Un lecteur assidu, Fernand Trudel, m’envoie cette idée, en proposant qu’elle ait lieu sur les quais du Vieux-Port, en coordination avec le Cirque du Soleil et les amuseurs de rue, en attendant la présentation du Moulin à Images.

Ici

François Bourque
Le Soleil

(Québec) L’immeuble résidentiel le plus distinctif de Montréal, Habitat 67, vient d’être classé monument historique.

C’était presque incontournable pour un immeuble déjà célébré par les architectes du monde pour sa modernité, son audace et son originalité.

Habitat 67 devenait le troisième bâtiment moderne du Québec à être ainsi reconnu, après l’église Saint-Marc à Bagotville et la cathédrale de Gaspé.

Ma question : y a-t-il à Québec des immeubles modernes, bâtis depuis la Révolution tranquille, qui mériteraient d’être classés monuments historiques?

Réponse : certainement aucun qui pourrait se comparer à Habitat 67, qui est dans une classe à part.

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L’Agora du Vieux-Port de Québec a fait couler beaucoup d’encre dans les journaux imprimés. Et Québec Urbain en a aussi parlé. Mais il semble que ce ne soit pas fini.

L’Agora sous-exploitée cet été
Julie Lemieux
Le Soleil

(Québec) Rénovée à grands frais en 2008 pour répondre à une promesse électorale du gouvernement conservateur, l’Agora du Vieux-Port n’intéresse plus Ottawa et manque cruellement de financement. Le Soleil a appris que cette salle de spectacle à ciel ouvert flambant neuve sera sous-exploitée cet été parce que le Port de Québec n’a pas obtenu l’argent nécessaire pour investir dans une programmation plus dense.

«L’Agora, c’est bien beau, mais il y a des coûts. Et si on est seuls à vouloir développer ça, ce sera difficile. On a la responsabilité à nous seuls de voir au développement de l’Agora. On peut agir de bonne foi, faire le maximum d’efforts possibles, mais ce n’est pas notre spécialité», a affirmé hier au Soleil le vice-président principal du Port de Québec, Marcel Labrecque. (…)

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Une multitude de billets ont parlé de ce sujet sur Québec Urbain. En voici un autre.

Les vandales plus actifs à Québec qu’à Montréal
Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

(Québec) L’image de ville proprette projetée par la capitale est mise à mal par… Statistique Canada! Au prorata de la population, les vandales de Québec semblent plus actifs que les Montréalais.

Pour chaque tranche de 100 000 habitants, plus ou moins 630 méfaits causant des dommages matériels de moins de 5000 $ sont commis chaque année à Québec. Dans la métropole, il y a eu environ 590 crimes contre la propriété de faible valeur entre 2005 et 2007, selon les dernières données disponibles.

Est-ce dire que nos vandales sont plus bouillonnants? «On est une ville qui a quand même la réputation d’être propre et bien tenue», souligne le directeur de division à la gestion des immeubles de la Ville de Québec, Philippe Arsenault. Mais les graffiteurs donnent du fil à retordre aux autorités municipales.

«Lorsqu’on laisse [les graffitis] en place, ça incite les gens à en faire par-dessus. On a vite perdu le contrôle.» Un sous-traitant reçoit donc quelque 50 000 $ par année afin de les éliminer sur les édifices municipaux, les lampadaires, des ponts… ou la statue du général de Gaulle.

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Patrick Lagacé/La Presse

Merci à Jean Cazes de m’avoir informé de cet article.

En supplément: Interdit à Rimouski

Le grand ménage printanier et la côte Gilmour

La Commission de la capitale nationale du Québec a lancé un appel de candidatures sans prix en deux étapes, dans le cadre d’un concours pour la mise en valeur des espaces résiduels des bretelles de l’autoroute Dufferin-Montmorency. (…) Toutes les candidatures reçues seront dévoilées au printemps 2009.

Le site et ce billet

L’Entente soutient la mise en valeur du patrimoine religieux

Québec, le 15 avril 2009 – La Ville de Québec et le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec accordent des subventions totalisant 89 000 $ pour soutenir divers projets de diffusion et de mise en valeur du patrimoine des communautés religieuses et des paroisses de toutes traditions.

Ces projets ont été déposés par les fabriques paroissiales et les communautés religieuses en mars dernier. Ils proposent de nombreuses activités qui se réaliseront en 2009, notamment des expositions, une publication, des visites commentées et des activités d’animation qui permettront de faire connaître l’histoire des églises et des communautés, leur patrimoine et la richesse de leurs trésors.

Les fabriques du Très-Saint-Sacrement, Saint-Charles-Borromée, Saint-Charles-Garnier, Saint-Jean-Baptiste, Saint-Michel de Sillery, St-Patrick, Saint-Thomas-d’Aquin, Cathédrale anglicane Holy Trinity, l’Église presbytérienne St. Andrew’s, l’Église Unie Chalmers-Wesley, les Dominicains de la Cité de Québec et les Missionnaires Notre-Dame des Jésuites bénéficieront ainsi d’un soutien financier pour la réalisation de leurs projets.

L’Entente de développement culturel intervenue entre la Ville de Québec et le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine porte sur l’accès et la sensibilisation aux arts, à la culture et au patrimoine. Elle concerne également la recherche et la mise en valeur du patrimoine, la consolidation des acquis en matière de culture et le rayonnement culturel de la capitale.

Patricia Cloutier
Le Soleil

(Québec) Hétérogène, bilingue et pas très politisée. Voilà comment on pourrait décrire la faune de blogueurs de Québec, telle que recensée par le citoyen Michel Monette sur son site. «Mon but, c’est de faire découvrir les bons blogues qui sont produits ici», dit tout bonnement ce conseiller à la formation au gouvernement du Québec, qui nourrit lui-même deux blogues. L’un sur l’aide internationale, l’autre sur la démocratie et les enjeux citoyens. (…) Pour ce qui est du blogue le plus lu à Québec, il est difficile à déterminer, selon M. Monette, étant donné que chacun garde ses statistiques pour soi. Il souligne toutefois que Québec urbain, qui traite d’urbanisme (www.quebecurbain.qc.ca), et Mario to the go, du coach scolaire Mario Asselin (carnets.opossum.ca/mario), ont de l’influence.

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En faisant des recherches afin de m’en procurer, j’ai constaté que le réseau des bibliothèques n’en garderait presque plus, à l’exception de la bibliothèque Gabrielle-Roy.

A cet endroit, on me dit qu’il y en a environ 600 en inventaire. Il semble d’ailleurs que ce livre est devenu une « carte de visite » pour la Ville de Québec, plusieurs le déclarant ainsi.

Après vérification, il semble qu’il y aurait encore 16000 exemplaires dans les entrepôts de la Ville de Québec mais qu’il n’y aura pas de réédition après le tirage initial de 100,000.

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