Source: Radio-Canada Québec, 14 mai 2006

Un projet de construction d’immeubles en copropriétés, près du cimetière Saint-Patrick de Sillery, inquiète des citoyens. Ce projet pourrait entraîner la disparition de plusieurs arbres dont certains seraient centenaires. Le conseil d’arrondissement promet d’étudier cet aspect. La présidente de l’arrondissement Sainte-Foy/Sillery, Francine Bouchard, souligne que ce projet n’est pas touché par le moratoire sur les grandes propriétés religieuses de Sillery.

Source: Éric Moreault, Le Soleil 10 mai 2006

Tous les moyens sont bons pour persuader les citoyens de recycler, même supprimer une collecte d’ordures ! Pour des motifs écologiques, trois arrondissements de Québec ont décidé de ramasser les ordures ménagères une fois par semaine au lieu de deux.

En réduisant le nombre de collectes, c’est autant de camions à bennes qui disparaissent de la circulation. « C’est suffisant pour que ce soit une bonne décision », fait valoir Marcel Filteau, directeur de la division des relations avec les citoyens à l’arrondissement Sainte-Foy-Sillery. (…)
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Source: Pierre Asselin, Le Soleil 9 mai 2006

La nouvelle bibliothèque de Charlesbourg commence à prendre forme. Les médias ont pu visiter hier l’édifice qui sera bientôt doté d’un toit « vert » et qui puisera son énergie dans le sol.

C’est Éric Pelletier, de la firme d’architectes Croft Pelletier, qui a servi de guide pour la visite du chantier. La bibliothèque de Charlesbourg sera la sixième au Québec par la superficie. « On entre dans les ligues majeures », commentait la responsable de la bibliothèque, Lina Rousseau.

Le bâtiment de pierres rend hommage à l’histoire de la ville de Charlesbourg, a expliqué l’architecte. L’édifice qui abritait l’ancienne bibliothèque a été conservé et un mémorial des familles souches sera aménagé à l’arrière. (…)

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Source: Sofie Bienvenu, Voir Québec, 4 mai 2006.

Depuis mai 2002, la Semaine de l’arbre et des forêts, tradition vieille de plus de 125 ans, a cédé sa place à un mois complet de sensibilisation. (…)

Si l’objectif du Mois de l’arbre est de faire découvrir arbres et forêts ainsi que d’apprendre à les aimer et à les respecter, rien de tel qu’une petite promenade dans les sentiers des nombreux boisés urbains, qui représentent 45 % du territoire de la ville de Québec.

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Vue sur le chantier du bassin de rétention Anse-à-Cartier qui comprend la construction d’un bassin de rétention et l’aménagement d’un parc public, le tout au coût de 6,6 M $.

Ces travaux le long de la rue Jacques-Cartier coincident avec ceux des condominiums L’Anse-St-Charles (en arrière-plan) et d’autres à venir sous peu en périphérie dans le cadre de la revitalisation des rives de la rivière [billet].

Elle aussi l’info est un peu vieille, mais intéressant par contre. Cela pourrait s’appliquer non seulement aux maisons, mais probablement a de petit bloc de logements et/ou petit commerce… ou condos. Dailleurs j’ai déja vu sur une photo, un petit immeuble de logement possédant des panneaux solaires à Montréal.

Source: André Fauteux, La Maison du 21e siècle automne 2005

Le Canada souhaite que 1 500 maisons solaires autosuffisantes soient mises en chantier d’ici cinq ans pour contrer les changements climatiques, dont 14 maisons modèles à travers le pays d’ici 18 mois. Un projet tombant à point avec la crise du pétrole qui incite le consommateur à se tourner davantage vers des réseaux électriques qui coûtent de plus en plus cher à entretenir et à développer.

Annoncée le 20 juillet dernier par quatre ministres fédéraux, l’initiative de la Maison saine à consommation d’énergie nette zéro vise à créer un vaste partenariat public/privé afin que ces maisons deviennent la norme en 2030. Interconnectées aux réseaux électriques, elles pourront leur vendre plus d’électricité qu’elles en achèteront, d’où l’expression « nette zéro ». Depuis 1994, plus de 180 000 de ces maisons solaires ont été bâties au Japon et les États-Unis veulent en bâtir 100 000 d’ici 2020. (…)

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Source: Pierre Asselin, Le Soleil, 2 mai 2006.

La Ville s’apprête à abattre un orme qui a vu le jour avant le Québec. L’arbre, un des plus vieux du territoire, est malheureusement atteint par la maladie hollandaise de l’orme et il doit être coupé.

L’orme, qui se trouve au coin de la rue Salaberry et de la Grande Allée, est là depuis plus de 150 ans et peut-être même depuis 200 ans, explique Jacques Grantham, directeur du service de la foresterie urbaine à la Ville de Québec. (…)

La suite. Voir aussi ces deux billets.

Oui je sais que cette info date d’une semaine ! Mais c’est quand même une problématique à soulever, concernant les terrains contaminés. Même si le problème a déja été plus important par le passé.

Source: Jean-François Cliche Le Soleil 23 avril 2006

Toutes les guerres font des victimes. La concurrence farouche que se livrent les marchands d’essence n’y fait pas exception. À cette différence près, cependant, que leurs cadavres peuvent croupir sur le champ de bataille pendant plusieurs années. (…)

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Début des travaux des phases III et IV

Source: Ville de Québec 26 avril 2006

Québec, le 26 avril 2006 – La Ville de Québec entreprend à compter de cette semaine, les travaux des phases III et IV du programme de renaturalisation des berges de la rivière Saint-Charles. Ces travaux sont évalués à 5,4 millions de dollars pour la phase III et à 4,2 millions de dollars pour la phase IV, coûts partagés à un tiers chacun par le gouvernement du Canada, le gouvernement du Québec et la Ville de Québec. De plus, la Fondation de la faune du Québec injectera 350 000 $ dans le projet. (…)

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ENFIN !!!
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Source: Sofie Bienvenu, Voir Québec, 27 avril 2006.

La rivière Saint-Charles était jadis l’un des cours d’eau les plus pollués au Québec. Un organisme sans but lucratif, Rivière vivante, se consacre depuis 1995 à sa réhabilitation. (…)

Rivière vivante considère la rivière Saint-Charles comme un bien collectif que les citoyens doivent se réapproprier afin de participer à sa protection, à sa restauration et à sa mise en valeur. Selon cet organisme, « cette réappropriation de la rivière et du fleuve passe obligatoirement par des investissements massifs pour la construction des derniers bassins de rétention des eaux usées, ce qui permettra de finaliser l’assainissement de la rivière. » (…)

Si cet organisme met tout en oeuvre pour réhabiliter la rivière Saint-Charles, la Ville de Québec met également la main à la pâte. Elle a en effet mis sur pied un programme de renaturalisation des rives, réparti en six phases. (…)

Au total, la renaturalisation des rives de la rivière Saint-Charles aura coûté 22,85 millions de dollars, auxquels la Ville aura contribué pour un total de 7,6 millions.

La suite. Voir aussi ces autres billets.