comprend des terrasses et des tables jaunes d’un côté et une oasis de verdure parsemée d’arbres de l’autre.
(…)
Contrairement à plusieurs places éphémères récemment aménagées à Québec, le Passage Olympia doit demeurer en place pour 3 ans. Le concepteur François Courville espère toutefois que son projet survive à plus long terme.
La page Facebook du Passage Olympia
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Art de vivre en ville, Art urbain.
Alice Chiche
Radio-Canada
Depuis la création de la Sympathique place ouverte à tous (SPOT) par des étudiants en architecture il y a quatre ans, les places éphémères fleurissent un peu partout dans la ville. Cet été, on en dénombre 29. Elles poussent au centre-ville, mais également en périphérie. Pour se détendre, manger son lunch dans un environnement agréable ou encore jouer avec les enfants, chaque place propose un espace convivial et accessible. Voici cinq places éphémères à découvrir.
Voir aussi : Architecture urbaine, Art de vivre en ville, Art urbain.
Isabelle Houde
Le Soleil
Depuis cinq ans qu’ils colorent le secteur du Vieux-Port, les Passages insolites ont certainement fait leur marque pour leur côté étonnant. Cette année, le côté ludique est plus que jamais présent, entre des œuvres qui remontent le temps et d’autres qui sont des odes au futur. Sans compter certaines œuvres chouchou des dernières années qui sont disséminées à travers la ville.
«Cette année, c’est la cinquième édition, j’ai été le premier surpris de le constater. Ce n’est pas une grosse machine commerciale, c’est un projet qui a tranquillement pris sa place dans la ville, auprès des citoyens et des touristes, et qui, je pense, va prendre de plus en plus de place dans l’avenir», a lancé Vincent Roy, directeur général chez EXMURO et directeur artistique du projet. «C’est devenu une signature particulière de la ville de Québec, et c’est ce qui me touche. Les gens et les touristes ont changé, ils sont avides de nouveautés et de choses qui sortent de l’ordinaire, et les Passages insolites, c’est ça.»
Une entrevue à Radio-Canada
Voir aussi : Art urbain.
Québec, le 20 juin 2018 – La Ville de Québec a inauguré aujourd’hui l’œuvre d’art public située à la place Richard-Garneau. Intitulée Liaisons, la création de l’artiste Jacques Samson est une œuvre murale composée de plusieurs tiges, inspirées par le mouvement et la croissance.
Par ses liens entrelacés, l’oeuvre évoque les nombreuses rencontres qui forgent le destin de chacun d’entre nous, a mentionné Mme Alicia Despins, membre du comité exécutif responsable de la culture, de la technoculture et des grands événements. En créant différentes liaisons, nos vies peuvent se transformer. Et c’est justement ce que nous voulons pour la place Richard-Garneau : un lieu de rencontre, de partage, de discussions. L’œuvre de Jacques Samson est donc tout à fait appropriée. »
Les tiges d’acier créent une ombre qui change selon l’heure du jour. Le soir, la sculpture est éclairée par une lampe DEL située au bout de l’arche. La délicate structure invite à la contemplation, créant ainsi un moment d’arrêt dans l’effervescence du quartier animé.
L’œuvre d’art a été financée par la Ville de Québec au coût de 42 000 $. Elle est installée sur le mur de l’immeuble situé au 1015, avenue Cartier. La Ville remercie le propriétaire, la Société immobilière Dupont, pour sa collaboration.
Place Richard-Garneau : les pierres blanches remplacées par du mobilier urbain (Radio-Canada) Un extrait: « Aménagée au coût de 150 000 $ par la Ville de Québec, la place Richard-Garneau a été inaugurée l’été dernier.«
Des pierres de 50 000$ remisées près d’un garage municipal dans le quartier Maizerets Radio-Canada
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Art urbain.
J’aurais pu intituler ce billet : pour ou contre les Cerfs…mais bon…
Après cette fameuse place ce sera au tour du pavillon du Commerce de subir une transformation extrême. Et il reste toujours le dossier de l’ancien Colisée…et du club…
Ne manquer pas l’inauguration officielle la fin de semaine du 16 et 17 septembre.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Art urbain, Centre Vidéotron.
Source : Valérie Gamache, Le Journal de Québec, le 8 août 2017
Des travaux visant à transformer le pavillon du commerce d’ExpoCité en marché public vont débuter en octobre, aussitôt après l’inauguration de la place Jean-Béliveau devant le centre Vidéotron, à Québec.
La Ville a lancé l’appel d’offres pour la première phase des travaux, lundi, dont le budget total est évalué à 20 millions $
Dans l’appel d’offres, on peut lire que le contrat sera octroyé au début du mois de septembre et que les travaux devraient s’échelonner sur 31 semaines à partir du 12 octobre. À l’issue des travaux, il ne restera que l’enveloppe du bâtiment. Certaines parties de la façade seront démolies, tandis que l’on ajoutera des portes, des fenêtres et des vestibules sur les façades est et ouest.
Tout ce qui se trouve à l’intérieur du bâtiment sera retiré, y compris la dalle de béton qui sera démolie. Ce grand ménage a pour but de faire de la place pour accueillir les 20 kiosques permanents, la centaine d’étals saisonniers et les 30 espaces commerciaux prévus dans le projet. Le Grand Marché devrait ouvrir au plus tard au printemps 2019.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Arrondissement Limoilou, Art urbain, Centre Vidéotron, Commercial.