Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Environnement »

Agrandissement du port : l’étude environnementale incomplète

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 avril 2016 Commentaires fermés sur Agrandissement du port : l’étude environnementale incomplète

Source : Annie Morin, Le Soleil, le 13 avril 2016

(Québec) L’Agence canadienne d’évaluation environnementale (ACEE) demande au Port de Québec de réviser substantiellement l’étude d’impact environnemental sur son projet d’agrandissement de 200 millions $ dans le secteur Beauport.

Le Soleil a obtenu copie mardi de la lettre de 14 pages transmise le jour même au président-directeur général de l’Administration portuaire de Québec (APQ), Mario Girard, par la gestionnaire de projets du bureau régional du Québec de l’ACEE.

Après les 30 jours réglementaires pour réaliser un exercice de concordance entre ses demandes et les documents soumis par le Port le 11 mars, «l’Agence, avec le comité technique d’évaluation environnementale, a déterminé que l’étude d’impact était incomplète et ne satisfait pas entièrement aux exigences des lignes directrices», peut-on lire.

La porte-parole de l’APQ, Marie-Andrée Blanchet, a affirmé mardi que cette situation était «normale» étant donné l’ampleur des renseignements demandés et que l’équipe s’y attendait. «Ils [les fonctionnaires] précisent leurs attentes, ajoutent des questions», constate-t-elle.

la suite

Baignade à la baie de Beauport : les nouvelles sont bonnes.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Champlain / Vieux-port, Baie de Beauport, Environnement.

Le fleuve accessible, mais la baignade se fait attendre

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 avril 2016 2 commentaires

Annie Morin
Le Soleil

(Québec) Il y a beaucoup d’accès publics au fleuve dans la région de Québec, mais la baignade demeure l’exception alors que de plus en plus de grandes villes du monde permettent à leurs citoyens de faire trempette dans un décor urbain.

La Communauté métropolitaine de Québec vient de rendre public un rapport d’une cinquantaine de pages sur les accès publics au fleuve de la région de Québec qui servira à planifier le projet de trame verte et bleue.

Pas moins de 89 accès publics ont été répertoriés sur un territoire comprenant l’agglomération de Québec, la ville de Lévis et les MRC de la Côte-de-Beaupré, de l’Île-d’Orléans et de Bellechasse. Les rives accessibles représentent 11 % des 286 kilomètres du littoral étudié

La suite

Voir aussi : Baie de Beauport, Environnement.

Eau potable: règlement de contrôle intérimaire

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 mars 2016 Commentaires fermés sur Eau potable: règlement de contrôle intérimaire

Le communiqué sur cette règlementation dont on peut lire le texte ici.

Voir aussi : Environnement, Message d'intérêt public.

Des projets verts et comestibles pour La Cité-Limoilou

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 mars 2016 Commentaires fermés sur Des projets verts et comestibles pour La Cité-Limoilou

Radio-Canada

L’arrondissement La Cité-Limoilou sera embelli cet été par au moins trois nouveaux îlots de verdure. Au total, une vingtaine d’organismes communautaires travaillent de concert pour mettre la touche finale aux projets qui auront une particularité : ils mettront de l’avant des cultures comestibles.

La suite

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Environnement.

Rencontres d’information pour les citoyens sur la protection des sources d’eau potable

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 mars 2016 Commentaires fermés sur Rencontres d’information pour les citoyens sur la protection des sources d’eau potable

La Communauté métropolitaine de Québec organise quatre rencontres d’information pour les citoyens portant sur la protection des sources d’eau potable. Pour plus d’informations, les dates et les lieux des rencontres, vous pouvez consulter notre site internet à l’adresse suivante.

Voir aussi : Environnement, Message d'intérêt public.

La ville propriétaire du terrain de la future usine de biométhanisation

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 mars 2016 Commentaires fermés sur La ville propriétaire du terrain de la future usine de biométhanisation

Source : Patricia Cloutier, Le Soleil, le 4 mars 2016

(Québec) La Ville de Québec a conclu une entente à l’amiable avec la compagnie Evonik Degussa Canada qui lui permet de mettre la main sur le terrain qui accueillera son usine de biométhanisation.

Ce terrain de 71 000 mètres carrés qui donne sur le boulevard Henri-Bourassa est situé dans l’arrière-cour du port de Québec. La Ville avait entamé des procédures judiciaires d’expropriation du propriétaire actuel en 2011. À l’époque, Evonik Degussa Canada, une multinationale de produits chimiques, estimait que son terrain valait davantage que son évaluation, alors fixée à 1,2 million $.

Dans le sommaire décisionnel publié jeudi par la Ville, il est indiqué que la compagnie exigeait au départ 2,3 millions $ à titre d’indemnité globale. Les deux parties se sont finalement entendues pour un montant global et final de 850 000 $, ce qui met fin au litige devant les tribunaux.

la suite

Un pas de plus en vue de l’usine de biométhanisation

Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie.

Le SRB et l’eau en tête des priorités des habitants de la ville

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 février 2016 2 commentaires

Source : Stéphanie Martin, Le Journal de Québec, le 26 février 2016

Les citoyens de Québec appuient Régis Labeaume dans deux projets nécessitant des investissements majeurs: le service rapide par bus et la protection des sources d’eau potable.

