C’est possible aussi si vous vous êtes procuré le lecteur de carte à puce lors de l’expérience de 2013 avec la Ville de Québec. Sauf que si votre navigateur est à jour, faut oublier le tout. Eh ben. Ai essayé.
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Voir aussi : Transport en commun.
Québec, le mercredi 29 juin 2016 – Le Réseau de transport de la Capitale (RTC) a annoncé aujourd’hui le début du projet d’aménagement de trois Parc-O-Bus d’envergure, qui seront situés dans les secteurs de Charlesbourg, Beauport et Cap-Rouge. Le projet, au coût de 6,2 M$, s’inscrit dans le programme triennal d’immobilisations 2016-2018 du RTC et dans sa volonté de faciliter l’accès au transport en commun pour les résidents de la périphérie.
Ces nouvelles installations comprendront un peu plus de 1 000 cases de stationnement, un nouveau terminus, des infrastructures d’attente confortables, des abris à vélo couverts et autres aménagements durables. Grâce à ces aires gratuites, modernes, confortables et accueillantes, le RTC facilitera grandement le transfert des automobilistes vers un transport en commun qui se veut plus simple, efficace et attrayant. Ce projet s’inscrit en droite ligne avec les recommandations du Plan de mobilité durable, qui suggère d’intégrer plus de modes de transports dans la chaîne des déplacements, et ce, pour répondre à des objectifs de développement durable.
Une fois ces aménagements réalisés, c’est tout près de 2 000 cases de stationnement incitatif, répartis dans 21 Parc-O-Bus, qui seront offerts aux clients du RTC pour leur faciliter l’accès au transport en commun.
« C’est une grande première pour le RTC que d’investir pour la construction de ce type d’infrastructures, comme on en voit dans plusieurs grandes villes de l’Amérique du Nord et du monde, mentionne le président, Rémy Normand. Les trois aires de stationnement que nous dévoilons aujourd’hui auront une portée régionale en offrant aux citoyens des extrémités du territoire une alternative intéressante pour accéder aux principaux lieux d’études et d’emploi tout en évitant la congestion routière. Elles seront modernes et accueillantes, en droite ligne avec les nombreuses améliorations que nous avons annoncées au cours des dernières années, notamment Nomade temps réel, nos nouveaux bus hybrides et climatisés et la création de deux nouveaux Métrobus. »
Les derniers sondages le confirment : 62 % des clients actuels du RTC possèdent déjà une automobile. « Que ce soit pour aller porter les enfants à la garderie le matin ou pour se rapprocher du parcours qui les conduira le plus rapidement au travail, le RTC est conscient que la voiture demeure une alliée pour certaines personnes, souligne M. Normand. Par la construction de Parc-O-Bus, nous leur offrons donc des solutions adaptées à leur réalité. La possibilité d’accéder facilement au transport en commun leur permettra suffisamment de flexibilité pour compléter leurs déplacements. »
Parc-O-Bus Montmorency : priorité pour le secteur Est
La construction d’un Parc-O-Bus sur le boulevard Sainte-Anne confirme la volonté du RTC de faire de l’Est de la ville une priorité dans son développement. « Capter les automobilistes près de leur lieu de résidence est plus abordable que de déployer le réseau jusqu’à eux, souligne M. Normand. La construction d’une telle infrastructure permet à la fois de soutenir le développement du secteur et de bonifier notre offre de transport dans Beauport. »
Situé à la hauteur de l’avenue du Sous-Bois, le Parc-O-Bus Montmorency offrira près de
400 cases de stationnement dès son ouverture, prévue pour la fin de l’été 2017.
Parc-O-Bus de la Faune : consolidation et bonification des infrastructures
Alors que déjà 250 clients utilisent régulièrement le Parc-O-Bus du Zoo, le RTC a fait l’acquisition de nouveaux terrains pour élever ce stationnement incitatif à un niveau de qualité supérieur. En intégrant le terminus du Zoo au Parc-O-Bus de la Faune, l’efficacité des transferts entre les différents modes de transport sera améliorée et le confort, accru. Les clients pourront utiliser cette aire de stationnement revue et améliorée et son tout nouveau terminus dès la fin de l’été 2017.
