Source : Annie Morin, Le Soleil, le 22 mars 2011
(Québec) C’est pour des raisons de sécurité autant que de fluidité de la circulation que l’autoroute Henri-IV passera de quatre à six voies entre les autoroutes Charest et Félix-Leclerc (de la Capitale).
L’entrecroisement des bretelles d’autoroutes – à la jonction d’Henri-IV et de Charest, mais aussi d’Henri-IV et de Félix-Leclerc – ainsi que le goulot d’étranglement qui se crée à la hauteur du parc technologique représentent autant de «zones où il y a des problématiques» sur le principal axe nord-sud de la région de Québec, explique Louise Villeneuve, agente d’information à la direction de la Capitale-Nationale du ministère des Transports du Québec (MTQ). Celles-ci ont été relevées lors d’un «diagnostic de sécurité» portant sur l’ensemble du réseau routier.
Les ingénieurs du MTQ, qui effectueront cette année des études et des travaux préparatoires le long d’Henri-IV, devront donc proposer des solutions pour accroître la sécurité des usagers de la route sur cette artère achalandée. Il est trop tôt pour dire s’ils pourraient aller jusqu’à recommander une reconfiguration complète des entrées et des sorties d’autoroutes.