Le projet de service rapide par bus (SRB) recueille l’appui des trois quarts des répondants d’un sondage Léger, réalisé pour le compte d’Équipe Labeaume et dont Le Journal a obtenu copie.

C’est dans les arrondissements centraux où le projet de 1,1 milliard $ recueille la plus large adhésion, alors que dans les banlieues nord, l’appui, bien que majoritaire, est moins fort.

Le SRB rallie davantage la population que le tramway au coût de 2 milliards $, qui recueillait l’appui de 65 % de la population en 2011. «Le SRB apparaît peut-être plus réaliste dans l’esprit des citoyens. Ce qu’on comprend aussi, c’est que les citoyens veulent de l’amélioration dans le transport en commun. Il y a un signal qui dit qu’on doit trouver une façon d’améliorer ce service. Le SRB apparaît pour eux comme une solution potentielle», indique Caroline Roy, vice-présidente de Léger à Québec.

la suite

Des immeubles menacés de disparition par le projet de corridor du RTC

Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie, Québec La cité, Tramway à Québec.

Amélioration de la St-Charles : ce n’est pas fini

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 février 2016 Commentaires fermés sur Amélioration de la St-Charles : ce n’est pas fini

Source : Valérie Gaudreau, Le Soleil, le 8 février 2016

(Québec) Régis Labeaume a révélé en décembre vouloir redonner la rivière Saint-Charles aux citoyens en s’attaquant ces prochaines années aux sédiments qui empêchent des activités comme le kayak, la pêche ou le patin sur le cours d’eau au coeur de la basse ville. Le maire de Québec a assuré qu’il existait une solution «naturelle» pour régler ce vaste problème. Laquelle? L’hypothèse privilégiée pour l’instant: ouvrir grandes les vannes du barrage Joseph-Samson et utiliser les marées du fleuve pour nettoyer le tout. Une solution «porteuse», mais qui comporte certaines limites.

«Il est temps que les gens jouissent de la rivière», a déclaré le maire de Québec au Soleil lors d’une entrevue de fin d’année le 17 décembre. Mais avant toute chose, il faudra contrer l’envasement actuel des berges et les sédiments qui remplissent le fond de la rivière à la hauteur des quartiers Saint-Sauveur et Saint-Roch.

Un problème notoire, connu des experts de la Ville et des chercheurs depuis des années. Et que M. Labeaume s’est mis en tête de régler une fois pour toutes. Mais comment?

Le maire s’était bien gardé de dévoiler la méthode envisagée pour libérer le cours d’eau de ses tonnes de vases et d’autres substances. Mais, avait-il assuré, la Ville pourrait aller de l’avant sans avoir besoin de permis du ministère de l’Environnement.

«On n’aura pas besoin de permis. Attendez un peu, mais quand je serai prêt, vous allez voir que la nature fait bien les choses», avait avancé M. Labeaume.

Dans ce contexte, le scénario le plus plausible – le seul, en fait – est celui d’ouvrir plus souvent le barrage Joseph-Samson et de laisser entrer temporairement l’eau du fleuve.

À la Ville de Québec, on a testé sporadiquement l’ouverture des vannes depuis 2011. «On a fait des projets expérimentaux de l’utilisation des marées. Ça a donné des résultats concrets, mais ce n’est pas assez», note toutefois le porte-parole de la Ville, Jacques Perron.

la suite

Canot et kayak sur la St-Charles

Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie.

Mesures pour sécuriser l’approvisionnement en eau potable de la Ville de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er février 2016 Commentaires fermés sur Mesures pour sécuriser l’approvisionnement en eau potable de la Ville de Québec

Québec, le 1er février 2016 – La Ville de Québec a présenté aujourd’hui le bilan des actions 2007-2015 pour la protection des sources d’eau dans le bassin versant de la prise d’eau de la rivière Saint-Charles. Elle a également annoncé ses intentions à l’égard des mesures qu’elle prendra pour sécuriser l’approvisionnement en eau potable et pérenniser la protection de ce secteur pour l’avenir. (…) Les actions que la Ville mènera à terme avec ses partenaires municipaux sont :

mieux gérer les eaux usées en améliorant la performance des usines d’épuration;
raccorder aux réseaux d’égout le plus grand nombre possible de propriétés utilisant des fosses septiques;
diminuer l’utilisation des sels de voirie;
reboiser les rives des rivières et des lacs dans le bassin versant;
améliorer la gestion des eaux pluviales;
encadrer rigoureusement le développement dans les zones sensibles.

(…)
Pour preuve de sa volonté de corriger les erreurs du passé, la Ville de Québec rappelle, qu’avant même l’adoption de la résolution par la CMQ, elle a revu 35 projets de développement prévus au pourtour du lac Saint-Charles et de son bassin versant. Après analyse, 15 projets ont été rejetés privant ainsi annuellement la Ville de plus de 2 M $ de revenus potentiels en taxes.

La suite

Voir aussi : Environnement, Québec La cité.