Parc-O-Bus Le Gendre : le RTC officialise sa présence
La construction du Parc-O-Bus au coin de l’avenue de Le Gendre et de l’avenue Blaise-Pascal aura quant à elle lieu à l’hiver 2016. Avec ce stationnement de 240 cases, le RTC concrétisera sa présence dans un secteur où une trentaine de clients utilisaient jusqu’à tout récemment un terrain privé n’appartenant pas au RTC, faute d’infrastructure existante.
Voir aussi : Transport en commun.
Mathieu Boivin
Journal de Québec
Il n’y aura pas de voie réservée sur l’autoroute Laurentienne, a confirmé au Journal l’attaché de presse du ministre François Blais, Simon Laboissonnière.
Voir aussi : Transport en commun.
Source : Ville de Québec
Québec, le 9 juin 2016 – La Ville de Québec et le Réseau de transport de la Capitale (RTC) ont annoncé aujourd’hui qu’un premier pôle d’échanges pour le futur service rapide par bus (SRB) s’installera dans Saint-Roch, au cœur de l’entrée de la ville. Pour ce faire, le RTC achète deux terrains d’une superficie de 9 780 m2 pour un montant de près de 6 M$. Situés dans la rue de la Pointe-aux-Lièvres à l’angle de la rue des Embarcations, les terrains achetés du gouvernement fédéral présentent actuellement deux immeubles inoccupés qui seront démolis.
Le RTC y construira un important pôle d’échanges où convergeront autos, autobus, vélos et piétons pour que les passagers embarquent à bord du SRB afin de poursuivre leur route vers la colline Parlementaire, le secteur de Sainte-Foy ou Lévis. Ce pôle d’échanges intermodaux offrira également des services afin de faciliter le quotidien des passagers du SRB.
Un secteur à requalifier
Cette entrée de ville sera requalifiée d’ici l’implantation du pôle d’échanges. La Ville annonce aujourd’hui que les terrains de la centrale de police, qui sera relocalisée d’ici 2020, serviront à agrandir le parc Victoria. De nouveaux aménagements prendront place sur le site de l’actuelle centrale ainsi que dans les stationnements de la partie ouest du terrain, jusqu’au stade municipal. Ce secteur offrira des espaces verts agrandis et encore plus intéressants pour les résidants et les travailleurs des quartiers environnants, notamment Saint-Roch, Saint-Sauveur et Limoilou. Le parc ainsi réaménagé constituera un poumon vert à l’entrée de la ville agissant comme un important îlot de fraîcheur en été.« Depuis que nous avons annoncé le déménagement de la centrale de police, les gens nous demandent ce qu’il adviendra des terrains laissés vacants, a souligné le maire de Québec, M. Régis Labeaume. Nous sommes fiers d’annoncer que nous agrandirons un espace vert, ajouterons des arbres, offrirons un lieu de détente et de fraîcheur unique pour les résidants et les travailleurs du centre-ville. Cette annonce correspond à nos orientations de développement pour Québec, notamment à la Vision de l’arbre lancée récemment. De plus, les futurs usagers du SRB profiteront d’un pôle d’échanges intermodaux moderne et fonctionnel à deux pas d’un immense parc. On souhaite y attirer des services facilitant le quotidien des passagers du SRB, par exemple dépanneur, restaurant, garderie, services financiers, nettoyeur, etc. »
Un pôle d’échanges à l’entrée du quartier Saint-Roch
Le RTC sera un acteur de premier plan dans le réaménagement de l’entrée nord du quartier Saint-Roch. Grâce à l’acquisition récente des terrains dans la rue de la Pointe-aux-Lièvres où se trouvent les immeubles fédéraux vacants, le RTC dispose désormais d’un lieu de choix pour y aménager son nouveau terminus du centre-ville et un pôle d’échanges intermodaux.« Ce site répond parfaitement aux besoins actuels et futurs du RTC, a mentionné M. Rémy Normand, président du RTC. Nous ne pouvions plus exploiter depuis 2014 un terminus dans la rue du Roi en raison des projets immobiliers actuellement en construction. Nous avons donc étudié d’autres sites et celui de la rue de la Pointe-aux-Lièvres possédait toutes les caractéristiques nécessaires. »
L’acquisition des terrains et des bâtiments, au coût avoisinant les 6 M$, répond aux besoins d’exploitation du RTC et de développement de son réseau. Ce lieu est aussi essentiel dans l’implantation du SRB Québec-Lévis. C’est pourquoi son aménagement se fera en fonction des besoins de ce mode de transport. Le futur SRB transitera par ce secteur, pour relier la 41e Rue Est à la colline Parlementaire.
À propos du SRB
Le service rapide par bus (SRB) est un projet de transport en commun porteur pour la région de Québec. À terme, il reliera les deux rives du fleuve avec un réseau de 43 km. Ce système de transport circulant dans un corridor dédié est performant, confortable, souple et respectueux de l’environnement. Il offre la possibilité d’être mis en œuvre par phase. Des pôles d’échanges favorisant l’intermodalité seront aménagés et offriront, entre autres, des services de proximité en plus de permettre aux utilisateurs de correspondre avec les parcours du RTC et de la STLévis existants. La mise en place du SRB favorisera le développement urbain dans certains secteurs ciblés le long du parcours. Pour plus de renseignements
Voir aussi : Transport en commun.
Bien noter que les téléphones intelligents et les tablettes ne sont pas compatibles et que seuls certains navigateurs sont acceptés (Edge ne fonctionnera pas ainsi que les dernières versions de Chrome). Les détails
Un billet précédent avec un hyperlien sur l’expérience montréalaise …
Nouveaux tarifs à partir du 1er juillet 2016
STM : bientôt le cellulaire à la place de la carte Opus? Radio-Canada
Mise à jour: Et sur la page Facebook du RTC:
Gérald Gobeil: Je pense que notre RTC pourrait nous dire quelles sont les raisons faisant que cette proposition a été retenue. Et pourquoi l’idée de faire une application utile a été écartée. Franchement ! Dire en 2016 de ne surtout pas mettre à jour ses navigateurs, car notre bidule ne fonctionnera pas …
Nicolas Roberge: Voici la véritable solution. La technologie NFC permet de payer avec son téléphone cellulaire son titre avec le lecteur de proximité installé dans l’autobus. On pourrait recharger sa carte ou payer via carte de crédit directement au passage. STM : bientôt le cellulaire à la place de la carte Opus?
Gérald Gobeil: Merci pour l’info. J’espère que notre RTC répondra aussi …
Nicolas Roberge: Si les lecteurs installés dans les autobus ne sont pas compatibles NFC, ça serait très décevant.
RTC – Réseau de transport de la Capitale: Nous avons lancé OPUS en ligne afin de vous offrir une option supplémentaire pour l’achat de titres et la recharge de votre carte OPUS. Ce système vous permet d’encoder un titre directement sur la carte (ce qui est requis avec la carte actuelle) sans avoir à vous déplacer dans un point de vente, ce qui est un avantage intéressant pour plusieurs.
Cependant, nous comprenons que la technologie est en constante évolution et que les besoins changent. C’est pour cela que nous analysons présentement les différentes options de paiements (entre autre la technologie NFC) pour répondre à vos besoins
Voir aussi : Transport en commun.
http://youtu.be/Y8qfIBkjaDs
Source : Valérie Gaudreau, Le Soleil, le 20 mai 2016
(Québec) Les gens de Québec pourront utiliser une bonne partie du service rapide par bus (SRB) dès 2022, trois ans avant la mise en service complète, prévue en 2025. S’il est encore trop tôt pour savoir quel tronçon sera ouvert, le directeur du Bureau de projet, Jacques Bédard, a révélé vendredi que cette première phase toucherait jusqu’à «50% et 60%» du réseau.
«J’ai l’impression que ça n’avait pas été bien compris», a dit M. Bédard devant les journalistes vendredi, prenant une partie du blâme. Car si une première phase a toujours été annoncée pour 2022, jamais il n’a été dit si clairement qu’elle serait majeure, possiblement de «50 à 60%» du futur tracé de 43 kilomètres qui reliera Québec et Lévis.
Mais il est encore trop tôt pour savoir quelle partie sera construite en premier. «On a une idée un espoir, mais tout ça doit être étudié», a dit le maire de Québec Régis Labeaum. Ce dernier et le maire de Lévis, Gilles Lehouillier ont toutefois dit souhaiter en conférence de presse vendredi que Lévis fasse partie de cette phase initiale.
Voir aussi : Tramway à Québec, Transport en commun.
Extension naturelle du transport en commun, Netlift met en relation les conducteurs et passagers des banlieues.
Voir aussi : Covoiturage, Transport en commun.
La Ville de Québec et le RTC ont invité les artistes professionnels de Québec à soumettre leurs œuvres d’art visuel. Au terme de l’appel de candidatures, un jury a sélectionné six finalistes.
Maintenant, c’est à vous de choisir la création gagnante! L’œuvre ayant reçu le plus de votes recouvrira entièrement un bus du RTC, qui circulera à Québec tout l’été.
Enjolivez votre ville! Vous avez jusqu’au 1er juin pour voter.
Voir aussi : Art urbain, Transport en commun.
Claude Villeneuve
Journal de Québec
La Caisse de dépôt annonçait vendredi la construction d’un train électrique à Montréal. Pendant ce temps, à Québec, on commence à se demander si on verra le service rapide par bus de notre vivant. (…) Dans les cartons depuis 2011, le SRB – plus court, moins coûteux et moins complexe – ne sera pas livré avant 2025.(…) J’ai toujours eu cette impression, concernant le maire de Québec: dans son for intérieur, le sociologue de formation est convaincu des vertus structurantes du transport en commun et de l’aménagement urbain. C’est ça qui place les villes sur la «map», pas l’élargissement des autoroutes. Régis Lebaume le sait. C’est un homme curieux de nature qui s’intéresse à ce qui se fait de bien ailleurs. On le lui a souvent reproché. (…) On doit donc en venir à une triste conclusion. S’il faut quatorze ans pour établir un lien de transport collectif moderne entre Lévis et Québec, c’est tout simplement que l’ambition n’est pas là.
Un billet précédent « Un bureau pour étudier un éventuel SRB »
Service rapide par bus : Labeaume devra revoir ses plans, croient des observateurs Alexandre Duval (Radio-Canada)
SLR à Montréal et SRB à Québec: «On compare des pommes avec des oranges» David Rémillard (Le Soleil)
Voir aussi : Transport en commun.
Source : Annie Morin, Le Soleil, le 22 avril 2016
(Québec) Le ministre des Transports, Jacques Daoust, privilégie des autobus électriques et québécois pour le futur service rapide par bus (SRB) de Québec et de Lévis.
En commission parlementaire, jeudi, M. Daoust a livré un plaidoyer en faveur du «génie québécois» et plus particulièrement celui du fabricant NovaBus. Il répondait alors à la porte-parole de l’opposition officielle en matière de transports, la péquiste Martine Ouellet, qui craignait un engouement pour des produits étrangers.
Rappelant le programme de développement d’un autobus électrique urbain de 73 millions$, lancé du temps de Jean Charest, le ministre Daoust s’est dit persuadé d’en récolter les fruits avant l’inauguration du SRB et de voir des véhicules québécois rouler dans le corridor rapide de 43 kilomètres planifié à Québec et à Lévis.
Le SRB et l’eau en tête des priorités des habitants de la ville.
Voir aussi : Transport en commun.